"Il y a tellement de points communs que la séparation est artificielle", renchérit son alter ego israélien Raphael Rodan.
La pièce semble avoir trouvé son public au théâtre national de Bruxelles. Mais dans le contexte géopolitique actuel il est inenvisageable d’imaginer une représentation au Moyen-Orient.
Le scénario se concentre sur les causes qui poussent les hommes à prendre les armes.
Les deux artistes plaident pour la paix mais ils n’imaginent pas un instant que l’art puisse empêcher les conflits.
Ils voient cependant dans le théâtre un espace pour redonner de l’espoir.
Vous nous aimez, prouvez-le....