L’enfant vivait avec un sévère psoriasis qui le faisait souffrir à chaque mouvement:
«Il m’a dit ‘Maman, je préférerais mourir que de vivre comme ça’»
Vadym Demedyuk n’était pas un garçon de neuf ans comme tous les autres. Ce petit Ukrainien vivait avec le psoriasis, une maladie inflammatoire de la peau qui se caractérise par une éruption cutanée importante et causant d’importantes douleurs.
La maladie de Vadym était donc un handicap au quotidien, celle-ci couvrant la quasi-totalité de son corps et son traitement commencé il y a six ans n’ayant pas porté ses fruits.
« Nous avons essayé des tonnes de crèmes et de médicaments, mais rien n’y fait », déclarait Natalia Pilat, sa maman. Brisée de voir son fils si mal en point, elle était totalement perdue.
« Sa peau sèche, tombe et lui laisse de terribles blessures. est souvent incapable de marcher en raison de son état de santé et doit rester au lit pendant des semaines.
Chaque mouvement lui cause une douleur insupportable. »
Un véritable crève-cœur pour elle au moment où les médecins ukrainiens les avaient abandonnés, disant qu’ils ne pouvaient plus rien pour lui.
« Un jour, Vadym m’a dit ’Maman, je préférerais mourir que de vivre comme ça’ », confiait difficilement Natalia.
Il faut dire qu’au cours des six dernières années, la famille avait tout tenté pour soigner le petit garçon.
« Nous avons essayé différents hôpitaux et cliniques avec des médecins qui nous disaient qu’il s’agissait d’un des cas les plus extrêmes qu’ils aient jamais vu.
À chaque fois, après une série de traitement, les conclusions étaient les mêmes: on ne pouvait pas nous aider », expliquait la maman qui voulait permettre à son fils de réaliser son rêve d’aller à l’école.
« Il a peur d’aller à l’extérieur et de rencontrer des gens. Il ne veut pas qu’ils le regardent et le pointent du doigt. Vadym n’a pas d’amis et se sent socialement isolé. »
Son dernier espoir se portait sur une clinique de dermatologie israélienne. « Les médecins israéliens ont promis de soulager l’état de santé de Vadym et affirment qu’il sera capable d’aller à l’école et de mener une vie normale », affirmait Natalia.
Un traitement qui avait évidemment un coût : 56.000 euros. Grâce à une collecte de fonds, la somme a été réunie et Vadym a pu se rendre en Israël. Et la bonne nouvelle est tombée ce jeudi : il est enfin guéri !
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