Ce pogrom et celui de Bucarest, en janvier de la même année, faisaient partie d’un programme général de destruction des juifs de Roumanie.
Or le pape François est passé par Iasi et par Bucarest.
Et il a exhorté la population à un travail de mémoire « mais de mémoire des racines »,a-t-il précisé.
En conséquence, les juifs en sont exclus.
Cependant la communauté rom a droit à une visite et au pardon de ce que le pays lui a fait endurer.
Je conclus en disant que l’attitude du pape n’incite pas la Roumanie à assumer son passé et je tourne mes pensées vers les juifs de Roumanie
Par Micheline Langlois
Source La Croix
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