La journaliste Julie Eltes nous raconte son périple en Judée Samarie pour y découvrir le " festival le plus attendu de l'année, l'Oktoberfest de Taybeh ", sauf que son récit est à la limite du supportable, en effet, cela vient peut-être de mon sionisme sans limite mais bien des choses me choquent dans son article. J'ai donc choisi de retranscrire l'ensemble du texte et d'y anoter mes commentaires en rouge...Decryptage d'un article pas très catholique....
Bière, danse et musique: l'Ocktoberfest de Taybeh, l'autre visage palestinien
Le festival annuel le plus attendu de Cisjordanie (Judée-Samarie) a encore une fois séduit des milliers d'amateurs de bière et de musique palestiniennes (c'est quoi la musique palestinienne ? de la musique orientale, musique arabe, mais musique Palestinienne ?). Une occasion rare pour chrétiens, juifs (tiens donc des juifs dans ce festival, alors peut être quelques égaré de Shalom Archav) et musulmans (des musulmans qui boivent ? mais ils n'ont pas le droit, le religion l'interdit non ? ) de boire, de danser et d'échanger.
A quelques kilomètres au nord-est de Ramallah, dans l'unique village chrétien ( le seul village chrétien ? et Bethléem ? c'est pas chrétien ? non, elle a raison, les arabes les en ont chassé, par contre, en Israel, il y en a encore, Nazareth, Kfar Habaptisim, Nes Amim, Yad Hashmonah, il y a encore de forte communauté dans les villes de Akko ( St Jean d’Acre), Kfar Cana, Haifa, Herzliya, Eilabun, Jaffa, Jérusalem, Kfar Yasif, Netanya, Petach Tikva, Ramat’uran, Yafiaa etc ) de Cisjordanie (Judée-Samarie), une marée de piétons afflue en slalomant entre des centaines de voitures mal garées.
L'Oktoberfest de Taybeh est devenu l'événement incontournable où vendeurs de fallafels et de barbe à papa côtoient marchands de broderie traditionnelle et tatoueurs au henné autour d'une scène où se succèdent danseurs, chanteurs et DJs palestiniens pour le plus grand plaisir des amateurs de bière.
A l'occasion, près de 15 000 personnes -selon les organisateurs- se sont croisées dans cette brasserie palestinienne pittoresque, perchée sur les hauteurs des collines bibliques d'Ephraïm (Tiens donc, les collines d'Ephraim, cela sonne bien juif comme nom, et la Julie continue d'utiliser tout les deux mots "Cisjordanie" alors que la preuve vient d'apparaitre dans son propre article, les collines d'Ephraim son en Judée-Samarie Julie !).
Parmi les festivaliers, de nombreux habitants du village, mais aussi des Palestiniens arrivés des quatre-coins de Cisjordanie (Judée-Samarie), des Jordaniens, beaucoup "d'internationaux" (surnom donné aux Occidentaux travaillant dans les différentes ONG de la région), quelques touristes et des Israéliens, venus discrètement trinquer avec leurs voisins ( Je n'en crois pas un mot mais j'y reviendrai plus bas ).
"C'est la première fois que je viens à l'Oktoberfest, j'ai l'impression d'être dans un univers parallèle", raconte une juive américaine qui passera le weekend à Taybeh avec quatre de ses amies, toutes Israéliennes ( Elle se moque de nous la Julie, elles vont passer le Week End...ben voyons...shalom archav, encore elles, ou alors s'est du baratin de journaliste, pas de photo de ces 4 juives courageuses ???). "C'est génial d'avoir ce genre d'événement culturel, pour moi qui parle couramment l'arabe, c'est incroyable de pouvoir converser, ici, en buvant de l'alcool", explique-t-elle encore.
