jeudi 2 juillet 2020

Julien Cohen: cette séance de drague qui s'est mal finie... et dont il garde toujours les stigmates !


Les stars d'Affaire conclue se sont plongés dans leur boîte à souvenirs, avec visuel d'archives à la clé. Chacun nous a raconté un souvenir de vacances, liés à une situation, un objet, à une voiture, ou un meuble qui a marqué leur enfance. Attention, dossiers !.......Détails........



Fils d'un industriel, Julien Cohen passait ses vacances dans un petit village d'Eure-et-Loir où son père possédait une usine à écussons dans un petit village. Dans le dernier numéro de Télé-Loisirs à paraître ce lundi 6 juillet, il se souvient de ces journées entières qu'il passait à arpenter la campagne, avec ses deux frères : 
"Sur la photo, j'ai 11 ans. Je n'étais pas très grand mais j'ai grandi très vite et rattrapé mon frère, qui n'avait qu'un an de plus... et qui s'est arrêté de grandir. Entre nous, c'était la compétition pour les filles !".
L'acheteur d'Affaire conclue raconte l'esprit de compétition qui régnait au sein de la fratrie : "Les premières copines, ça a commencé très tôt. Nous étions trois garçons. Nous essayions d'en rapporter un maximum à la maison et les les plus belles possibles. 


Pendant un certain temps, c'était mon frère aîné qui avait un avantage. Il fallait être plus astucieux et miser sur autre chose que la taille". 
Il se souvient notamment d'une "séance de drague" qui a mal tourné : " Nous avions des vélos à vitesse et nous faisions des concours de dérapage devant des filles. 
A un moment, je me vautre, je tombe, les bras nus, je m'éclate le bras sur le sol avec plein de gravier. J'ai encore dans mon coude gauche, un gravier qui est resté à l'intérieur. 
Quand on l'a découvert, tout était cicatrisé, on s'est dit que ce n'était pas la peine de me rouvrir le coude. J'en garde les stigmates aujourd'hui : j'ai une petite boule au niveau du coude, qui est un gravier..."

"Mon père était un acheteur compulsif, comme moi"

Une péripétie d'enfance qui doit aujourd'hui faire sourire les trois frangins. Un des frères de Julien Cohen est devenu peintre et rabbin en Israël. L'autre travaille dans l'édition et vit aussi en Israël. 
"Les deux ont fait leur Alyah (immigrer en Israël, ndlr), glisse l'expert de France 2 qui garde également un souvenir ému de son père : "On passait nos samedis avec lui à la salle des ventes de Nogent-le-Rotrou. 
Il était un acheteur compulsif, comme moi. J'ai son ADN. Il achetait tout un tas de choses, que nous ramenions par camion. Ma mère faisait le tri, renvoyant certaines choses à la décharge. 
Un jour, il a acheté des vieilles charrues du XIXe siècle, traînées par des percherons. 
J'avais été chargé de les poncer et de les peindre. Elles sont restées vingt ans dans son jardin et, aujourd'hui, elles trônent dans celui de ma maison de campagne, en Bourgogne".

Interrogés sur ce même thème des souvenirs d'enfance, d'autres acheteurs se sont confiés à Télé-Loisirs. 
Caroline Margeridon se souvient de l'énorme break américain Chrysler dans lequel elle passait ses vacances d'été en Angleterre : 
"Nous l'avions acheté au champion automobile René Metge, un ami de mes parents. Nous partions outre-Manche pour remplir le magasin de brocante que ma mère tenait à Honfleur. 
Je vivais mes premières heures de chine. Cet été-là, je me souviens avoir rapporté un énorme berger allemand en plâtre acheté 10 livres. Très moche ! Il est pourtant resté fort longtemps dans ma chambre…"
Anne-Catherine Verwaerde raconte, elle, la fascination un peu effrayante suscitée par un buffet Henri II chez ses grands-parents, dans le Pas-de-Calais, où elle passait ses vacances tous les étés avec sa soeur : 
" Entièrement sculpté, avec des chiens de chasse et d’autres animaux fantastiques saisissant de réalisme ! 
J’ai l’impression d'avoir observé ce buffet pendant des heures, fascinée par le travail du sculpteur, mais je crois aussi un peu apeurée par les motifs. Ce meuble très imposant, déjà démodé à l'époque… l'est resté ! Certains vendeurs, pourtant, m'en proposent toujours... "
Stéphane Vanhandenhoven se souvient de sa première tournée d'achat aux Etats-Unis, en 1990, au volant d'un Ford Gran Torino, que des amis lui avait prêtée : 
"Un jour, en pleine cambrousse, je me suis arrêté dans une station pour faire le plein. Impossible de trouver le réservoir d'essence ! À l'époque, il n'y avait ni portable ni Internet. 
On a attendu tout l'après-midi avec le pompiste, jusqu'à ce qu'un autre automobiliste nous explique que le bouchon du réservoir était situé derrière la plaque de la voiture…"
Alexandra Morel, enfin, se replonge avec plaisir dans cette période. "Enfant, l'école (que j'ai arrêtée très tôt) ne m'intéressait pas et je passais beaucoup de temps à faire les salons avec mes parents, qui étaient dans la profession. Je suis une autodidacte. 
J'ai appris avec eux, sur le tas. Tous les étés, nous partions en Bretagne, à Quiberon, où nous avions une petite maison de pêcheur. Mon père mettait un point d'honneur à nous réveiller à 5h30 pour faire le tour de toutes les petites brocantes du coin ! 
Je vendais des cartes postales et des petits parfums avec une banane autour de la taille pour ranger ma recette du jour. Aujourd'hui, la famille continue de se réunir l'été à Quiberon, j'ai perpétué cette tradition, avec ma sœur et mes neveux !"

Source Programme TV
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