dimanche 30 juin 2013

Un groupe d'enquéteurs fait un raid lors d'un rassemblement a Latrun : Saisie de drogues et arrestations

 
 
La police c'est dissimulée dans une « parti nature », les organisateurs ont été arreté ainsi que des trafiquants de drogue. Les enquéteurs ont confisqué du haschisch, LSD et du gaz hilarant ( voir photo ci-dessus ).

La police a fait une descente dans le " Parc Canada " à proximité de Latrun vers midi samedi. Ils ont arrêté sept personnes, des confisqués  diverses drogues et 15,000 Shequels (4,123 $) qui ont été saisi parmis les 200 participants de la fête. Les policiers se sont présentés comme des invités à la fête, ils ont pu ainsi  arreter l'un des organisateurs ainsi qu'un certain nombre de trafiquants de drogue.
Parmi les participants, il y avait un garçon de 14 ans qui est arrivé avec son père, une figure connue dans le milieu de la drogue. La police a déclaré que ce n'était pas la première fois que le garçon accompagne son père, il sera remis aux services sociaux.
Pendant la fête, les officiers se sont mêlés à la foule, ils ont arrêté trois trafiquants de drogue et un organisateur de la fête, quatre autres ont été arrêtés sur des soupçons de consommation de drogues et possession. Du haschisch, du LSD et de la marijuana ont été appréhendés au cours de la fête, ainsi qu'un stock de gaz hilarant ( cartouches de protoxyde d'azote ).
Les forces de police ont également confisqué 15.000 NIS (4.123 $) en espèces et une voiture qui appartient à l'un des détenus.



Le Major général Ilan Rahamim du poste de police de Binyamin a déclaré que « les détectives sont arrivés à la fête vers 10 heures , ils se sont habillés en conséquence, Chacun d'eux a payé 100 NIS (27,5 $) pour l'entrée. A partir de ce moment-là, ils se sont interessé a la vente de drogue ainsi qu'au cheminement de l'argent... ».
Selon la police, les « parties de la nature » sont très rentables. Les gros profits proviennent de la vente de drogues et d'alcool. " Les trafiquants de drogue avaient des bouteilles de LSD, ils faisaient couler une goutte de la substance sur la langue des gens pour 50 NIS (13 $). Si j'avais eu 100 policiers là-bas, il y aurait eu 100 arrestations. "
Cependant, Rahamim dit, "le but est d'arreter les trafiquants de drogue et les organisateurs de la fete mais pas d'ennuyer les gens."

 
Source Koide9enIsrael ( Traduit de Ynet.co.il )

Les Maccabéens sont de retour...Vive Modi'in !


Un rapport du service du personnel de l'armée israélienne montre que la ville de Modiin Maccabim-Reut a la population de réserviste la plus active en Israël.

La ville de Modiin Maccabim-Reut a la population de réserviste la plus active en Israël, selon les données publiées par la Direction du personnel de Tsahal.
Le rapport a constaté une corrélation entre le taux d'enrôlement d'une ville et son taux de participation des réservistes, comme en témoigne le fait que les sept villes qui se sont classées dans le top dix de l'enrôlement étaient également dans le top dix du classement des réservistes actifs.
Le classement des " Réservistes Actifs " compte ceux qui servent au moins 20 jours par an dans le service de réserve. Avec 46,3 sur 1000 résidents répondant aux critères, Modiin Maccabim-Reut a pris la première place, Givat Shmuel fini deuxieme avec 41,2 et Yavneh troisieme avec 37,9 réservistes en activité pour 1000 habitants.
Raanana est au huitième rang avec 35,7, tandis que Tel-Aviv fini a la 15e place avec 33,9, suivie immédiatement par la ville méridionale de Beersheba avec 33,7. Comme le taux d'enrôlement, les villes qui ont enregistré les chiffres les plus bas étaient les villes principalement haredi (ultra-orthodoxe). Jérusalem classé 59e avec 12,1 réservistes en activité pour 1000 habitants, suivie de Beit Shemesh (11), Elad (6.4), Bnei Brak (3.5) et Beitar Ilit avec seulement 1 réserviste actif sur mille habitants.
" Les réservistes sont l'incarnation des valeurs d'Israël et de l'esprit du bénévolat. A partir de ces données, nous voyons que les données démographiques ont une influence significative sur le service devoir de réserve " a declaré Jeudi le chef de brigade des officiers de réserve, le Général Friedman.

Source Koide9enIsrael ( traduit d' Israel Hayom )

Victoire de l'unité " Duvdevan " au concours de Sniper de Tsahal

  
Les Forces de défense israéliennes ont organisé la compétition annuelle de sniper pour les forces spéciales et les unités d'infanterie. L'unité Duvdevan (cerise) finie à la première place, Sayeret Matkal termine en deuxième position, les commandos d'élite de la Force aérienne Shaldag finissent en troisième position. L' unité de reconnaissance Givati ​​termine en tete pour les unités d'infantrie.
 
Les Forces de défense israéliennes ont tenu leur concours annuel de tireurs embusqués des forces spéciales et des unités d'infanterie.
L'unité anti-terroriste DuvDevan a terminé a la premiere place.
La Sayeret Matkal ( unité de reconnaissance) a terminé à la deuxième place, tandis que les tireurs d'élite des commandos Shaldag de l'armée de l'air sont arrivés troisième.
Pendant ce temps, dans la compétition entre les unités spécialisées rattachées aux brigades d'infanterie de l'armée israélienne, l'unité de reconnaissance Givati a ​​terminé en tête. L'unité de reconnaissance Golani est arrivé en deuxième place, tandis que l'unité Rimon de Givati ​​a terminé troisième.
Dans la compétition au niveau du bataillon, le bataillon Golani ₩ 51 a fini premier, les tireurs d'élite du 890eme Bataillon de parachutistes a terminé deuxième, les parachutistes du 202e Bataillon ont fini troisième.



Notons qu'un nouvel insigne a été officiellement remis aux officiers instructeurs de Krav Maga.
 
Source Koide9enisrael ( traduit d' Israel Hayom )

Benjamin Netanyahou pret à évacuer l'essentiel de la Cisjordanie


Benjamin Netanyahu serait disposé à se retirer de l'essentiel de la Cisjordanie – Judée Samarie, et meme à évacuer un certain nombre des implantations juives qui y sont présentes. Ces mesures, le Premier ministre est disposé à les mettre en oeuvre dans le cadre d'un accord avec les palestiniens, si les exigences israéliennes en matière de sécurité sont respectées.

C'est ce qu'a affirmé ce matin un ministre israélien proche du Premier ministre, qui s'est exprimé sous couvert d'anonymat, a déclaré au quotidien Haaretz.
Selon cette source, Benjamin Netanyahou sait que si les négociations avec les palestiniens reprennent sous l'égide du Secrétaire d'état américain John Kerry, l'état hébreu devra se prononcer finalement sur la question des frontières d'un état palestinien.
"Netanyahu comprend que pour obtenir un accord de paix, il sera nécessaire de se retirer de plus de quatre-vingt dix pour cent de la Cisjordanie et d'évacuer plus de quelques implantations", a-t-il déclaré.
Selon le ministre, les questions de sécurité sont la principale préoccupation de Netanyahu, et ce sera sa principale exigence au cours des négociations.

