lundi 24 décembre 2012

Paris Tel-Aviv avec Rayanair, c' est pour trés trés bientot !



Actuellement, les transporteurs traditionnels tel que El-Al ont la main mise sur les marché des vols vers Israël. D’autres compagnies low-cost comme Easyjet, Germanwings, Air Berlin, Condor, ont eu des expériences très concluantes sur les vols en direction de Tel-Aviv.

Si ces rumeurs devaient se confirmer, Ryanair aurait l’intention, à terme, d’ouvrir 40 lignes entre Tel-Aviv et les villes européennes, ce qui ferait du géant irlandais, la plus importante compagnie low-cost du marché israélien. Easyjet, lui, n’a que dix vols hebdomadaires entre Londres et Tel-Aviv, avec un taux d’occupation très important et des prix proches des transporteurs traditionnels. Ryanair devrait entrer sur le marché avec des tarifs nettement inférieurs.
Quoi qu’il en soit, aucun accord ne devrait être signé avec Ryanair avant les prochaines élections israéliennes.Ce futur accord pourrait être dévastateur pour El Al, mais amènerait probablement des centaines de milliers de nouveaux touristes en Israël.

Ryanair, qui propose l’ouverture de 40 destinations à partir de Tel-Aviv, tente de pénétrer le marché israélien. Seul problème : El Al a lançé une horde de lobbyistes pour stopper ce low cost. A la Knesset les pro-El Al s’agitent. Ryanair est une compagnie aérienne à bas prix, basée en Irlande et dont le siège social est à Dublin comme Aer Lingus. Selon Capital.f : "La compagnie low-cost est la plus rentable du monde. Sa méthode : tirer les salaires vers le bas, siphonner l’argent public dans les petits aéroports et facturer aux clients des frais en tous genres. Un vrai flibustier.


Michael O’Leary

Expédié en dix minutes. Il n’aura pas fallu plus de temps à Michael O’Leary, le 21 mai dernier, dans une tour sans charme de Londres, pour présenter devant la presse ses comptes 2011. «Ryanair ne s’est jamais aussi bien portée, a résumé le patron de la compagnie de Dublin, coupe en brosse et chemise à carreaux. Elle va bien mieux que l’Irlande.» Et de suggérer, devant une assemblée hilare, qu’on mette son pays «sous la tutelle de l’Allemagne» !

Toujours à faire le pitre devant les photographes, le patron de Ryanair est passé maître dans l’art d’amuser son monde. Mais chez les concurrents, ses provocations ne font plus rire depuis longtemps. Cela fait dix-huit ans qu’il se livre à un jeu de massacre en Europe, laminant un à un tous les acteurs historiques. Incroyable paradoxe : la compagnie la moins chère du monde – elle revendique un prix moyen du billet hors taxes de 45 euros, contre 71 euros pour EasyJet et 250 euros pour Air France – est aussi la plus rentable. L’an dernier, alors que le prix du carburant flambait, la société irlandaise a affiché 503 millions de bénéfices nets pour 4,3 milliards de chiffre d’affaires".


Source Cool Israel et IsraelValley