Dans son discours, et avant de laisser la place au Shalva Band qui l’interprétait, Trump a rappelé à tous l’histoire qui se cache derrière l’hymne américain, « God bless America ».
En 1918, un jeune soldat juif américain en poste au Camp Upton, à New York, a écrit une prière sous la forme d’une chanson. Son nom était Irving Berlin – peut-être le plus grand d’entre eux.
Et il a tenu cette chanson contre son cœur pendant plus de 20 ans. Il n’a publié la chanson qu’en 1938, alors que le monde apprenait les atrocités maléfiques d’Hitler contre le peuple juif.
Le 10 novembre de la même année, sa chanson a été diffusée par la radio, dans les foyers du pays tout entier. Des millions et des millions de personnes ont été inspirées.
C’était la première fois que les Américains entendaient l’hymne intemporel d’Irving Berlin, God Bless America.
Ces mots sont devenus la prière de notre nation, la prière qui a voyagé dans les îles du Pacifique, sur les plages de Normandie et sur tout le chemin vers le territoire nazi, où les soldats américains ont ouvert les portes des camps de concentration et libéré les juifs survivants.
C’est la prière que les Américains ont chantée alors que nous affrontions le communisme et que nous ne formions qu’une seule nation après le 11 septembre.
C’est la prière qui nous unit encore aujourd’hui et l’espoir qui brille dans nos cœurs parce que nous sommes de fiers patriotes américains. Nous aimons cette magnifique nation avec toute notre force, tout notre esprit et toute notre âme. »
L’assistance a alors longuement applaudi cette intervention avant de laisser la place au Shalva Band pour interpréter l’hymne américain.
Source Abidjan TV
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