De l'autre côté de la place, alors qu'elle assiste à un spectacle de Dabkeh (danse traditionnelle palestinienne) ( magnifique Julie, tu viens de nous donner la vraie origine du peuple palestinien, en effet, le Dabkeh est une danse traditionnelle mais pas palestinienne, ce peuple n'a que 50 ans au max alors ils ont pas de danse traditionnelle, le Dabkeh est la danse traditionnelle Libanaise !!! les palestiniens sont donc des arabes du Liban...) une étudiante de Jérusalem dit être venue pour se fondre dans la foule et expérimenter "l'autre côté sous son meilleur jour".
"Tout le monde est le bienvenu"
A l'intérieur du hangar de fermentation, le maître-brasseur Nadim Khoury, un peu éméché, explique le processus de fabrication de "la première bière palestinienne", un verre à la main.
D'abord gêné par la question de la venue d'Israéliens, Nadim Khoury hésite quelques secondes et finit par assurer dans un éclat de rire que les invitations sont ouvertes à tous et que "tout le monde est le bienvenu, ils sont les bienvenus".( Alors il faut savoir, il est géné mais il finit par dire que tout le monde est bienvenue, et bien perso, je risquerai pas ma vie pour boire une biere avec lui, on sait jamais, il pourrait déssouler le Nadim, son antisémitisme pourrait me couter cher...)
"Chaque année des Israéliens viennent, car ils n'écoutent pas tous leur gouvernement", explique Maria Khoury, en charge des relations publiques de la brasserie.
"Israël place de grands panneaux rouges à l'entrée des villages arabes pour interdire aux Israéliens d'entrer et nous interdire de sortir ( Il ment comme il respire ce Nadim, des panneaux rouges pour les empecher de sortir...ben voyons, donc un arabe qui né dans le village de Taybeh n'en sort jamais, et la Julie elle gobe toutes ces connerie et elle les raconte à des dizaines de milliers de lecteurs ? c'est du grand journalisme, pourquoi elle n'a pas photographié le panneau, signe de l'apartheid israélien en vers les pauvre palestiniens ?), Mais nous espérons que les choses changent et que chacun puisse un jour se déplacer librement."
"Israël place de grands panneaux rouges à l'entrée des villages arabes pour interdire aux Israéliens d'entrer et nous interdire de sortir ( Il ment comme il respire ce Nadim, des panneaux rouges pour les empecher de sortir...ben voyons, donc un arabe qui né dans le village de Taybeh n'en sort jamais, et la Julie elle gobe toutes ces connerie et elle les raconte à des dizaines de milliers de lecteurs ? c'est du grand journalisme, pourquoi elle n'a pas photographié le panneau, signe de l'apartheid israélien en vers les pauvre palestiniens ?), Mais nous espérons que les choses changent et que chacun puisse un jour se déplacer librement."
Car Taybeh se situe en zone A, région de la Cisjordanie (Judée-Samarie) contrôlée par l'Autorité palestinienne (si c'est sous controle palestinien, alors qui a mis ces fameux panneaux rouge ? il y a un truc qui cloche...)depuis les accords d'Oslo et dans laquelle Israël interdit à ses ressortissants d'entrer sans permis.
C'est aussi une des raisons pour lesquelles tous les Israéliens présents ont souhaité restés anonymes (Ben voyons, ou alors il n'y avait pas d'Israelien mais cela fait mieux dans l'article de dire qu'il y en a, encore le syndrome Shalom archav...).
Alcool et viande de porc
"Je suis venu par curiosité. Il n'y a pas de contrôle militaire entre la zone C (contrôlée par Israël, NDLR) et le village de Taybeh. C'est donc possible de venir voir et participer à ce festival", explique encore un Israélien venu de Tel Aviv. "J'avais envie de rencontrer des Palestiniens qui font des choses que nous pourrions faire en Israël comme danser, boire ou faire la fête." (Je n'en crois pas un mot, pas de barrage...et puis quoi...et il avair envie de venir voir blablabla...n'importe quoi)
Mais l'Oktoberfest n'est pas du goût de tous à Taybeh. Considéré comme "trop libéral" par le nouveau maire de la ville, le festival n'est plus organisé sur la place du village.
