dimanche 23 décembre 2012

les S-300 syriens ont été transférés par avion en Iran au nez et à la barbe des services occidentaux



Les S-300  assureront aux iraniens une protection anti-aérienne difficile à percer,  ses radars peuvent suivre simultanément 100 cibles,  avions de chasse comme missiles de croisière .
L'Iran cherche depuis le début des années 2000 à se procurer ce matériel. Les négociations auraient toujours été en cours en 2009, bien que le président russe Dimitri Medvedev ait assuré avoir donné pour instruction de n'effectuer aucune livraison de S-300 à ce pays mais il semble qu' en politique, les choses ne soient jamais figées.




Voici un petit historique rappelant les diverses tentatives de l' iran de se doter de ce systeme de defense :

Cependant, un contrat a été signé mais la livraison a été reportée à cause de problèmes techniques et coïncide avec la visite du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou le 16 février 2010.

Pourtant, selon les révélations du journal autrichien Salzburger Nachrichten le cargo Arctic Sea, transportait des missiles S-300 à destination de l'Iran.

Le 5 août 2010, l'Iran déclare avoir obtenu quatre de ces systèmes antiaérien auprès de pays tiers.

Le 22 septembre 2010, la décision a été annoncée par les autorités russes de ne pas livrer de S-300 à l'Iran, ces armes tombant sous le coup des sanctions de l'ONU.

Le 28 septembre 2010, les révélations de télégrammes de la diplomatie américaine par WikiLeaks dévoilent un document envoyé par le département d'État des États-Unis à diverses ambassades américaines (dont celles de Tel-Aviv et de Moscou) daté du 18 février 2009 et où les États-Unis suspectent la Russie d'équiper l'Iran en missiles S-300.



Lors des défilés de 2010, l'Iran a exhibé ses propres systèmes antimissiles de fabrication nationale et fortement similaires au S-300; l'Iran ayant par ailleurs mis en garde le gouvernement russe sur le fait qu'à défaut d'obtenir les S-300 demandés, il allait concevoir ses propres systèmes.

Source NanoJV