mercredi 26 novembre 2014

Un ex-mari violent enfin arrété aprés 18 mois de cavale !


Un homme violent, qui battait sa conjointe et la menacait de mort ainsi que ses deux filles, avait pris la poudre d'escampette le jour ou celle-ci s'était rendue au poste de police le plus proche pour déposer enfin une plainte pour vilence, abus sexuelles et menaces de morts. Pendant quelques mois, la police a lancé une vaste chasse à l'homme afin de mettre la main sur cet individu déclaré dangereux par la police...
 


Comme mesure préventive, la police avait également décidé de placer la femme et ses deux filles dans un refuge pour femmes battues il y a plus d'un mois. Cependant, là aussi, la police craignait que le suspect la retrouve et mette ses menaces a exécution.
Finalement, aprés plusieurs mois de recherches, la police a mis la main sur l'individu, Moti Ben Zvi, un résident de Holon de 31 ans. 
La femme, divorcée avec deux filles âgées de 11 et 13 ans, qui a choisi de rester anonyme, avait divorcé il y a deux ans. Selon l'enquête, Zvi a toujours été violent avec ses partenaires, meme dans le passé.
Son Ex a déclaré : " Au commencement, je n'ai pas vu ou pas voulu voir les signes. Je les ai ignoré parce que j'étais amoureuse mais quand il est devenu obsédé et ouvertement violent, je ne pouvais plus l'arrêter. J' ai souffert de graves violences, il a commencé avec des coups de pied, puis des coups de poing et des gifles. Il surveillait en permanence mon téléphone et mon ordinateur pour essayer de voir avec qui je parlais, avec qui je correspondais, il me soupçonnait tout le temps de le tromper.
La situation a empiré quand il a cessé de travailler et qu'il est resté un an sans bosser. J' allais travailler à l'extérieur et lui, il était assis à la maison a faire travailler son imagination et en se faisant des films sur moi. Les choses sont arrivées à un niveau très grave et sadique. Il a décidé de me  torturer sévèrement. Il m'a cassé le nez, m'a claqué la tête contre le mur, m'a cassé des côtes et cassé  des dents. Dans certains cas, il m'enfermait dans une pièce avec lui et puis il me violait tout en m' interrogeant sur ​​les soupçons qu'il avait contre moi. Il ne s'arrêterait pas tant que ne reconnaissais pas que ses soupçons été vrais ".

Lieu de son arrestation

Il y a deux jours, la justice a décidé qu'il restera en détention jusqu'à la fin de la procédure et un acte d'accusation graves devrait permettre désormais a la femme et ses deux filles de quitter le refuge pour femmes battues où ils ont passé plus d'un mois et demi.
Elle a ajouté : " L'absurdité faisait que chaque fois que je voulais partir après avoir subi des violence ou des viols, il était brisé, pleurant et priant, alors je finissais par le réconforter, même si en fait, s'étais moi la victime ! Je ne pouvais pas partager mes malheurs avec mes proches, ni de près ou de loin, car je n'ai pas de famille et pas d'amis. A chaque fois, il me menacait de mort au cas ou je parlais de ses actes. J' ai vécu dans la peur car je ne pouvais pas révéler l'horreur dans laquelle j'étais.
A l'époque ou j'ai tout quitté pour aller au refuge, j'ai du quitter mon travail. Hier, je suis revenu chez moi et je essaie maintenant de me construire. Je cherche un nouvel emploi en essayant de récupérer ".
Le commandant de police Bozena, qui a mené l'enquéte et qui a mis la main sur le suspect a declaré : " Je ne ai aucun doute que les efforts et les ressources investis dans cette affaire nous ont permis de procéder à l'arrestation d'un homme très dangereux, à la fois pour le grand public mais surtout pour son ex-partenaire et ses enfants. La terreur et la peur que j'ai vu dans les yeux de la plaignante ont conduit à la conclusion que nous ne pouvions nous permettre d'abandonner cette femme a son sort jusqu'à ce que le suspect soit enfermé derrière les barreaux. Je suis convaincu que le tribunal sera trouver dans les lois de quoi mettre cet homme a l'ombre pour longtemps...".

Source Koide9enisrael