lundi 11 novembre 2019

15 ans après la mort de Yasser Arafat, les "palestiniens" sont encore dupes.....


Quinze ans après la mort de Yasser Arafat, une cérémonie officielle et populaire se tient lundi à Ramallah, autour de son tombeau. Juste à côté, un musée retrace la vie de l'archi-terroriste arabe qui a dirigé l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) pendant 35 ans.......Détails........


Pour le quinzième anniversaire de la mort de l'ancien terroriste et président de l'Autorité palestinienne, décédé le 11 novembre 2004 à Clamart, près de Paris, une cérémonie officielle et populaire se déroule lundi à Ramallah, ville-siège de l'autorité palestinienne autour de son tombeau.
Ce véritable mausolée est situé dans le complexe présidentiel de la Mouqata, là où sont installés les bureaux de son successeur Mahmoud Abbas et où Arafat a été assiégé pendant deux ans et demi par l'armée israélienne. Ses anciens bureaux et son bunker sont devenus un musée.
Le tombeau de Yasser Arafat est situé à 75 pas du portail car il est mort à 75 ans. 
Le mausolée en marbre blanc cubique inspiré de la Kaaba, lieu sacré du culte musulman situé à La Mecque, fait 11 mètres sur 11 car il est mort le 11e jour du 11e mois. 
Puis, à l'intérieur du musée, Yasser Arafat est omniprésent dans les commentaires des guides, les photos et les vidéos.
Au sous-sol, où il a passé les dernières années de sa vie, des sacs de sable, son bureau, le dortoir de ses gardes du corps et sa chambre.
"La pièce est minuscule. Vous avez son petit lit, sa garde-robe, ses vêtements, ses chemises et son keffieh qui était le symbole des Palestiniens", explique Sama, guide du musée. 
Dans les vitrines, on voit aussi son pistolet, ses lunettes à grosses montures, ses discours tapés à la machine ou à la main et son passeport.
Quinze ans après sa mort, Yasser Arafat (surnommé Abou Ammar pendant ses années de clandestinité), reste familier des Palestiniens. 
"Sa mémoire est toujours vivante dans le cœur et dans la mémoire des gens. Personne ne peut vous parler de ce pays dans évoquer Yasser Arafat", raconte une représentante de l'association Peace and Trip qui organise des voyages culturels en Palestine.
Parfois, les notices enjolivent l'histoire. Non, Arafat n'est pas né à Jérusalem mais au Caire (Arafat aurait insisté sur le fait qu’il serait né à Jérusalem afin de préserver son existence mythique et ainsi accroître sa crédibilité en tant que dirigeant palestinien). Elles restent évasives sur son soutien à Saddam Hussein mais elles n'oublient pas de mentionner la Shoah, ni l'œuvre d'Yitzhak Rabin et de Shimon Peres. 
Un équilibre qu'apprécie Hamza, un étudiant toulousain en visite : "On a la chance en tant que Français et qu'étranger de voir les choses des deux côtés. C'est plus complexe que ce que je pensais. J'en apprends tous les jours." Inauguré il y a trois ans, le musée enregistre entre 5 000 et 7 000 visites par mois, dont 40% d'étrangers.

Petit rappel: 

