mardi 30 juin 2020

A la Une: 7403 malades en Israël ce mardi.....Toutes les infos sur la pandémie sont ici


Israël compte ce lundi 7403 malades confirmés. Voici les dernières informations sur le Corona virus en Israël......Détails.......


Bilan en ce mardi

Nombre total d'infections: 25.041
Guérisons: 17.318
Décès: 320
Sous respirateurs artificiels 24
Cas graves: 52
Nombre de malades actuels: 7403

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-714 nouveaux cas de contamination ces dernières 24 heures
-Voici les derniers chiffres par villes
-Lancement d'une campagne nationale de tests sérologiques
-Les rassemblements de plus de 50 personnes de nouveau interdits
-Le Covid-19 s'attaque désormais aux jeunes, est-ce grave ?
-L'Union Européenne devrait autoriser les voyageurs d'une quinzaine de pays mais pas Israël
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714 nouveaux cas de contamination ces dernières 24 heures

714 nouveaux cas de contamination au Covid-19 ont été découverts en Israël ces dernières 24 heures, selon le dernier rapport du ministère de la Santé publié ce soir.

Selon le ministère, il y a 7096 cas actifs en Israël, dont 46 personnes dans un état grave tandis que 59 autres personnes sont dans un état modéré et les autres présentent des symptômes légers ou sont asymptomatiques.
Le même jour, le ministère de la Santé, en coopération avec les différentes organisations de santé publique, a lancé une campagne nationale de tests sérologiques visant à déterminer l'ampleur de l'exposition au Covid-19 au sein de la population israélienne.
Le ministère espère pouvoir tester quelque 70.000 personnes, dans plus de 190 localités et villes à travers tout le pays.

714 nouvelles infections , le chiffre le plus élevé depuis le 2 avril....Voici les derniers chiffres

Le nombres de personnes testées positifs hier (lundi), 714 en tout, est le chiffre le plus élevé depuis le 2 avril.
Ces derniers jours, le nombre de nouveaux cas a augmenté de façon inquiétante. 
En comparaison, 82 patients avaient été diagnostiqués positif en Israël il y a huit jours, c'est-à-dire presque 1o fois moins !
Selon les données, le nombre de patients actifs est de 7096, c'est 5000 malades de plus que fin Mai, lorsqu'il n'y avait plus que 1948 malades.
Les données montrent également qu'hier, 18.183 tests ont été effectués et 4% des sujets se sont révélés positifs.
Les chiffres montrent également qu'il y a :
à Jérusalem 756 patients actifs
à Tel Aviv 697
à Bnei Brak 555 
à Ashdod  348
à Bat Yam 253 
à Arara dans le Néguev 213
à Rahat 196
à Tibériade 109
à Beit Shemesh 95 
à Ramla 86
à Modi'in 41


Lancement d'une campagne nationale de tests sérologiques

Le ministère de la Santé, en coopération avec les différentes organisations de santé publique, a lancé lundi une campagne nationale de tests sérologiques visant à déterminer l'ampleur de l'exposition au Covid-19 au sein de la population israélienne.

Le ministère espère pouvoir tester quelque 70.000 personnes, dans plus de 190 localités et villes à travers tout le pays.
Les tests seront réalisés à partir d'échantillons sanguins prélevés de manière aléatoire chez des patients qui ont réalisé des tests sanguins récemment.
Les échantillons seront prélevés dans un premier temps dans les populations considérées "à risque" (personnel médical, personnes âgées ou qui souffrent de maladies de fond).
Ces tests sérologiques peuvent identifier les anticorps produits par l'organisme pour lutter contre le nouveau coronavirus, chez les personnes qui ont contracté la maladie sans pour autant développer de symptômes.
Depuis qu'Israël a entamé son déconfinement, le nombre de cas de contamination n'a cessé d'augmenter, au point que le ministre de la Santé, Yuli Edelstein, a affirmé dimanche que le pays était "au début d'une seconde vague".
Dans le même temps, le ministre des Finances, Israel Katz, et le Premier ministre Benyamin Netanyahou ont annoncé lundi un nouveau plan d'aide d'un montant de 2 milliards de shekels (515 millions d'euros) pour compenser les pertes économiques des entreprises en raison de la pandémie.

Les rassemblements de plus de 50 personnes de nouveau interdits


Le cabinet israélien en charge de la crise liée au Covid-19 a décidé lundi de limiter les rassemblements à 50 personnes et a également voté de nouvelles restrictions, suite à la hausse des cas de contamination dans le pays.

