«Ils l’ont fondé et construit en premier lieu – et y sont restés depuis», dit le journal.
À l’aide de documents non publiés (et on comprend pourquoi..... ;-)))), le journal de l’Institut royal Aal Al-Bayt pour la pensée islamique cherche à corriger la perception erronée «que les Arabes sont de nouveaux arrivants à Jérusalem».
L’institut, une entité islamique non gouvernementale, est dirigé par le prince Ghazi bin Muhammad, envoyé personnel et conseiller spécial du roi Abdallah II de Jordanie, depuis 2000.
Parmi les nombreuses références que le document utilise pour faire valoir son point de vue, citons la correspondance d’Amarna, une série de lettres diplomatiques entre les rois de la cité-état cananéenne et leurs suzerains égyptiens au cours du 14e siècle avant J-C.
L’article présente des photos des tablettes cunéiformes découvertes en Égypte à la fin du XIXe siècle pour valider son argument.
Parallèlement aux découvertes archéologiques, les archives bibliques sont également utilisées comme source pour établir une présence arabe originale à Jérusalem.
La Bible, dit le journal, montre que «les Arabes, les Hamites, les Cananéens et les Jébusiens étaient les premiers habitants de la terre de Palestine, y compris la région de Jérusalem».
Les Cananéens et les Jébusiens étaient là bien avant les Juifs, avant même la révélation du judaïsme (vrai mais ce n'était pas des Arabes, les arabes n'existaient pas encore !!!).
Le document de 108 pages cite des passages de l’Ancien Testament pour établir que «Jérusalem a toujours été une ville arabe» et note que «les Arabes palestiniens d’aujourd’hui sont en grande partie les descendants directs des Arabes cananéens autochtones qui étaient là il y a plus de 5000 ans (alors la c'est du délire, les palestiniens sont Tous des immigrés venus dans les années 20 de Syrie, du Liban, de Jordanie et d'Egypte....).
Les familles arabes musulmanes et palestiniennes chrétiennes modernes (telles que la tribu «Kanaan», descendants directs des Cananéens) sont les plus vieux habitants du pays. »
Le document mentionne Salah Eddine Ayyoubi – la figure historique musulmane qui a combattu les croisés et a récupéré Jérusalem au 12ème siècle, permettant aux chrétiens de rester et invitant les juifs expulsés de Jérusalem par les croisés à se réinstaller dans la ville – pour valider son argument.
Selon le professeur Sari Nusseibeh, ancien président de l’Université Al-Quds de Jérusalem, le livre blanc est un «document bien référencé et clairement argumenté».
La famille de Nusseibeh est, depuis le septième siècle, chargée des clés de l’église historique du Saint-Sépulcre (située dans le quartier chrétien de la vieille ville de Jérusalem).
Le journal, dit-il, « démystifie le récit juif israélien et extrémiste de plus d’une manière, le remplaçant par un aperçu historique clair de la présence arabe continue dans la ville et de la domination islamique bienveillante ».
Concernant la garde hachémite des lieux saints de Jérusalem, qui est un thème central du livre blanc, Nusseibeh, l’un des dirigeants de la première Intifada palestinienne, déclare que le document «reconnaît le rôle palestinien dans la garde hachémite, soulignant ainsi la relation politique spéciale entre le peuple palestinien et le Royaume hachémite (Normal car les Jordaniens sont des palestiniens.....).
Source Alnas
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