Annie Kabla vient de raviver se pan de sa mémoire familiale en retrouvant des flacons qui contenaient la Boukha Djerbienne que produisaient son oncle Houita Kabla et son père Raphaël Kabla sous l’oeil vigilant du patriarche Khamouss Kabla, un entrepreneur né.
La famille Kabla possédait aussi une usine de pâtes et commercialisait la marque de thé El Jmel.
Quant à la Boukha Djerbienne, elle fait partie de ces dizaines de marques d’eau de vie qu’on produisait à travers le pays dans chaque communauté juive.
Certaines de ces boukhas étaient artisanales et d’autres, comme la Djerbienne étaient fabriquées en usine.
De nos jours, il ne reste plus que les usines Bokobza à la Soukra et Félix Habib à Ben Arous.
Vous nous aimez, prouvez-le....