lundi 11 avril 2016

Clôture de l'enquête contre un soldat qui a abattu un lanceur de pierres





Le procureur militaire en chef a décidé de clore l'enquête contre un commandant de la brigade Binyamin, le colonel Yisrael Shomer, qui avait abattu le 3 juillet dernier un lanceur de pierre arabe qui avait attaqué sa voiture alors qu'il conduisait à travers Kalandia au nord de Jérusalem....







L'armée israélienne, ainsi que d'autres responsables israéliens, avait initialement soutenu Shomer sur ses actions, notant le danger pour sa vie dans l'attaque alors qu'une pierre avait fracassé le pare-brise et pénétré dans la voiture. Des attaques à la pierre similaires ont cause la mort dans de nombreux cas, comme l'assassinat d'Alexandre Levlovitz en septembre dernier.






Mais après que l'organisation d'extrême gauche B'Tselem ait diffusé une vidéo de l'incident, Tsahal a été pressé de lancer une enquête sur la fusillade du terroriste Mohammed al-Kasbeh.
Sans coïncidence, une autre vidéo filmée par des militants de B'Tselem a également stimulé l'enquête contre un autre soldat qui est actuellement accusé d'homicide involontaire après avoir abattu un terroriste blessé à Hevron il y a trois semaines au case de préoccupations qu'il allait faire exploser une ceinture d'explosifs.
En réponse à l'attaque à la pierre, Shomer est sorti du véhicule et a suivi la procédure de Tsahal pour appréhender le terroriste, criant un avertissement et tirant en l'air avant de tirer à deux reprises tout en visant les jambes du terroriste.
Durant l'enquête il a été constaté que Shomer avait tiré dans les jambes du terroriste alors qu'il était en mouvement et non tout en restant immobile, et donc ses coups n'étaient pas précis et ont tué le terroriste.
L'avocat militaire général (AMG) a constaté que les coups de feu étaient justifiés dans les circonstances de l'incident, et étaient destinés à faciliter l'arrestation de l'attaquant.
Il a également été constaté que le tir tout en n'étant pas en position statique relevait d'une erreur professionnelle, mais justifiés vu les circonstances de l'incident.
En conséquence, l'avocat a constaté que les tirs n'ont pas enfreint le droit pénal et ne justifient pas des mesures juridiques contre l'officier.


Source Juif.Org