Il y a peu, Yossi Pariente, qui était alors le chef de la police de Jérusalem, a été mis en retraite forcée, aprés que sa femme de ménage ait porté contre lui des accusations de harcélement sexuel. Lundi, sur les ondes de Galei Tsahal, celle-ci a avoué avoir menti, elle n'a jamais eu de liaison avec lui pendant deux ans et que celui-ci ne l'a jamais harcelé sexuellement...
Ces allégations sont arrivées au departement des enquêtes internes de la police du Ministère de la Justice ( Machash ) il y a trois ans. Les enquéteurs avaient déduit que ces allégations étaient des mensonges et le Machash avait alors décidé de clore l'enquête.
La femme de chambre n'a pas abandonné ses déclarations et a continué à propager ses allégations auprés des médias.
Ce week-end, elle a appelé des policiers, des fonctionnaires du ministère de la Sécurité publique, ainsi que son avocat, elle leur a avoué qu'elle avait tout inventé et qu'il n'y avait jamais eu de contact physique entre elle et Pariente.
Elle a déclaré que ses mensonges ont lourdement pesé sur sa conscience, elle a expliqué : " Il ne voulait pas de moi et moi, je voulais faire l'amour avec lui ".
La raison de ses aveux ? Selon Aroutz 2, elle a peur que Pariente la poursuivre en justice pour diffamation.
Elle a demandé à rencontrer le ministre de la Sécurité publique lui a dit la vérité, espérant éviter ainsi un procés.
De grands avocats israéliens spécialisés en droit criminel ont affirmé que les allégations d'inconduite sexuelle masculine contre les femmes sont extrêmement difficiles à réfuter dans le système judiciaire d'Israël, en raison de l'influence grandissante du lobby feministe à la Knesset et en raison des médias qui insistent sur le fait que les fausses allégations sont très rares.
Source Koide9enisrael