En Israël il y a une discipline inconnue, mais en championnats du monde de gymnastique, dans la spécialité de gym-wheel, les représentants israéliens brillent. En fin de semaine ils ont remporté trois médailles, dont une d'or et deux d'argent, et ils attendent d'être un peu plus reconnus en Israël. Évitez juste de les traiter de hamsters : "attendez de nous voir en action".
Cela fait presque 100 ans que des gens tournent dans des Gym-wheel - et pas qu'a Luna parc. En 1925, la branche de la gymnastique en gym-wheel fut officiellement reconnue, et même si la majorité des fans de sports en Israël n'en ont jamais entendu parler, les Israéliens y ont des athlètes de très bon niveau. La délégation qu'Israël a envoyé aux championnats du monde qui se sont déroulé en fin de semaine à Chicago, a enregistré un record en obtenant trois médailles, dont une d'or et deux d'argent. Pour l'heure, dans cette branche excentrique on espère être porter par ces résultats, et ainsi encourage le pays à reconnaitre cette discipline sportive.
"Israël est depuis longtemps 'al amapa" (sur la carte) par rapport au niveau dans cette discipline, et nous arrivons même à gagner des médailles", a expliqué Tami Livni, l'entraineuse en chef du club de Zichron Yaakov, un des trois clubs en activité du pays. Avec la fin des championnats du monde de Chicago, précise-t-elle avec émotion : "cette victoire à réussi à interrompre le flux des hymnes allemands qui dominaient cette competition".
La grande victoire revient à Uri Milbor qui a gagné la médaille dans la catégorie "droit", ou la roue bouge sur ses deux rayons en avant et en arrière. À part Milbor, Liri Harel a remporte une médaille d'argent dans la catégorie "droit" féminine, tout comme Noah Alexandroni dans la catégorie "spirale" féminine. Dans la catégorie "spirale", la roue tourne sur un côté seulement, comme une pièce de monnaie.
Ces résultats n'ont pas réveillé qu'un sentiment de fierte, mais aussi l'espoir que ce sport bénéficie enfin d'un peu de reconnaissance de la part des autorités israéliennes, principalement en ce qui concerne les autorisations de Tsahal qui permettraient aux gymnastes de continuer de pratiquer leur sport pendant le temps qu'ils sont au sommet de leur capacité physique. "À aujourd'hui l'armée brisé des carrières dans ce sport", expliquent les sportifs.
Et quand est-il de l'image colportée qui compare ce sport à des entrainements pour hamsters ? L'entraineuse Livni a déjà l'habitude de cette comparaison : "cette blague est tellement vieille, nous en avons fait notre deuil. Appelez-nous hamsters si vous voulez mais attendez de nous voir en action. Je suis sure que votre bouche restera béante pendant plusieurs heures".
Source Haabir-haisraeli.over-blog