"Si ses exigences de sécurité sont respectées, il est prêt à faire des concessions territoriales importantes", a ajouté le ministre.
Netanyahu exigera sans doute que le futur état palestinien soit démilitarisé, et que l'armée israélienne puisse maintenir une présence à long terme le long du Jourdain, même si Israël cède la souveraineté sur le territoire.
Netanyahu n'a pas de carte prédéterminée des frontières d'un futur état palestinien.
"Mais toutes ses considérations sur la question découlent de questions pratiques, et non idéologiques".
Ses deux principes clés sont le maintien des plus importantes implantations sous souveraineté israélienne et une présence militaire dans la vallée du Jourdain, sans souveraineté israélienne."
Selon le ministre, Benjamin Netanyahou n'est pas convaincu que le président de l'Autorité palestinienne soit enthousiaste à l'idée de reprendre les négociations et "n'est pas certain qu'il ya un partenaire", selon le ministre.

En dépit des apparences, Netanyahu serait en mesure de mobiliser un large soutien politique à un accord avec les Palestiniens, même au sein du Likoud.
D'autant que la leader du Parti travailliste a clairement annoncé qu'elle était prête à rejoindre la coalition pour soutenir un accord avec les palestiniens, ce qui assurerait une amjorité politique au Premier ministre.

Selon le ministre "Netanyahu appréhende parfaitement la situation et pense qu' un accord à deux Etats pour deux peuples serait une bonne chose pour Israël."
Les déclarations de la ministre du Likoud font écho à celles faites la semaine dernière par les leaders des deux plus grands partenaires de la coalition de Netanyahou, le ministre de l'Economie Naftali Bennett (Habayit Hayehoudi) et le ministre des Finances Yair Lapid (Yesh Atid).
Dans des entretiens séparés avec le Washington Post, les deux ont affirmé que Benjamin Netanyahu comptait sérieusement faire avancer le processus de paix.

A droite, nombreux sont ceux qui pensent que Netanyahu a l'intention de tourner le dos aux implantations, et peut-être même à son propre parti, afin de faire avancer un accord historique avec les Palestiniens. A l'image d'un autre dirigeant historique du Likoud, Ariel Sharon, lors du désengagement de Gaza.
John Kerry arrive en Israël jeudi pour une cinquième série de pourparlers visant à relancer les négociations israélo-palestiniennes. Il s'entretiendra avec M. Netanyahu à Jérusalem jeudi soir, et avec Abbas en Jordanie vendredi.
Il sera de nouveau à Jérusalem samedi soir pour rencontrer une seconde fois le Premier ministre israélien.

A ce stade, il n'y a aucun signe que Kerry soit à même d'obtenir une reprise des pourparlers directs. Lors d'une conférence de presse au Koweït mercredi, il a souligné qu'il ne s'était pas fixé de délai pour la reprise des discussions, tout en fixant une date butoir : l'Assemblée générale des Nations Unies se réunit en Septembre.

Source Israel Infos

Un convoi du Hezbollah bombardé à l’est du Liban


A Zahle, au Liban, deux bombes de taille réduite ont frappé un convoi du Hezbollah dans la vallée du Bekaa, une base stratégique du groupe shiite à l’est du Liban, ce vendredi 28 juin, sans faire de blessés, a déclaré une source sécuritaire.

Les deux bombes ont explosé vers 5h30 ce matin au moment où un convoi de quatre véhicules traversait la ville de Zahle.
« Après l’explosion, qui n’a pas fait de blessés, des hommes armés sont sortis des véhicules et ont tiré en l’air, avant de continuer leur route vers Shtura, » a expliqué la source à l’AFP à la conditions qu’il reste anonyme.
Le 10 juin, une bombe avait déjà visé deux véhicules transportant des milices pro-Hezbollah qui se dirigeaient vers la frontière syrienne.
Les tensions ont franchi une étape supplémentaire en raison du conflit de la Syrie voisine, auquel il a été confirmé en avril dernier que le Hezbollah avait pris part en soutien du président syrien al Assad, provoquant la rage des libanais sunnites, dont la sympathie va vers les rebelles sunnites.
Ainsi, le chef de l’armée israélienne, le Général Benny Gantz, a fait un rare commentaire sur la situation au Liban, en déclarant que « le feu est en train de gagner le Hezbollah à cause de Nasrallah », ajoutant que “le Hezbollah se trouve dans une situation de faiblesse stratégique qu’il n’a pas rencontrée depuis des années ». La milice Shi’ite combat en effet sur trois front : en Syrie, à l’intérieur du Liban, et contre Israël.
A ceci s’ajoute le fait que “selon les estimations de l’armée israélienne, l’organisation terroriste de Nasrallah a déjà perdu sur le front syrien plus de 200 combattants, et des milliers ont été blessés”.
Mi-Avril, Ali Khamenei rencontrait secrètement Hassan Nasrallah, explique Albert Soued, avec le responsable de la politique iranienne en Syrie/Liban et des Brigades al Qods, Kassem Souleiman. Ils se sont concertés sur le contrôle du Liban méridional et de la Syrie occidentale, en constituant une milice shiite/alawite de 150 000 combattants venant de tout le Moyen Orient et une force commune constituée d’éléments venant d’Iran et d’Irak.
Il y aurait, toujours selon Soued, déjà 15 000 bassijis en Syrie, qui s’ajoutent aux 10 000 combattants du Hezbollah destinés à sécuriser ce que l’Iran considère comme son « 3ème district » où il « achète » des tribus entières, faisant du prosélytisme shiite, tandis que le nettoyage ethnique se poursuit en zone alawite, où les filles sunnites sont systématiquement violées, les enfants enlevés, et vendus sur les marchés aux esclaves.

Source JerusalemPlus

Tel-Aviv – Jérusalem en une demi-heure


Un appel d’offres à été lancé par le ministère des transports et Israel Railsways en vue de l’élaboration d’une nouvelle gare routière à côté de la tahana mercazit (gare centrale) de Jérusalem. Le concept est simple, il s’agit de construire une ligne ferroviaire à grande vitesse pour relier Jérusalem à Tel-Aviv en 28 minutes. Le coût du projet s’élève à 7 milliards de shekels.
  
La gare « HaUma »  fera 80 mètres de profondeur et servira également de miklat (abri atomique) en cas d’attaque, pouvant recueillir jusqu’à 2.000 personnes en cas d’urgence.
La gare comprendra quatre plateformes de 300 mètres, des escalators et 35 ascenseurs. A la fin de sa réalisation, la nouvelle gare sera la plus grosse plateforme de transport du pays. Le terminus comptera des stations de bus, deux arrêts de tramway, des stations de taxis et un parking de 1000 places.
Le train à grande vitesse passera par Modiin, Latroun et par l’aéroport Ben Gourion. Il y en aura quatre par heure aux heures de pointe. Si le système a du succès deux passages de plus seront ajoutés pour proposer aux voyageurs 6 liaisons par heure entre Jérusalem et Tel-Aviv. La vitesse du train sera de 160km/h.
Selon le ministère des Transports, le projet s’avère être grandiose tant au niveau pratique qu’au niveau architectural. Actuellement les 680 ingénieurs qui travaillent sur le concept mettent en place la plus longue ligne, un des plus grand viaduc d’Israël et un double tunnel de 11km de long.
Malgré son aspect très attrayant, le projet a été controversé par des groupes environnementaux qui ont tenté d’obliger les planificateurs à construire un tunnel sous la rivière d’ Yitlat au lieu de passer au-dessus d’un pont. La Commission de planification du ministère de l’Intérieur s’est prononcée en faveur d’Israël Railways.
Le train traversera   » la Ligne verte » deux fois : près de Latroun et une fois près de Mevasseret Zion, ce qui soulève les critiques des groupes de gauche et pro-palestiniens israéliens à l’étranger. Une société allemande a même conseillé d’annuler le projet face à la pression des militants pro-palestiniens. L’estimation initiale était de 3,8 milliards de NIS  mais elle a augmenté de quelques milliards de shekels, un investissement public supplémentaire étant nécessaire pour la construction.
Le système devrait être opérationnel d’ici fin 2017.

