Comment ça marche ? David et son équipe ont utilisé la plateforme Google Earth Engine (GEE) pour intégrer et traiter des données.
Ils ont téléchargé les images de l’entreprise Planet sur 60 parcelles et ont transféré les fichiers sous forme de collections d’images et de fonctionnalités sur GEE.
Ils ont été capables de calculer les quatre indices de végétation pour toutes les images ; fusionner toutes ces images en un seul relevé hebdomadaire et générer des séries chronologiques des quatre indices de végétation avec un maillage fin, pour les 60 parcelles étudiées.
Quels sont les résultats ?
Les quatre indices de végétation testés dans cette étude ont montré une corrélation significative avec le potentiel hydrique de tige, le Savi affichant une performance légèrement meilleure.
Les corrélations utilisant simultanément les quatre indices de végétation ont été élevées sur l’ensemble du vignoble et le long de la saison, permettant de prédire la variabilité de l’état hydrique dans l’espace et dans le temps.
David Helman estime que ces technologies sont « une approche prometteuse pour la surveillance des systèmes de végétation ».
Des essais devraient être également effectués à l’aide d’images disponibles gratuitement, qui ont une résolution spatiale (10-20 m) et temporelle (5 jours) plus grossières que celles de Planet.
À terme, ce système pourrait permettre une gestion en temps réel de l’irrigation, plus fine et plus rapide.
Source Reussir
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