Délocalisé en 2013 à Ramallah puis annulé en 2014 à cause de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, le festival se tient depuis 2015 dans l'enceinte de la brasserie des Khoury. (Et bien en début d'article, Julie nous faisait l'éloge des 15.000 personnes qui déambulaient dans la ville, maintenant, lle nous avous qu'ils sont cloitrés dans une brasserie, 15.000 personnes dans la brasserie, un peu étroit non ?)
Délocalisé en 2013 à Ramallah puis annulé en 2014 à cause de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, le festival se tient depuis 2015 dans l'enceinte de la brasserie des Khoury. (Et bien en début d'article, Julie nous faisait l'éloge des 15.000 personnes qui déambulaient dans la ville, maintenant, lle nous avous qu'ils sont cloitrés dans une brasserie, 15.000 personnes dans la brasserie, un peu étroit non ?)
"Nous soutenons un événement moderne et libéral car c'est aussi le genre de pays que nous voulons: une Palestine libre et démocratique où locaux, internationaux, religieux et laïcs puissent vivre ensemble", explique encore Maria Khoury. (palestine libre mais le festival est organisé dans la brasserie, c'est pas trés démocratique non ? propagande de fin d'article probablement )
Mais la consommation d'alcool, la vente de viande de porc et les danses mixtes sur des musiques hip-hop et électro dérange la classe palestinienne conservatrice largement dominante.
Pourtant, Taybeh est depuis toujours considéré comme une bulle de liberté pour toute une minorité de jeunes palestiniens décomplexés.
Pourtant, Taybeh est depuis toujours considéré comme une bulle de liberté pour toute une minorité de jeunes palestiniens décomplexés.
C'est en grande partie pour eux, que l'Oktoberfest existe. A l'image de Mohammed Kawasmeh, jeune diplômé en droit originaire de Hébron, pour qui l'Oktoberfest de Taybeh est un reflet de la culture palestinienne dans toute sa diversité (Alors ok, falafel israéliens, danse libanaise, musique arabe oriental, village chrétien, Julie, c'est quoi la culture palestinienne dans toute sa diversité ?) et une chance de rencontrer de nouvelles personnes chaque année.
Issu d'une famille musulmane, le jeune palestinien de 23 ans se revendique agnostique, mange du porc et boit de l'alcool. Après tout, le slogan de la bière de Taybeh n'est pas "Goûtez à la révolution" pour rien.
Issu d'une famille musulmane, le jeune palestinien de 23 ans se revendique agnostique, mange du porc et boit de l'alcool. Après tout, le slogan de la bière de Taybeh n'est pas "Goûtez à la révolution" pour rien.
Source L'Express
Bref, cet article est pitoyable et résume clairement l'impact négatif que peut avoir la propagande pro-palestinienne sur les médias : Des informations qui ne sont plus qu'un tas de mensonges, la vérité est cachée, tout est fait pour que le lecteur s'imagine que la réalité est celle qu'on lui raconte, même s'il faut pour cela nous faire croire que le Dabké est une danse palestinienne plutôt que libanaise, ou que les collines d'Ephraim sont en Cisjordanie plutôt qu'en Judée Samarie.
Source Koide9enisrael
Bref, cet article est pitoyable et résume clairement l'impact négatif que peut avoir la propagande pro-palestinienne sur les médias : Des informations qui ne sont plus qu'un tas de mensonges, la vérité est cachée, tout est fait pour que le lecteur s'imagine que la réalité est celle qu'on lui raconte, même s'il faut pour cela nous faire croire que le Dabké est une danse palestinienne plutôt que libanaise, ou que les collines d'Ephraim sont en Cisjordanie plutôt qu'en Judée Samarie.
Source Koide9enisrael