Source Tel-Avivre

Suite à la destruction du 2eme Temple : des traces de la famine et de la guerre civile !


L'autorité israélienne chargée des antiquités a révèlé jeudi des trouvailles fascinantes qui mettent la lumière sur la vie des Juifs qui se sont cachés dans des tunnels sous les rues de Jérusalem les jours qui ont précèdé la destruction du 2e Temple.

Le blocus des Romains provoqua la famine à Jérusalem, ce qui entraina aussi les vols et les meurtres de ceux qui avaient un peu de reste de nourriture. Les chanceux ont réussi à se cacher dans des tunnels et à manger en cachette. Dans un de ces tunnels, dans une citerne à eau qui servait de cachette, profondément sous la terre, l'archéologue Éli Choukroun, qui travaille pour l'autorité israélienne chargée des antiquités, a découvert des ustensiles qui ont été préservés intacts pendant des milliers d'années dans les profondeurs des tunnels, et qui donnent un aperçu exceptionnel de la situation très difficile des Juifs de Jérusalem à l'époque du blocus romain, quelques jours avant la destruction du 2e Temple.

Choukroun montre la lampe a huile

"Dans les grottes de la ville de David, ici a cet endroit, des gens se sont caché des rebelles, qui étaient pourtant de leur coté, pour pouvoir manger. Afin qu'ils ne leur prennent pas leur nourriture", raconte Choukroun. Trois pots en argile intacts, ainsi qu'une petite lampe a huile, sont des preuves de ce que les habitants de Jérusalem affamés ont vécu a l'époque de "la grande révolte" qui a précèdé la destruction du 2e Temple. Les Juifs évitaient d'allumer cette lampe afin d'éviter que sa lumière n'attire les rebelles.
Cette citerne à eau a été découverte lors de fouilles archéologiques dirigées par l'autorité israélienne chargée des antiquités à coté du Kotel, dans la zone de l'arche de Robinson qui se trouve dans le parc archéologique. Cette citerne est reliée à un canal de drainage qui a été lui aussi découvert dans son intégralité et intacte. Choukroun, qui dirige ces fouilles pour l'autorité israélienne chargée des antiquités, décrit ses découvertes comme étant "primordiales pour comprendre ce qu'il s'est passé ici, a cet endroit, entre le 17 Tammuz et 9 beav, il y a 2000 ans. Comprendre le blocus de la ville de Jérusalem, la famine et la guerre civile".

C'est comme ca que les ustensibles vieux de 2000 ans ont ete decouverts

"C'est la première fois qu'il est possible de relier des découvertes archéologiques et le sujet de la famine à Jérusalem à l'époque du blocus et de la révolte. Ces pots en argile qui servaient à cuisiner et cette lampe à huile montrent que des gens sont descendus dans cette citerne et on mangé ici en cachette, sans que personne ne puisse les voir - tout comme le décrit Flavius Josèphe".
Choukroun présente un extrait du livre "La guerre des Juifs contre les Romains" où Flavius Josephe décrit le blocus romain sur Jérusalem, et suite auquel la famine s'est abattue sur la ville assiégée : "la folie des rebelles s'est intensifiée avec la faim... Ce qui n'a pas été trouvé viendra du peuple, les rebelles ont envahi les maisons et les ont fouillé soigneusement. S'ils trouvaient quelque chose alors ils maltraitaient les habitants de la maison pour avoir nié qu'ils détiennent de la nourriture, et s'ils ne trouvaient rien alors ils les tourmentaient pour avoir réussi à si bien cacher leurs nourritures..." "Nombreux sont ceux qui ont échangé leurs meubles auprès des riches contre du blé et de pauvres haricots, puis ils se sont mis dans le coin de leur pauvre demeure vide. À l'autre bout les rapaces leur on volé les grains qu'ils avaient, le reste ils les ont cuit avec ce qu'il leur restait pendant ces heures de tension et de peur. Il n'y avait aucune table dressée dans auncune maison".

Source Haabir-haisraeli.over-blog

Mandela à Gaza : “Si la seule solution est la violence, alors nous utiliserons la violence”

  
Alors que l’Afrique du Sud et le monde se préparent à la mort de l’ex-président de la République d’Afrique du Sud et héros de la lutte contre l’Apartheid, M. Nelson Mandela, la presse internationale semble atteinte d’une symptomatique cécité médiatique. Durant des décennies, le mouvement de libération nationale de Mandela, l’ANC, fut classifié en tant qu’organisation terroriste.

Pendant la Guerre froide, les Etats-Unis considéraient en effet l’ANC comme une organisation communiste terroriste souhaitant briser le régime pro-occidental de l’Afrique du Sud. Depuis la législation introduite dans les années 80, sous Ronald Reagan, les membres de l’ANC pouvaient se rendre au siège des Nations unies à New York, mais pas à Washington ou dans le reste des Etats-Unis.
L’ANC, au pouvoir en Afrique du Sud depuis 1994 et l’abolition de l’Apartheid, n’a été retiré de la liste des organisations terroristes que seulement à partir de 2008.
Pour Nelson Mandela, le terrorisme et la violence, ont toujours été une “carte politique” pour les peuples luttant pour leur auto-détermination.
L’ANC et Nelson Mandela n’ont jamais condamné, a priori, la lutte armée dans le cadre des combats d’émancipation nationale. Justifiant ce point de vue, Mandela a ainsi écrit dans son autobiographie, Un long chemin vers la liberté, ce qui suit : “C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé, qui détermine la forme de la lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense”.
Soutien notoire et indéfectible de la cause palestinienne, Nelson Mandela, lors de son voyage à Gaza en octobre 1999, a justifié ce recours à la violence, des déclarations passées sous silence par la presse occidentale et peu connues aujourd’hui encore.
Le 20 octobre 1999, devant le Conseil Législatif Palestinien (Parlement) à Gaza, Nelson Mandela, selon la dépêche de l’Associated Press publiée à l’époque, tout en affirmant “sa sympathie pour le point de vue israélien”, invoque à plusieurs reprises la similitude entre la lutte des Palestiniens et des Non-blancs en Afrique du Sud et se souvient de cette époque où l’ANC et l’OLP d’Arafat étaient considérés comme des parias par la communauté internationale, période durant laquelle des liens solides ont été forgés entre Palestiniens et Sud-Africains.
Devant le même Conseil Législatif Palestinien, il reprend alors ce dernier point : “Je leur ai dit qu’il ne sert à rien qu’Israël parle de paix tant qu’ils continueront à contrôler les territoires arabes qu’ils ont conquis durant la guerre de 1967″. Et de poursuivre en développant sa vision stratégique, expliquant notamment que la voie négociée et la paix doivent être la priorité, et qu’elles sont toujours préférables au conflit. Mais, ajoute-t-il alors, “il faut choisir la paix plutôt que la confrontation, sauf dans les cas où nous ne pouvons rien obtenir, ou nous ne pouvons pas continuer, ou nous ne pouvons pas aller de l’avant. Si la seule solution est la violence, alors nous utiliserons la violence“.
Mandela peut et doit être critiqué, que l’on parle de ses choix politiques, économiques ou sociaux ou de son soutien à la cause palestinienne, mais il faut tout de même reconnaître que Mandela a toujours été, sur cette question du conflit israélo-palestinien, beaucoup plus en retrait que l’archevêque Desmond Tutu, qui depuis de longues années soutient avec rage la campagne internationale de boycott de l’État d’Israël, qu’il qualifie, à l’instar d’autres dirigeants sud-africains, d’État d’apartheid. Tel n’a jamais été le cas de Mandela, contrairement à ce qu’on peut lire ou entendre à ce sujet par la propagande pro-palestinienne.