Les rassemblements dans les lieux de culte sont désormais limités à 50 personnes, et le gouvernement souhaite pouvoir permettre aux étudiants de passer leurs examens de fin d'année chez eux.
"Nous sommes confrontés à des tensions entre maintien de l'économie et maintien de la santé publique", a concédé à ce sujet le Premier ministre Benyamin Netanyahou, indiquant que "de nouveaux plans innovants seraient présentés pour faire avancer l'économie" israélienne.
Le chef du gouvernement a promis lors d'une allocution depuis le Parlement que "tous ceux qui ont été impactés [par la crise] seraient dédommagés", ajoutant que les droits aux allocations chômage seraient prolongés jusqu'à la mi-août.
Le Premier ministre suppléant, Benny Gantz, a pour sa part demandé que la mise en oeuvre des mesures sanitaires décidées par le ministère de la Santé soit confiée à son ministère, celui de la Défense.
"Nous devons nous mettre d'accord sur une gestion plus efficace des opérations et sur les prises de décision", a-t-il déclaré.

Le Covid-19 s'attaque désormais aux jeunes, est-ce grave?


Aux Etats-Unis, le nombre de cas de personnes atteintes par le coronavirus a explosé ces dernières semaines. Le nombre de cas quotidien dépasse le précèdent pic d'avril. 

Pourtant, le nombre de morts continue de baisser. Cette tendance s'explique notamment par le fait que le virus touche une population plus jeune qu'il y a deux mois. 
Par exemple, en Arizona, la moitié des cas concerne des personnes âgées de 20 à 44 ans. A Seattle, 45% des nouveaux cas sont liés à une population âgée entre 20 et 40 ans, contre 25% en avril.
En Floride, l'âge médian des cas est passé de 65 ans en mars, à 35 ans aujourd'hui. 
La réouverture des bars et des restaurants joue notamment sur cette transmission accélérée du virus dans cette population. 
En revanche, les personnes âgées sortent moins et évitent ces lieux trop dangereux. 
Ce phénomène est également perceptible en Suède ou en Israel où le nombre de cas augmente fortement ces dernières semaines, sans avoir un effet trop important sur la mortalité. Alors, est-ce une bonne nouvelle que le virus touche aujourd'hui davantage les jeunes?
A première vue, cette nouvelle tendance peut apparaître comme une donnée positive. En circulant dans une population plus jeune, le virus touche une population moins à même de faire des formes graves de la maladie, à l'exception des personnes ayant des comorbidités. Cela pourrait permettre aussi d'arriver à terme à une immunité populationnelle, tout en provoquant moins de dégâts dans la population. 
Pour le moment, aucun pays n'est néanmoins réellement parvenu à atteindre cette hypothétique immunité de groupe, permettant de protéger sa population d'une seconde vague du virus.
En refusant la mise en place d'un confinement strict, la Suède a ainsi fait le choix de laisser le virus circuler parmi la population jeune, tout en évitant l'engorgement des services hospitaliers. 
La stratégie n'a pas totalement réussi puisque la population âgée a subi un lourd tribut en terme de mortalité, en particulier durant la période de mars-avril. Ces dernières semaines, c'est davantage la population jeune qui est concernée par l'augmentation des cas. 
Ce qui permet de contrôler l'épidémie. En Suède, une dizaine de personnes sont ainsi admises en soins intensifs chaque jour en ce moment, contre environ 40 lors du pic en avril. 
Mais comment éviter que le virus ne se diffuse à une population plus fragile? "Les jeunes sont infectés en premier, puis ils rentrent chez eux, et ensuite ils infectent les personnes âgées. Les personnes âgées ont des complications, puis elles se rendent à l'hôpital", s'inquiète par exemple le spécialiste américain, le Dr Fauci ."Le taux de mortalité est toujours en retard de plusieurs semaines par rapport au taux d'infection", note-t-il. 
En Israel, on s'inquiète aussi de la diffusion de la maladie des personnes jeunes aux personnes âgées : 
"Au cours des deux dernières semaines, nous avons assisté à une hausse spectaculaire du nombre d'infections quotidiennes au coronavirus. 
Il y a eu également, ces derniers jours, une hausse de l'âge des personnes qui ont été hospitalisées, atteintes par la maladie", rapporte par exemple la cheffe de la Société israélienne des maladies infectieuses, Miri Weinberger, qui estime que le pays est "sur le point de perdre le contrôle de l’épidémie".

