L'étude est menée sous la direction du Dr. Ella Sklan du département de microbiologie et d’immunologie clinique de la faculté de médecine en coopération avec le Dr. Nabila Jabrane-Ferrat du CNRS de Toulouse.
Les recherches ont permis d’identifier "des gènes capables de protéger les cellules contre les infections par le virus Zika, et de régénérer les cellules infectées".
Les recherches se sont basées sur une technique "d’édition du génome" développée dans les années 2000 et connue sous le nom de CRISPR-Cas9, un enzyme capable de couper les molécules d’ADN avec précision et à n’importe quel emplacement.
Certains patients infectés par le virus Zika lors de l'épidémie de 2016 souffrent toujours de séquelles importantes trois ans après, selon une étude menée en Guadeloupe et en Martinique, dans les Antilles françaises.
En 2016, l'épidémie de Zika avait touché plus de 66.000 personnes aux Antilles. Dans la grande majorité des cas, le virus ne s'était manifesté que par des fortes fièvres, des douleurs et des boutons sur une courte période.
Source I24News
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