La messagerie avait admis en mai avoir été infectée par un logiciel espion donnant accès au contenu des smartphones.
"Après des mois d'enquête, nous pouvons dire qui a mené cette attaque", déclare Will Cathcart, le patron de WhatsApp, dans un éditorial publié dans un quotidien américain.
Il accuse NSO d'avoir ciblé "100 défenseurs des droits humains, journalistes et autres membres de la société civile dans le monde".
Les pirates avaient exploité une faille de sécurité en insérant un logiciel malveillant dans des téléphones, simplement en appelant les usagers de l'application, utilisée par 1,5 milliard de personnes dans le monde.
Source La Provence
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