Source Lemondejuif.info

Tel Aviv : Le Clara et le Dolphinarium vont disparaître



Le Dolphinarium et le Clara, endroits parmi les plus connus et les plus courus de Tel Aviv, sur le bord de mer,  vont être démolis , rasés et, à leur place il y aura une promenade publique le long de la plage.

Les droits immobiliers de l’ensemble seront transférés sur l’autre côté de la rue Herbert Samue . Un hôtel de 50.000 mètres carrés et un complexe résidentiel de 2 immeubles de 28 étages seront édifiés . Le Dolphinarium , construit en 1982 , par l’architecte Nahum Zolotov, comprenait un aquarium, un espace destiné au spectacle et à la musique, des magasins, des restaurants .A son ouverture, on le désignait comme le Disneyland d’Israël. Après  quelque temps les dauphins mal soignés moururent et ne furent pas remplacés et, peu à peu, il perdit  et son intérêt et sa clientèle.

Je me souviens parfaitement de cette année là : 2001...

Axelle avait six ans et sur le bord de mer on était allé voir les dauphins dans la grande piscine du Dolphinarium. Pas mal, moins bien qu’à  Miami Beach mais on chantait : « Toi, le gentil dauphin, Tu n’y comprends rien »…
Et puis un matin, on a vu à la télévision qu’un attentat suicide avait fait onze morts au Dolphinarium. C’était un samedi soir et toutes les gamines de la ville essayaient de se faire admettre dans la boîte de nuit, à l’intérieur de l’enceinte. Dans le journal, leurs photos de petites jeunes filles aux yeux clairs et aux cheveux filasse : des nouvelles émigrantes venues quelques mois auparavant de Russie.




Je me souviens du ministre des affaires étrangères d’Allemagne en visite en Israël, qu’on avait logé dans le grand hôtel tout près de l’endroit. Réveillé par l’agitation, Joska Fischer, leader des Verts, s’était dévoué toute la nuit avec les pompiers et les sauveteurs et j’ai vu son visage bouleversé et ses yeux rouges et humides.
Axelle a maintenant 18 ans et elle « sort ». Toujours au Clara, qui est la boîte où se réunissent tous ceux qui « sortent » : beaucoup de musique, trop de décibels, Coca Zéro ou shots de vodka, on parle, on danse, on rit, on se connait , on se reconnaît.
Le Clara sera rasé. Beaucoup pensent qu’il fallait le faire dès la mort des jeunes immigrantes russes qui allaient danser : déchiquetées et éparpillées.
Un hôtel imposant, deux tours d’habitation en retrait mais avec vue sur la mer et la promenade qui, du port (le namal) de Tel Aviv ira jusqu’à celui de Yaffo , c’est  une nouvelle vie qui va commencer.

Source TribuneJuive.info

La liaison entre Kate, Duchesse de Cambridge, et Israël ?


Les nausées de Kate et le sexe du bébé. Est-ce que les nausées de grossesse extrêmes de Kate Middleton pourraient nous aider à savoir si la couronne britannique aura bientôt un nouvel héritier mâle pour le trône d’Angleterre? Cela pourrait être possible si on se fie à la conclusion de chercheurs israéliens qui ont étudié l’impact du sexe du bébé sur la fréquence et la sévérité de ce type de vomissements.

Il s’agit d’un sujet intéressant puisque la duchesse de Cambridge n’est définitivement pas la seule à souffrir de cette condition. On estime en effet que 70 à 90 % des femmes enceintes connaîtront des nausées pendant leur grossesse et que la moitié souffrira de vomissement. Lorsque les vomissements deviennent intraitables, on parle alors d’hyperemesis gravidarum. Ces vomissements excessifs peuvent causer des déséquilibres des fluides et des électrolytes de même qu’un déficit nutritif et une perte de poids. Ces complications mènent souvent à une hospitalisation.
Les chercheurs israéliens ont donc analysé toutes les femmes admises à leur hôpital pour hyperemesis gravidarum entre 1994 et 2008. Ils ont ainsi remarqué que les femmes atteintes de cette condition portaient plus souvent une fille, en particulier si les vomissements excessifs avaient débuté dans les 10 premières semaines de grossesse. Par ailleurs, les mères atteintes qui portaient une fille avaient vu leurs symptômes apparaître plus tôt et nécessitaient plus souvent une alimentation totale par voie intraveineuse.
Cependant, les femmes souffrant d’hyperemesis gravidarum portant un garçon semblaient avoir un risque plus élevé de travail prématuré et de maladies néonatales. En d’autres termes, si les vomissements excessifs sont plus courants chez les femmes portant des filles, les bébés mâles semblent plus sensibles aux effets négatifs de cette condition.
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’on remarque que les bébés de sexe masculin sont plus fragiles. Par exemple, le fait de porter un garçon est un facteur de risque pour un certain nombre de complications pendant la grossesse comme les fausses couches ou le travail prématuré, le diabète de grossesse, l’arrêt du travail et la césarienne.
Bien sûr, on ne peut pas utiliser de tels résultats pour conclure qu’une petite princesse verra bientôt le jour. Il est toutefois intéressant de constater que le sexe du bébé à naître semble avoir un impact sur le déroulement de la grossesse.

Source Sciencepresse.qc.ca

Mifal happait, la loterie israélienne qui construit des hôpitaux et des écoles - exemple pour le monde !


La loterie nationale existe dans beaucoup de pays, et elle existe aussi en Israël, mais Israël étant un pays particulier il lui fallait bien une loterie nationale particulière. Voilà donc l'histoire de cette réussite nationale unique, et sa particularité, de l'idée a la réalisation !
 

L'idée de créer une loterie nationale a germé dans la tête d'Israël Rokeach, le maire de la ville de Tel Aviv, dès la création de l'État d'Israël. C'étaient les premiers instants du jeune État, ils étaient difficiles. Le pays se remettait à peine de la guerre d'indépendance, et Tel Aviv était dans une situation très difficile. Rokeach se retrouva à devoir faire face à des dizaines de milliers de nouveaux immigrants, nombreux étaient parmi deux malades ou vieux, et ils ont vite double la population de la ville et l'on transforme en quelque chose d'énorme pour les notions de l'époque. La situation de l'hospitalisation était particulièrement difficile. 'Hadassah', qui était le seul établissement médical sérieux de la ville croulait sous la surcharge. Cet établissement convenait à la Tel Aviv des années trente, par a un quart de million d'habitants.



