Les recrues de l'armée ayant eu des antécédents médicaux de certaines maladies graves, notamment certains types de cancer, seront désormais autorisés à se porter volontaires pour integrer des postes de combattant. Les postes de combattant qui sont désormais accessible aux anciens malades comprennent des postes dans des unités d'élite de l'artillerie, des blindés mais aussi au sein des forces de génie. Cependant, les unités d'infanterie d'élite ne leur seront pas permises...
C'est le corps médical de Tsahal qui a récemment fait pression sur le haut commandement afin qu'il permette aux jeunes Israéliens qui, dans le passé, ont été empêchés de servir au sein de Tsahal en raison de leurs antécédents médicaux, d'interger des unités de combat.
La décision comprend également le fait de ne plus exclure de ces unités les soldats étant en insuffisance pondérale. Le chef des médecins de Tsahal, le général de brigade Itzik Kreiss a déclaré : " Il serait facile de dire à quelqu'un qui souffre d'insuffisance pondérale qu'il n'est pas apte pour le service militaire mais avec les outils dont dispose la médecine d'aujourd'hui, nous pouvons trouver des solutions. Si le faible poids corporel d'un individu est le résultat d'un manque quelconque, nous chercherons a savoir la cause mais rappelons qu'un faible poids en lui-même n'est pas une maladie ".
Une recrue dont la thyroïde a été enlevée à cause du cancer sera désormais admissibles dans bien plus de postes au sein de l'armée que par le passé, il pourra désormais entrer dans un unité de police, dans des unités combattante ou encore au sein des gardes-frontière.
Certains problèmes oculaires qui dans le passé étaient éliminatoire pour certains postes ne sont plus tout à fait considéré comme handicapant et dans certains cas, ces recrues pourront être intégrées dans des unités combattantes.
Une autre décision stipule qu'un conscrit qui a connu un épisode psychotique durant sa jeunesse pourra être rédigé un an après la date de sa derniere crise, plutôt que deux ans dans le passé, vers des unités de combat sur la base d'une évaluation médicale.
Kreiss a conclu en disant que " L'idée est d'augmenter le nombre de reccrues afin d'enraciner en eux la valeur du service a la nation. Nous voulons permettre à davantage de soldats d'accéder a des postes de combat ".
Une autre décision stipule qu'un conscrit qui a connu un épisode psychotique durant sa jeunesse pourra être rédigé un an après la date de sa derniere crise, plutôt que deux ans dans le passé, vers des unités de combat sur la base d'une évaluation médicale.
Kreiss a conclu en disant que " L'idée est d'augmenter le nombre de reccrues afin d'enraciner en eux la valeur du service a la nation. Nous voulons permettre à davantage de soldats d'accéder a des postes de combat ".
Source Koide9enisrael