"La ville de Strasbourg a une responsabilité encore plus grande, par son histoire, à dénoncer ces actes", a commenté Alain Fontanel, interrogé par l'AFP. Il a expliqué ressentir à la fois "de l'inquiétude par rapport à la récurrence de ces actes et de la détermination des pouvoirs publics à trouver et réprimer ceux qui les commettent".
Parmi les tags découverts figurent "NSDAP" (le sigle du parti nazi, en allemand) et "WPWW" ("white pride world wide"), inscrits sur une grande bâche de chantier devant un bâtiment de l'université, et "zone raciste" inscrit au sol.
Ces derniers mois, des inscriptions prenant pour cible les migrants et ceux qui les accueillent et des inscriptions antisémites ont été tracées à de multiples reprises sur des mairies, des écoles et aux domiciles d'élus en Alsace – notamment jeudi, sur une école à Bootzheim (Bas-Rhin), rapporte France Bleu Alsace.
Source France TV Info
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