Rokeach eut une idée : créer une loterie nationale dont les bénéfices serviraient à la fondation d'établissements de santé, d'aide infirmier, d'éducation et de culture. Rokeach avait entendu parler d'une telle création en Suisse. Il envoya donc Ben-Tsion Ergov, le trésorier municipal, pour rédiger un rapport précis sur cette loterie nationale suisse. Mais il se passa encore deux longues années jusqu'à ce que le gouvernement donna son autorisation de créer la loterie nationale israélienne nommée officiellement "Mifal happais", les 26 aout 1951.
Même Israël Rokeach ne pensait pas que sa modeste loterie, qui fut crée pour réunir des fonds afin de construire des hôpitaux dans Tel Aviv, deviendrait un jour une institution financière aussi importante, qui construisit au fur et à mesure des années des milliers d'établissements à travers le pays tout entier. 'Mifal happait' qui eut besoin dès ses premiers jours d'un prêt de 10.000 livres israéliennes afin de financer ses premières loteries, ont investi depuis plus de 20 milliards de shekels dans la santé, l'éducation, le social et le communautaire.


 
Le but original de la création de "Mifal happait" était "de soutenir le développement des services hospitaliers, et leur amélioration, en créant des hôpitaux et des cliniques dans les villes et les autorités locales". C'est la ville de Jérusalem qui exigea que les activités de la loterie soient étendues aussi a l'éducation.
Le problème  hospitalier de Jerusalem allait etre résolu grace a une organisation feminine appelée 'Haddash' qui se proposait de créer un grand hopital dans la ville. Mais la ville croulait sous le problème de l'éducation, luttait sous le manque cruel de classes, et dans les écoles le matériel partait en miettes et se détériorait rapidement. La mairie, après une lutte acharnée avec les institutions gérant la loterie, accompagnée de menaces comme la création d'une autre loterie, à réussi à faire plier le système, et l'éducation fut ajoutée aux objectifs de "Mifal happait".
Le premier tirage de la loterie nationale fut fixe au 16 octobre 1951. C'était un mardi, sur lui il fut dit "Pa'amaim qui toc" (deux fois c'est la bonne), fait qui encouragea les achats de tickets de loterie et permit un démarrage du bon pied.
Il fut décidé qu'il y aurait un tirage par mois. Pour le premier tirage "Mifal happait" imprima 120.000 tickets, le prix initial du ticket avaient été fixes à une livre israélienne. Il fut décidé que le premier prix serait de 1.000 livres israéliennes, une somme importante pour l'époque. 2 gagnants se partagèrent 500 livres israéliennes chacun, et en plus il y eut 10 gagnants de 100 livres israéliennes, 20 gagnants de 50 livres israéliennes, 68 de 20 livres israéliennes, 200 de 10 livres israéliennes, 1.000 gagnants de 5 livres israéliennes, et 7.000 gagnants du prix du fond : 1 livre israélienne.
L'imprimerie nationale imprima les tickets de loterie un peu avant leur mise en vente et ils furent transfère de Jérusalem à Tel Aviv dans des caisses plombées, par le biais de trois envois séparés. L'opération se déroula sous bonne garde, beaucoup de secret, et à l'aide d'exercices de dissimulation et de tactiques d'évasion.



La ruée sur les points de vente fut au-delà de toutes les espérances. Tous les tickets furent vendus en très peu de temps. Les responsables de la loterie comprirent alors qu'ils détenaient une bonne formule : le rêve de tout un chacun de devenir riche en une nuit, et l'aide aux communautés et au public.
Le premier heureux gagnant de la loterie nationale fut Yitzhak Cohen, un habitant de Tel Aviv, un vendeur de textile de la rue Alexander Yanai 18. Il reçu son gain sous la forme d'un chèque portant le numéro 18426, attire auprès de la banque Leumi, et devint ainsi le héros du jour.
Lorsque la poussière se reposa et que les gains furent comtes, "Mifal happait" pu rembourser l'emprunt qu'elle avait reçu des grandes municipalités et couvrir les frais de la première loterie juive de l'histoire, qui étaient de 27 livres et 69 agourot. Peu de temps après la loterie nationale commença a transféré les premiers fonds pour la création et la rénovation des hôpitaux des grandes villes. Les premiers transferts eurent lieu bien avant ce qui était prévu, et ils grossirent au rythme des rentrées d'argent.
Plus tard le nombre de tickets et leur prix augmentèrent, ainsi que les gains. En octobre 1957 "Mifal happait imprima un quart de million de tickets de loterie, et les vendit dans leur grande majorité. Le premier prix était alors de 10.000 livres israéliennes, et le tirage fut fixe à une fois par semaine.

Depuis "Mifal happais" existé toujours, et continue de contribuer à l'amélioration des structures israéliennes. En voici deux exemples :
- ces dix dernières années, "Mifal happait" à cree 164 projet dans le domaine de la santé et du social pour un investissement de 242.371.179 shekels.
- Ces dix dernieres annees, 'Mifal hapais' a cree et renove 1.730 bâtiments éducatifs et sportifs pour un investissement de 4.874.351.613 shekels.


Source Haabir-haisraeli.over-blog

Un très rare et précieux manuscrit juif intègre la Mémoire du Monde de l’UNESCO


Le Florilège de Rothschild conservé au Musée d’Israël, un très rare manuscrit hébreu enluminé du 15ème siècle, l’un des joyaux de la collection du Musée national d’Israël, a été inscrit à l’UNESCO au Registre de la Mémoire du Monde pour 2013, rejoignant ainsi les précieuses archives du Mémorial de Yad Vashem dans ce registre.
 

Le Registre répertorie les documents recommandés par un Comité consultatif international de l’UNESCO qui juge l’importance mondiale et la valeur universelle des documents proposés.
Le Florilège de Rothschild et les archives de Yad Vashem sont ainsi les premiers documents d’Israël admis cette année au Registre, comprenant quelques 300 documents/collections.
L’idée de l’UNESCO, Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture, consiste à créer un dialogue apolitique des pays et des civilisations par le partage du patrimoine culturel de chaque nation. Cet objectif est atteint par le biais de plusieurs programmes, y compris par le Registre de la Mémoire du Monde, qui vise à préserver le patrimoine documentaire du monde en le rendant accessible en permanence à tous.



Le manuscrit détaille les préparatifs de la Pâque juive (Pessah) dans le nord de l’Italie au XVe siècle. Ce manuscrit sur vélin en encre brune, feuilles d’or et d’argent, de 21centimètre de haut est orné de miniatures, offre un aperçu fascinant de la vie des Juifs italiens sous la Renaissance.
Le Musée a recommandé le manuscrit en 2012 et a été inscrit au Registre en 2013.
«C’est un grand honneur pour nous » a déclaré James Snyder, le directeur du Musée d’Israël. « C’est peut-être le meilleur manuscrit enluminé hébraïque duXVe siècle et l’un des trésors les plus rares de la collection » a-t-il ajouté.

Source LemondeJuif.info

Erdogan prépare sa visite-surprise à Gaza Partager sur Facebook Partager sur Facebook


Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan est prêt pour réaliser sa visite à Gaza.

A l’issue de son discours devant le groupe des parlementaires de l’AKP, M. Erdogan a tenu un point de presse. Il a notamment indiqué aux journalistes que sa visite à Gaza était prête. « Nous pouvons faire une surprise à tout moment », a-t-il dit.
Commentant l’ouverture des négociations avec l’Union européenne sur un nouveau chapitre, M. Erdogan a affirmé que « tout se passe comme cela était prévu. Il n’y a aucun problème ».
Interrogé sur sa conversation téléphonique surprise réalisée avec le président américain Barack Obama, le Premier ministre turc a indiqué que seule la Syrie n’avait pas été évoquée. Certes les deux hommes ont commenté les derniers développements en Syrie, mais également en Irak, et plus largement au Moyen-Orient, et bien sûr, en Turquie.

