lundi 10 février 2020

Découvrez le parcours de Mike Brant, sa vie, sa carrière, son enfance


Malgré ses débuts un peu laborieux, Mike Brant est devenue une des plus grandes stars des années 70. Sa brillante carrière était marquée par de tubes culte tels que : "Laisse-moi t'aimer", "Qui saura" ou encore "Dis lui". Il fait partie des monuments de la chanson française. Ses tubes ont fait le tour du monde. Nous vous invitons donc à découvrir un peu plus sur la carrière de celui qui s’est donné la mort, à 28 ans, laissant ses milliers de fans dans la tristesse.......Portrait........


ENFANCE

Mike Brant est né 1er février 1947. Sa mère s'appelait Bronia Rosenberg, une survivante d'Auschwitz et son père était Fichel Brand, un valeureux maquisard polonais. Mike Brant s’installe en Israël au moment de sa création au mois de mai 1948.
Les premiers mots de Mike Brant, il l’a eu qu’à l’âge de 5 ans. Sa passion pour la musique, il l’a d’abord éprouvé dans une chorale. Du réparateur de frigo au guide de musée en passant par l’agriculture Mike Brant a enchaîné les petits boulots lors de sa jeunesse.
Mais la musique l’a rattrapé lorsque son frère Zvi l’a appelé pour intégrer son groupe Les Chocolates. Le succès de Mike Brant fut tel que le groupe a fini par s'appeler Mickaël et les Chocolates.

SES DÉBUTS

C’est lorsqu’il jouait dans le groupe de son frère que Jonathan Karmon, une célébrité israélienne, l’a découvert. Ce dernier lui proposa alors de l’accompagner dans le cadre de sa tournée aux États-Unis ainsi qu’en Afrique du Sud.
Fort de cette expérience, Mike Brant entame une carrière solo et se produit à Téhéran, c’était en 1968. Hasard du calendrier, Sylvie Vartan et son secrétaire Carlos étaient eux aussi sur les lieux. Ces deux derniers n’ont pas manqué d’être séduit par le jeune talent et lui propose de venir en France. 

LE SUCCÈS

De nombreux mois après son arrivée à Paris, en 1970, Mike Brant sort son premier 45 tours intitulé "Laisse-moi t'aimer".
Le succès fut si grand qu’il l’enregistre dans deux autres langues. Avec son allure de Latin lover sa voix chaude rien ne l’arrête. Un an après son premier 45 tours, il remet le couvert avec des titres tels que "Nous irons à Sligo", "A corps perdu" ou encore "Felicita". 

LE DÉBUT DE LA FIN

Après sa participation à l'Olympia en 1971, Mike Brant se sépare avec son directeur artistique. En 1972, il retrouve le succès avec son titre "Qui saura", une reprise de "Que sera" de José Feliciano, puis, plus tard avec "C'est ma prière". 
Cette année-là, il a enchaîné plus de 250 spectacles en un an.
Un rythme qui l'emmène aux portes du burnout et de la dépression. Mais ce bourreau de travail ne s’arrête pas en si bon chemin. 
Mike Brant enregistre "Que tu es belle", "Toutes les couleurs" "Rien qu'une larme" et " Tout repris" et effectue une tournée Européenne, puis part au Japon ainsi qu’en Australie.

LA DEPRESSION

En 1974, sous l’aile de Simon Waintrob, Mike Brant commence à s’éloigner des siens. Cela ne l’empêche pas de sortir des tubes tels que : "C'est comme ça que je t'aime", "Viens ce soir" ainsi que "Toi, mon enfant". Mais cette année-là, le chanteur commence à montrer des signes de dépression. 
Il quitte soudainement la scène lors d’un spectacle à Boissy-Saint-Léger. Il brise rageusement le miroir de sa loge à Cambrai. 
Le 21 novembre 1974, il tente pour la première fois de mettre fin à sa vie en sautant de la fenêtre de son hôtel. Il survit, mais s’en sort avec de nombreuses fractures.

LA FIN

En 1975, il se remet de ses blessures et renoue avec le succès, "Qui pourra lui dire" et "Elle a gardé ses yeux d'enfants".
Mais le répit fut bref, le 25 avril 1975, il saute de la terrasse de l’appartement de son amie. 
Depuis, il gît à Haïfa laissant des milliers de fans inconsolable.

Source Amomama
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