L'Union Européenne devrait autoriser les voyageurs d'une quinzaine de pays mais pas Israël

Feu vert pour le Canada et trois pays du Maghreb, feu rouge pour les Etats-Unis et la Turquie: les Européens devraient valider mardi une liste restreinte d'une quinzaine de pays dont les ressortissants seront autorisés à voyager dans l'UE à partir de mercredi.
Les gouvernements des Etats membres avaient jusqu'à mardi midi pour voter sur cette liste de pays dont la situation épidémiologique liée à la maladie Covid-19 est jugée suffisamment sûre pour la reprise de ces voyages, alors que débute la saison touristique estivale.
Élaborée par les ambassadeurs des pays de l'Union européenne vendredi soir, objet de difficiles tractations, la liste des visiteurs admis dans l'UE et l'espace Schengen compte l'Algérie, l'Australie, le Canada, la Géorgie, le Japon, le Monténégro, le Maroc, la Nouvelle-Zélande, le Rwanda, la Serbie, la Corée du Sud, la Thaïlande, la Tunisie et l'Uruguay.
Elle inclut également la Chine, mais uniquement à condition qu'elle admette sur son sol les visiteurs venant de l'UE, ce qui n'est actuellement le cas que de façon limitée.
Sont en revanche exclus de cette liste, qui a vocation à être actualisée toutes les deux semaines, les Etats-Unis, pays le plus touché au monde par la pandémie, avec 125.928 décès pour près de 2,6 millions de cas répertoriés. 
N'y figurent pas non plus le Brésil, la Russie, l'Inde, la Turquie et Israël notamment.
Bien qu'ayant quitté l'UE le 31 janvier, le Royaume-Uni n'était pas concerné par les restrictions de voyage.
Pour que la liste soit entérinée, il faut qu'elle soit approuvée par 55% des États membres, représentant au moins 65% de la population totale de l'UE, ce qui devrait être le cas, selon des sources européennes.
Les voyages «non essentiels» vers l'Europe ont été interdits depuis la mi-mars, afin de lutter contre la propagation de la pandémie.
Le vote porte sur une recommandation qui n'est pas contraignante juridiquement, les pays de l'UE étant souverains sur le contrôle de leurs frontières. 
Mais ils sont d'accord pour se coordonner en raison de la liberté de circulation au sein de l'espace Schengen, où les restrictions décidées pour lutter contre la pandémie ont été peu à peu levées.
Prise entre des impératifs sanitaires et le souci de faire redémarrer une économie frappée par la crise en favorisant le tourisme, l'UE a convenu d'autoriser à nouveau les voyageurs de pays tiers à partir du 1er juillet, mais de façon «partielle et progressive».
Mais l'élaboration de la liste a été une entreprise ardue. Certains Etats membres mettaient en cause la fiabilité des données fournies par des pays tiers, comme la Chine.
Et les Européens étaient plus ou moins pressés de lever les restrictions. Très dépendante du tourisme, la Grèce a pour sa part commencé dès le 15 juin à rouvrir ses aéroports à plusieurs pays hors UE, dont la Chine, la Nouvelle-Zélande et la Corée du Sud.
Les Européens privilégient les visiteurs venus de pays dont la situation épidémiologique est semblable à celle de l'UE, où la pandémie a reflué, voire meilleure. 
Le taux de nouveaux cas de Covid-19 ne doit pas excéder 16 pour 100.000 habitants (moyenne dans l'UE) sur les 14 derniers jours.
Autres critères, une tendance à la stabilité ou à la baisse des nouveaux cas, ainsi que les mesures mises en place par le pays tiers pour lutter contre la pandémie, dont la pratique de tests.
La situation de la pandémie des Etats-Unis prive donc le Vieux Continent des touristes américains qui viennent en nombre chaque année: en France, ils étaient 5 millions en 2019. 
En Italie, touchée de plein fouet par la pandémie, leur absence cet été se traduira par une perte de 1,8 milliard d'euros, selon le principal syndicat agricole, la Coldiretti.
Alors que l'entrée aux Etats-Unis est interdite aux voyageurs venant de la plupart des pays européens depuis le 13 mars, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a dit espérer une solution «dans les prochaines semaines» pour la reprise des échanges, estimant qu'il était «important pour les Etats-Unis que les Européens puissent revenir», et réciproquement.

Source I24News & Koide9enisrael & I24News & I24News & Le journal du dimanche & Le Matin.ch
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