Source Turquie-News

Levée de fonds pour le vélo en carton israélien



Son inventeur, Izhar Gafni, souhaite démarrer une production industrielle de ce deux roues écologiques. Le vélo est fait avec du carton mélangé avec des bouteilles de plastique, bien entendu, recyclés, et des pneus de voitures d’occasion. Il est censé être résistant à l’eau et au feu. Maintenant Gafni et son partenaire d’affaires, Nimrod Elmish, tentent d’atteindre une production industrialisée du vélo et ils ont lancé la campagne Indiegogo, sur un site internet.

Les inventeurs doivent parvenir à un objectif de 2 millions de dollars dans les 44 prochains jours. Indiegogo a déjà levé près de 20.000 $ en deux jours. Le coût d’un vélo devrait s’élever entre 10 et 30$.
«Imaginez un moment où tous les produits en plastique ou en carton qui sont jetés dans la corbeille contribueront à la création d’un vélo, à un fauteuil roulant ou à un jouet», explique Gafni, « fondamentalement, l’idée est comme l’origami japonais, mais nous n’avons pas comprimé le carton et nous ne brisons pas sa structure. Nous surmontons les points de défaillance du carton en répartissant le poids pour créer la durabilité ».
En plus de cette durabilité, le vélo offre une solution de transport écologique et peu coûteuse pour les pays moins développés. Selon Elmish, « notre produit utilise non seulement les déchets pour créer un objet de valeur, mais aussi contribue à la construction d’une culture de recyclage dans les pays en développement ».
Les investisseurs qui retiennent leur attention doivent non seulement apporter, bien entendu, des valeurs financières mais aussi être sensibles aux valeurs sociales. Un des investisseurs dernièrement accepté est Jeff Swartz, le PDG de Timberland. « Ce projet me semble représenter une occasion unique pour un capitalisme moral en action – l’innovation environnementale qui offre un produit de qualité supérieure qui est bon pour les consommateurs et bon pour la société. » a déclaré Jeff Swartz.
Le très populaire Science Magazine a classé ce vélo en carton comme l’une des meilleures inventions en 2013.

Source Lemondejuif.info

Guerre civile syrienne - La Russie retire tout son personnel militaire

 

 
La décision n'est pas un bon signe pour Bashar el-Assad, alors que le seuil des cent milles victimes vient d'etre franchi dans la guerre civile syrienne. La Russie a en effet achevé le retrait de son personnel militaire de Syrie, et vide même son centre naval stratégique de Tartous, en raison de l'escalade de la violence dans le pays.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov l'avait annoncé vendredi dans une interview parue dans le quotidien arabophone basé à Londres, Al-Hayat : "Aujourd'hui, le ministère russe de la Défense n'a plus une seule personne en Syrie".
D'après Vedomosti, quotidien d'affaires russe, citant dans son édition de mercredi une source anonyme au sein du ministère russe de la Défense, cette décision aurait été prise pour "limiter les dangers pesant sur les ressortissants russes pris sous le feu de la guerre civile".
Une façon aussi de limiter le risque politique qui pourrait résulter de pertes russes.
Ce retrait concerne le personnel militaire et civil du ministère de la Défense.
En revanche, les experts en armement ou les techniciens embauchés par le gouvernement syrien pour former ses troupes au maniement de certaines armes, restent sur place.
La Russie fournit en effet à la Syrie des intercepteurs de missiles sol-sol, ainsi que des avions de et Moscou soutient que ces ventes d'armes ne font qu'honorer des contrats signés avant que n'éclate le conflit actuel en mars 2011.
Par ailleurs, selon Vedomosti, la Russie envisage de maintenir de façon permanente dans la région trois à cinq navires de guerre "pour manifester son intérêt stratégique au Moyen-Orient" mais la base navale de Tartous resterait sans personnel.
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères s'est d'ailleurs défendu que Tartous soit autre chose qu'"un simple point d'approvisionnement technico-militaire de la marine russe".
Créé à la suite d'un accord entre Damas et Moscou en 1971, l'installation de Tartous située sur le littoral méditerranéen, au cœur de l'enclave musulmane alaouite, bastion du régime du président Bachar al-Assad, est le seul point d'accès à la mer de la Russie situé en dehors de l'ancienne Union soviétique.
L'Observatoire syrien pour les droits de l'homme a publié mercredi le dernier bilan des victimes du conflit syrien : 100 191 personnes ont été tuées dont au moins 36 661 civils, 25.000 membres appartenant aux troupes du régime et 18 072 rebelles.
Le reste est composé de miliciens pro-régime, de victimes non identifiées ou…. de combattants du Hezbollah.

Source Israel Infos

L’Opéra du Bolchoï pour la première fois en tournée en Israël



C’est  le plus grand événement artistique de l’été: pour la première fois, l’Opéra national de Tel-Aviv reçoit l’Opéra du Bolchoï de Moscou, l’un des opéras les plus importants au monde. Le Bolchoï présentera le chef-d’œuvre de Tchaïkovski, « Eugène Onéguine », sans doute l’opéra le plus « russe » de tous les temps.
 
Basé sur le roman émonyme d’Alexandre Pouchkine, « Eugène Onéguine » raconte une histoire d’amour raté puisque le bonheur n’existe pas dans la vie : l’essence de l’âme russe, servie par une musique en totale adéquation. Cette œuvre achevée en janvier 1878, fait partie du répertoire lyrique actuel.
« Nous avons présenté ‘Eugène Onéguine’ sur les scènes européennes les plus importantes », a déclaré Anatoly Iksanov, le directeur  du Théâtre du Bolchoï. « Nous sommes fiers de présenter cette production à l’Opéra national de Tel-Aviv, dont la réputation internationale n’est plus à faire. »
« J’ai visité Israël avant le directeur du théâtre de Saint-Pétersbourg et j’ai été très impressionné par le formidable public israélien », a-t-il ajouté.
La directrice de l’Opéra national de Tel-Aviv est elle aussi ravie de ce premier passage du Bolchoï en Israël. C’est par ces mots qu’elle a annoncé l’évènement lors d’une conférence de presse : « Chers clients, nous sommes fiers et émus de vous annoncer que nous allons recevoir le théâtre du Bolchoï à l’Opéra de Tel-Aviv. C’est un événement historique pour le peuple d’Israël, nous l’attendons depuis longtemps. Nous avons rêvé pendant des années que cela puisse se réaliser. Mon plus grand souhait est de voir cet événement jeter les bases d’une belle amitié, afin que nous puissions nous réunir à nouveau dans l’avenir ».
 

Les billets pour les 11représentations du 24 juin au 6 juillet ont été vendus massivement avant le début des représentations :il ne reste que quelques places. Parmi toutes les bonnes raisons de ne pas rater cet évènement énumérées par Time Out Tel-Aviv, le magazine des spectacles et des sorties, il en est une qui a certainement enthousiasmé les fans d’Opéra : la troupe qui se produit à Tel-Aviv est la même que celle qui a créé le spectacle à Moscou en 2006, et aucun changement n’y a été apporté. Cela change agréablement les aficionados des spectacles donnés par les troupes reçues habituellement par l’Opéra de Tel-Aviv : autres artistes, autre mise en scène, le spectacle présenté n’a plus grand-chose à voir avec la création originale.

Source TribuneJuive.info

Shalom met en garde contre une division du Likoud



Le ministre de l’énergie et de l’eau, Silvan Shalom, a averti jeudi que le Likoud, le parti au pouvoir, pourrait faire face à un bouleversement majeur si le premier ministre Benyamin Netanyahou s’engage dans une manœuvre diplomatique majeure pour relancer le processus de paix avec l’autorité palestinienne.

