Mercredi dernier, le Hamas fêtait sa création à Gaza il y a 29 ans, par un défilé semblable à un défilé militaire prônant la guerre. En tête de file, des enfants paradent et brandissent fièrement leurs armes, en récitant leur discours apologique pour la haine et la destruction d’Israël. En même temps, les dix mille palestiniens présents ainsi que les parents applaudissent de concert la parade, habillés des couleurs de l’organisation terroriste....
Des jeunes sensibilisés à la culture militantisme et terroriste.
A la façon des camps de vacances, le Hamas ne se cache plus de l’endoctrinement des jeunes envoyés en “camps d’été” pour combattants. Là-bas, des adolescents, de 6 à 16 ans, tout genre confondu, se réunissent pour apprendre à manier Kalachnikovs et explosifs. Ces nouveaux petits guerriers suivent un premier entrainement sur armes factices avant d’utiliser de vrais outils offensifs.
Le Hamas exalte les terroristes et ses nouveaux adeptes à commettre de futurs attentats au nom “du droit au retour à Jérusalem ainsi qu’à la mosquée d’Al-Aqsa”. Les vidéos propagandes misent en ligne de ces camps arguent fièrement leur appel au djihad violent.
Quant aux enfants, ils clament leur discours appris religieusement : “Nous revêtirons la cuirasse du sacrifice et nous suivrons le sentier des martyrs. Notre lutte armée est la seule façon de libérer la Palestine, pas la négociation”.
L’UNICEF, déjà alarmée par une telle culture guerrière avait condamné le dirigeant Mahmoud Abbas et le Hamas pour leur recrutement dans les établissements scolaires et leurs méthodes bafouant les droits de l’homme et de l’enfance.
Des terroristes engagés et applaudis
Autour de ces jeunes, des adultes pour la plupart activistes armés, se chargent de montrer la puissance de l’organisation avec des fusils d’assaut et des roquettes.
A la manière de héros, ils sont applaudis et encouragent l’élan de la haine et de la guerre déjà “instaurées dans le cœur des nouveaux militants”.
Leurs larges banderoles déployés affichent en arabe et en hébreu le slogan “Venus des souterrains”, faisant référence aux tunnels creusés en 2000 et multipliés en 2014.
Pour Israël et l’Égypte l’embargo mis sur Gaza était obligatoire. Afin d’éviter l’armement massif de ces troupes par le Hamas, les deux pays essayent toujours d’éviter l’expansion et la mainmise du Hamas et du Fatah à Gaza et en Judée-Samarie.
Le Hamas quant à lui continue de recruter ses adeptes en offrant des salaires aux combattants et en leur promettant une liberté de circulation, un travail, un accès à l’eau douce et une électricité constante.
Autant de promesse non tenues jusqu’à aujourd’hui tandis qu’Israël, malgré son retrait de la région, fournit encore les habitants gazaouis d’électricité.
Source Cool Israel
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