Des perquisitions menées contre le groupe Lev Tahor plus tôt en septembre n'ont pas permis de déceler de « preuve criminelle », selon un porte-parole du Ministère des Affaires étrangères d'Israël. Emmanuel Nahshon affirme qu'« aucune preuve criminelle n'a été retrouvée » lors de ces perquisitions....
Les autorités au Guatemala avaient mené cette opération policière après avoir reçu des informations en provenance d'Israël.
Selon M. Nahshon, des Israéliens ont récemment porté plainte à la police « sur des questions qui sont liées à des risques de maltraitance d'enfants et de mineurs ».
Ces informations ont mené les autorités guatémaltèques à se rendre, le 13 septembre dernier, chez les membres du groupe à Ciudad Guatemala où ils ont pris des ordinateurs et autres documents.
Les autorités au Canada, dont la Direction de la protection de la jeunesse au Québec et la société d'aide à l'enfance de Chatham-Kent, avaient aussi transmis des informations aux autorités guatémaltèques dans le cadre de cette enquête.
Les membres du groupe Lev Tahor ont quitté le Canada en 2013, alors que les autorités québécoises et ontariennes enquêtaient sur de possibles cas de maltraitance d'enfants au sein du groupe.
Source Radio Canada