Dans une interview donnée à Radio Israël, Shalom a déclaré que toute tentative majeure « qui contredirait les principes du Likoud pourrait provoquer un choc, peut-être même une scission au sein du Likoud. »
Shalom a déclaré que le gouvernement était prêt à entamer des négociations sans conditions préalables, mais il a ajouté que « la balle est désormais dans le camp des palestiniens. »
Le ministre a ajouté que la demande de baser les négociations sur les lignes de 1967 et un gel de la construction juive en Judée Samarie est inacceptable du point de vue de Jérusalem.
Les déclarations de Shalom reflètent l’appréhension croissante au sein du Likoud sur les nouveaux développements sur le front diplomatique. Mardi dernier, le vice-ministre de la défense, Danny Danon, a présenté un formidable défi au secrétaire d’état américain John Kerry, qui arrive en Israël aujourd’hui dans un effort pour relancer les pourparlers de paix. Danon a déclaré à ses partisans que dès la semaine prochaine (donc cette semaine), les plans diplomatiques doivent passer un vote au sein du belliciste comité central du Likoud.
Danon, qui est considéré comme un rival de Netanyahou dédié à contrecarrer toute tentative potentielle d’un règlement avec l’autorité palestinienne, a remporté le titre cérémonial de président de la convention du Likoud, avec une majorité écrasante de 86% des voix.
« Le parti a été dans le coma ces derniers temps, » a déclaré Danon à ses partisans lors d’un rassemblement à Tel Aviv. « Nous allons aider à relever le Likoud avec l’énergie que je lui connaissais quand j’étais enfant. Nous allons rétablir l’âme du parti. »
Danon a dit qu’il était plus que jamais attaché au but qu’il s’était fixé lors de son entrée en politique : prévenir Israël de céder des terres de Judée et Samarie. Il s’est moqué de la capacité de la gauche à l’empêcher de réaliser cet objectif.
« La faible gauche ne sait pas comment traiter les idées, les principes ou l’idéologie, » a déclaré Danon aux militants. « Pour maintenir la terre d’Israël, nous devons le faire vie un travail politique. Nous ne pouvons pas nous permettre de nous asseoir sur nos mains. »

Source JerusalemPlus

Un soldat qui avait oublie son sac dans le train est mort, tristement et stupidement !



Ce qui ressemblait au départ à un suicide s'est révélé être un terrible accident : un soldat de la marine israélienne, Hanan Maman z"l, qui était en route pour se rendre à sa base d'Ashdod à oubli son sac dans le train. Il s'est jeté sur le quai, s'est suspendu entre un wagon et la locomotive et a voyagé suspendu ainsi entre ciel et terre jusqu'à ce qu'il tombe et trouve la mort. Il s'est filmé avec son téléphone portable.

Terrible mort sur les rails : jeudi la mort d'un soldat entre Ashdod et Ashkelon a ete rendue publique. Au début on a parlé de suicide sur les rails, mais l'enquête a révèlé les véritables raisons de cette mort. Un soldat de la marine israélienne, Hana Maman z"l, a ete tue alors qu'il était suspendu à un train qui roulait, après qu'il ait oublie son sac dans le train. La police a annoncé que le soldat s'est même filmée avec son téléphone portable pendant son voyage mortel.
L'enquête a révèlé que Maman, qui était en route pour sa base d'Ashdod, a oublié son sac dans le train en descendant à la gare d'Ashdod. Il se mit alors à courir vers le train, mais ne réussi pas à arriver avant que les portes ne se referment. Au lieu de renoncer et de rester sur le quai, le soldat décida de grimper sur le train jusqu'à la prochaine station, Ashkelon, se trouvant à plus de quinze kilomètres de là.
Le conducteur de la locomotive n'a pas vu le soldat suspendu à son train, et le corps du soldat a finalement été trouvé à proximité de la gare. Un peu avant d'arriver à la gare d'Ashkelon il s'est levé, ou a essayé de sauter du train, il est tombe et est mort. Suite à cet accident, la circulation ferroviaire entre Ashdod et Ashkelon a ete arretee dans la journée de jeudi.
Le corps du soldat était recouvert d'huile et de suie noire, qu'il a apparemment reçu pendant ce voyage qui s'est tragiquement termine. Le téléphone portable de Maman a aussi été retrouvé sur son corps.
Les enquêteurs ont regardent les vidéos contenues dans le téléphone portable du soldat, et ils découvrirent qu'il s'était filmé quand il était accroché au train, suspendu entre ciel et terre, dans l'espace confiné entre la locomotive et le wagon. Sur le film on voit Maman parler à la caméra, mais a cause des conditions et du vent il est impossible de comprendre ce qu'il dit. Le film se termine quand le train entre dans un virage, et a priori c'est là que le soldat a sauté et a trouvé la mort.
Source Haabir-haisraeli.over-blog

A deux pas d'Israël la Jordanie lance «The Red Sea Astrarium»



La station côtière d’Aqaba en Jordanie va se doter d’un nouveau complexe géant pour un montant de 1,5 milliard $. Il comprendra quatre hôtels haut de gamme, des commerces et restaurants, un cinéma 4D, une salle de spectacles, un parc aquatique ainsi qu’un parc à thèmes avec seize attractions, basée sur «Star Trek».

Derrière ce projet aux abords de la mer Rouge, non loin d’Israël et de l’Egypte, se trouve le groupe jordanien Rubicon Group Holding.
D’une surface de 75‘000 m2, ce centre de loisirs portera le nom de «The Red Sea Astrarium». Il devrait stimuler le tourisme dans la région d’Aqaba, générer de nouveaux emplois dans le tourisme et attirer des événements culturels. Il est déjà prévu d’y faire venir l’exposition sur la Route de la soie de l’American Museum of Natural History.
La construction a démarré il y a peu de temps, après des années de planification. Les autorités jordaniennes s’attendent à recevoir jusqu’à 500.000 visiteurs annuels.

Source Israel Valley

Israël ouvre des salles de prières musulmanes dans six de ses plus grands hôpitaux

 

Le ministère de la Santé a informé, mercredi, la Haute Cour de Justice, que six des plus grands hôpitaux d’Israël ouvriront des salles de prières musulmanes dans les 18 prochains mois, en réponse à une pétition.

Le directeur général du ministère de la santé, Roni Gamzu, a assuré la Cour  que dans les 18 prochains mois à venir, les hôpitaux d’Ichilov (Tel Aviv), Kfar Saba (Tel Hashomer), Beilinson (Petah Tikva), Hadassah-Ein Karem (Jérusalem), Rambam (Haïfa) et Soroka (Beer Sheva) possèderont tous des salles de prières musulmanes.
La musallah, ou la salle de prière, se distingue de la mosquée étant une structure séparée.
L’Etat a ajouté qu’il examinerait la possibilité d’ajouter des secteurs de prière pour les Musulmans également dans les petits hôpitaux.
Gamzu a souligné qu’en 2011, il avait indiqué au conseiller juridique du ministère de la santé, en réponse aux nombreuses demandes, qu’en principe, il soutenait la création de zones de prière pour les Musulmans dans tous les hôpitaux publiques afin de permettre à tous les fidèles, de toutes les religions, de pratiquer librement leur culte dans les hôpitaux.
La pétition a été déposée par Salim Nasser, un Israélien musulman qui avait rendu visite à un parent hospitalisé à l’hôpital Ichilov et s’était plaint qu’il n’existait aucune zone pour la prière des Musulmans.
Selon le procureur, Yehuda Ressler, “le requérant et sa famille sont venus de loin et avaient dû dire leurs prières sur la pelouse de l’hôpital“.
La question des salles de prières musulmanes dans les hôpitaux a été au centre d’un différend à l’été 2011 entre le vice- ministre de la Santé, Yaakov Litzman, et le directeur de l’hôpital de Galilée occidentale à Nahariya, le Dr Massad Barhoum, le premier arabe en Israël à la tête d’un hôpital. Des protestations de certains membres du personnel médical ont éclaté lorsque Barhoum a annoncé qu’il prévoyait de construire une mosquée sur le terrain de l’hôpital.
La première salle de prière musulmane à Soroka a ouvert il y a plus de dix ans, et ces dernières années, plusieurs hôpitaux dans le Nord ont également ouvert des pièces à cet effet, dont le Rambam, et le Ha’emek à Afula.

