Un nouveau rapport publié à l'occasion de la Journée mondiale de l'eau ( dimanche dernier ) par NGO Monitor révèle en profondeur comment les ONG anti-israéliennes exploitent la question de l'eau dans leurs " campagnes de guerre politique contre Israël ". Le rapport baptisé " Les mythes de l'eau et les faits " met à nu les fausses accusations utilisées par les groupes de pression et les gouvernements étrangers pour boycotter Mekorot, la compagnie nationale israélienne de l'eau...détails...
Le professeur Gerald Steinberg, président de NGO Monitor, a déclaré : " L'eau est un problème régional qui, avec la collaboration étroite de toutes les parties, peut assurer un accès équitable et maximale à tous, l'eau peut aider à créer un environnement plus pacifique, malheureusement, les ONG préfèrent politiser cette question et diaboliser Israël plutot que d'améliorer l'accès des palestiniens à l'eau potable ".
NGO Monitor souligne que Ewash, une coalition d'ONG et d'organisations des Nations Unies, s'est opposée a un projet de dessalement à Gaza, le projet devait etre financé par l'Union Européenne, il aurait permi d'améliorer l'approvisionnement en eau dans l'enclave palestinienne, ces individus ont tenté de justifier leur opposition en disant que le projet serait " une forme d'occupation qui légitimerait les actions d'Israël ".
Plus de 11 ONG propagent la désinformation concernant l'eau. Il s'agit ( entre autres ) de ONG Al Haq, du Centre palestinien pour les droits de l'homme (PCHR), BADIL, Coalition des femmes pour la paix, Who Profits et EWASH.
Une fausse affirmation qui revient frëquemment est que " la limitation de l'entrëe des marchandises dans Gaza empêche les enfants de Gaza de boire de l'eau propre ".
Malgré les accusations, la principale cause de pénurie d'eau dans Gaza est en fait le mauvais entretien des rëseaux de ditribution de l'eau et le mauvais traitement des eaux usées. Ceci est du au fait que pendant des annëes, le gouvernement terroriste Hamas a détourné l'aide et les fonds destinés à l'entretien des infrastructures civiles.
En conséquence, dans la bande de Gaza, on enregistre une perte de plus de 40% de l'eau, par rapport à seulement 3% en Israël et a 33% dans les zones gérées par l'Autorité palestinienne en Judée et en Samarie.
En 2013, Mekorot a vendu de l'eau à l'Autorité palestinienne et à Gaza à perte avec un prix fixe de 2,85 shekels par million de mètres cubes alors que les israéliens payaient 8,89 shekels !
Décidemment, les palestiniens n'ont aucune reconnaissance...
Source Koide9enisrael