Source Lemondejuif.info

vendredi 28 juin 2013

L'archevêque de Canterbury : Israël est " le centre du monde "

 

" Israel est le centre du monde à bien des égards "a declaré Jeudi l'archevêque de Canterbury à Jérusalem. C'était sa première visite dans la région depuis sa nomination à l'un des postes les plus élevés dans l'Eglise protestante. Mgr Justin Welby, qui a un père juif, est le chef de l'Église d'Angleterre et a la tete de 80 millions d'anglicans dans le monde entier. Il a été intronisé à Canterbury le 21 Mars.

Interrogé par des journalistes sur la raison pour laquelle il a fait de sa visite en Israël une priorité si tôt dans son mandat, il a répondu: " C'est le berceau des trois grandes religions du monde. C'est le berceau de notre foi, de la foi chrétienne. C'est l'endroit où Jésus a vécu et a marché et ou il est mort et ressuscité. Il est à bien des égards le centre du monde, à bien des égards extraordinaires. Quelle raison pourrait-il y avoir à retarder ma venue ? "
Lors de sa visite, il s'est aussi rendu dans les territoires palestiniens, en Egypte et en Jordanie. L'archevêque devait s'entretenir avec le président Shimon Peres, des dirigeants communautaires et des personnalités religieuses, comme les représentants du Grand Rabbinat et patriarches des Eglises de Jérusalem.
Jeudi matin, Welby, 57 ans, a visité le mémorial de l'Holocauste de Yad Vashem. Interrogé sur son expérience, il hésita, apparemment ne sachant pas comment réagir. Mais après quelques secondes, il dit: " Je ne tiens pas particulièrement à en parler en détail. Ce fut un moment extrêmement personnel et émotionnel, vraiment. "
Welby, qui n'a découvert son héritage juif récemment, avait des parents qui ont péri dans l'Holocauste.




Le grand rabbin séfarade Shlomo Amar devait rencontrer Welby mais il a dû annuler pour des "raisons personnelles", Amar a été retardé en Espagne. Au lieu de cela, Welby a été accueilli au siège du rabbinat de Jérusalem par deux membres anglophones du Comité interconfessionnel du Grand Rabbinat pour le dialogue, les rabbins David Rosen et Daniel Sperber. Sperber a également représenté le rabbinat à la cérémonie d'intronisation de Welby in Mars à la cathédrale de Canterbury.
"La politique clair de l'église et mon propre sentiment émotionnel sont très clair, c'est que l'Etat d'Israël est un état légitime comme tout autre Etat dans le monde et a le droit d'exister dans la sécurité et la paix dans des frontières internationalement reconnues", a déclaré l'archevêque . "Deuxièmement, tous les habitants de la région sans exception, qu'ils soient israéliens ou palestiniens ou de toute autre, ont aussi le droit d'exister en paix et en sécurité dans des frontières bien convenus. "
Welby a dit qu'il n'était pas qualifié pour commenter les efforts actuels du secrétaire d'Etat américain John Kerry pour relancer le processus de paix au point mort, mais bénit son initiative avec succès. " De toute évidence, quelqu'un qui cherche à mettre en place un règlement dans ce domaine, nous devons tous leur souhaiter bonne chance ".

 Source Koide9enisrael ( traduit a partir de
Timeofisrael )

Petit coucou des Romains : une route vieille de 1.800 ans a été découverte à Jérusalem !



Dans le quartier de Beth Hanina, dans le nord de Jérusalem, une portion de route romaine a été découverte sur une largeur de 8 mètres. Elle faisait partie de la route qui menait de Beth Horon à la ville sainte.

Une route antique, de la période des Romains (2-4e siècle après JC), qui menait de Yafo à Jérusalem, a été decouverte durant ces deux dernières semaines dans le quartier de Beth Hanina, dans le nord de Jérusalem. Cette route a été découverte dans le cadre de fouilles archéologiques organisées dans le quartier par l'autorité israélienne chargée des antiquités, avant la mise en place d'un tuyau d'évacuation par la société Moriah.
Cette route, large de 8 mètres, était encadrée par deux rangées de pierres. Elle était elle-même composée de grosses pierres plates accolées les unes aux autres afin de donner une surface confortable pour la marche.
Certaines des pierres sont très usées et témoignent de l'utilisation importante qui était faite de cette route, et elle a même fait l'objet de réparation au cours des années.

Ils ont sillonné l'empire de routes



Selon David Igar, le responsable des fouilles pour l'autorité israélienne chargée des antiquités, "certaines parties de cette route ont déjà été découvertes par le passé grace à des missions organisées par l'autorité israélienne chargée des antiquités, mais une partie aussi importante n'avait encore jamais été découverte dans le secteur de la ville de Jérusalem. Les Romains portaient beaucoup d'importance aux routes de l'empire".
"Ils ont investi beaucoup d'argent et se sont servi des meilleurs techniques de l'époque afin de sillonner l'empire de route. Celles-ci servaient la gestion, l'armée, l'économie et le peuple pour que ses déplacements soient meilleurs et plus sûrs".
"Le long des routes étaient construits des arrêts et des auberges, ainsi que des forteresses pour défendre les gens en déplacement. Le traçage et l'entretien des routes revenaient à des unités de l'armée, mais les citoyens participaient aussi à la construction de ces routes en tant que travail obligatoire impose par le pouvoir".
Une partie du réseau de routes imperiales qui conduisaient à Jérusalem
Le morceau de route qui a été découvert à Beth Hanina lors de ces fouilles, est une partie du réseau de routes impériales qui conduisaient à Jérusalem à partir des cotes. Ces routes sont connues graces à des sources historiques, ainsi que grace à des fouilles archéologiques de ce type.
Deux routes principales menaient à l'époque romaine, de Yafo à Jérusalem : une passait par Beth Horon et la deuxième passait par Sha'ar Hagai. La route découverte actuellement est une partie de celle qui menait à Jérusalem en passant par Beth Horon. Le trace de cette route commençait à Yafo et passait par Lod, où elle se divisait pour prendre deux directions différentes : un vers Sha'ar Hagai et l'autre vers Modi 'in, le long de la route 443 actuelle, et cela jusqu'à Beth Horon. De là-bas, la route continuait par l'est jusqu'à Bir Nabala et tournait au sud pour Kfar Shaul.
À partir de Kfar Shaul, elle rejoignait la route de montagne qui menait à la vieille ville de Jérusalem.
Il est possible de voir que la route moderne de Bir Nabala a été Tracee quelques centimètres au-dessus de la route antique, preuve qu'il y a encore quelques dizaines d'années, cette route était encore visible et servait encore.


Source Haabir-haisraeli.over-blog