Son nom officiel est Mohammed Abdel Rahman Abdel Raouf Arafat al-Qudua al-Husseini. Arafat se revendiquait comme étant le petit-neveu du grand mufti de Jérusalem Hadj Amin al-Husseini, bien qu'un cousin éloigné (Rappelons que al-Husseini était un grand ami d'Adolph Hitler! ).
Yasser Arafat est né au Caire en Égypte, le 24 août 1929. Un biographe de Yasser Arafat, Alan Hart, rapporte que des documents découverts à l’université du Caire ont permis de conclure qu’il était bien né dans la capitale égyptienne. 
Sixième d’une famille de sept enfants, son père Abdel Raouf al-Qudwa al-Husseini est un riche marchand et propriétaire terrien originaire de Gaza, et sa mère Zahwa Abul Saud est originaire de Jérusalem où la famille Abul Saud prétend descendre directement du Prophète.
Cependant, lui-même déclarait être né à Jérusalem le 4 août 19296, ce qui était faux (comme l'ont vérifié les historiens). 
Selon son récit, sa mère aurait ainsi quitté le Caire durant sa grossesse à la suite d'une dispute avec son époux, pour se rendre chez ses parents dans la ville sainte où elle aurait donné naissance à Yasser. 
Arafat est secrètement entraîné avec d’autres jeunes aux opérations de commando par un officier allemand de la Waffen SS.
Il dénonce à la police égyptienne des juifs appartenant aux mouvements sionistes qui opéraient au Caire comme un groupe de jeunes filles juives de son voisinage, membres de la Jeunesse juive, qui effectuaient des transmissions radio pour encourager les juifs égyptiens à rejoindre le mouvement sioniste en Palestine.
En 1946, il rencontre le Mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini, qu'il viendra à admirer. Il entre dans son organisation en tant qu'assistant du Cheik Hassan, un religieux, principal confident du Mufti. Il délivre des lettres, récolte de l'argent ou bien fournit des informations sur les activités politiques dans les écoles et universités égyptiennes.
Après plusieurs arrestations pour ses activités politiques en Égypte (avec les Frères musulmans) Yasser Arafat s’installe dans l’émirat du Koweït où de nombreux Palestiniens travaillent et résident.
Le Koweït est à l’époque un protectorat britannique et les visas de travail sont délivrés par les ambassades anglaises au Caire, qui examinent avec soin les dossiers des demandeurs. 
Des compétences professionnelles solides sont exigées, et les activités politiques sont très mal vues. L’obtention du visa par Yasser Arafat malgré son profil reste difficile à expliquer. L’auteur palestinien Audeh Butus Audeh estime que les Britanniques lui ont néanmoins accordé un visa, parce qu’il était opposé à Nasser.
Arafat travaille comme ingénieur au département des travaux publics puis à la municipalité de la ville de Koweït, avant de développer sa propre affaire. Les revenus générés par cette activité lui permettent en 1958 de financer la création du Fatah, son parti politique.
Yasser Arafat est le seul parmi les fondateurs du mouvement à ne pas avoir d’enfants, et contrairement aux autres fondateurs, il ne prend pas le nom de l’enfant aîné. Il adopte le nom de guerre de Abou Ammar, en hommage à Ammar Ben Yasser, un compagnon du prophète Mahomet et premier martyr de l’islam. Abou signifie père de en arabe.
Il crée le Mouvement terroriste de libération de la Palestine, rebaptisé rapidement Fatah (la conquête). 
Cette nouvelle organisation terroriste a pour premier but "l’établissement d’un État palestinien de la Méditerranée au Jourdain", recouvrant notamment les territoires d’Israël.
L'intervention des Soviétiques et des Syriens en 1964 à Moscou facilite le choix de Yasser Arafat comme leader des Palestiniens: Ion Mihai Pacepa, ancien chef de la Securitate roumaine, note dans son livre The Kremlin Legacy, un jour de 1964, « nous avons été convoqués à une réunion conjointe du KGB, à Moscou ». Le sujet était d’importance : « il s’agissait de redéfinir la lutte contre Israël, considéré comme un allié de l’Occident dans le cadre de la guerre que nous menions contre lui ». 
La guerre arabe pour la destruction d’Israël n’était pas susceptible d’attirer beaucoup de soutiens dans les « mouvements pour la paix », satellites de l’Union Soviétique. Il fallait la redéfinir. 
L’époque était aux luttes de libération nationale. Il fut décidé que ce serait une lutte de libération nationale : celle du « peuple palestinien ». 
L’organisation s’appellerait OLP : Organisation de Libération de la Palestine.
Le mois de décembre 1964 marque un tournant dans le parcours de l’organisation terroriste, lorsqu’un groupe du Fatah mène sa première opération terroriste, la destruction d’une pompe à eau israélienne. 
Arafat envoie en personne un communiqué qui revendique l’opération au journal libanais An Nahar. 
Toutefois, cette attaque est un échec et le Fatah est condamné par la quasi-totalité des gouvernements arabes. 

Le Fatah poursuit toutefois ses opérations contre des cibles civiles avec notamment les attaques à l’explosif de juillet 1965 contre Beit Guvrin, et une voie ferrée près de Kfar Battir.
Des lors, les activités terroristes d'Arafat ne cesseront plus.
Depuis le Liban ou depuis Tunis, Arafat dirigera des centaines d'attaques terroristes contre des civils israéliens, faisant d'innombrable victimes. 
Dans une lettre adressée à Yitzhak Rabin le 9 septembre 1993, Arafat déclare que l’OLP renonce officiellement à la lutte armée contre Israël en même temps qu’elle reconnaît la légitimité de cet État : « L’OLP reconnaît le droit de l’État d’Israël à vivre en paix et dans la sécurité. […] Ainsi, l’OLP renonce à recourir au terrorisme et à tout autre acte de violence ».

En 1994, Yasser Arafat, Shimon Peres et Yitzhak Rabin reçoivent le prix Nobel de la paix pour leurs efforts en faveur de la paix dans cette région mais personne n'est dupe en Israël, Arafat est un terroriste sanguinaire qui a simplement passé la main à la nouvelle garde et qui se contente maintenant de diffuser aux dirigeants du monde sa propagande anti-israélienne.....

Corruption

Yasser Arafat est accusé d’avoir détourné au profit de son organisation plusieurs centaines de millions de dollars qui étaient destinés au peuple palestinien, et un conflit d’intérêts financiers sur les sommes disparues a persisté entre sa femme résidant à Paris en France et à Gammarth en Tunisie, et l’OLP. 
La question est d’autant plus complexe qu’en l’absence d’État palestinien, les sommes destinées au peuple palestinien ne pouvaient être encaissées que sur les comptes de l’OLP qui était seul juge des dépenses.
Des magazines comme Forbes estiment qu'Arafat était riche de 300 millions de dollars alors que des officiels américains estiment sa fortune à 1 milliard de dollars. 
Alors qu’elle vivait à Paris, sa femme aurait reçu 100 000 dollars chaque mois de la part de l’autorité palestinienne86.
Le FMI estime à au moins 898 millions de dollars le montant des détournements sur les financements alloués à l'autorité palestinienne entre 1994 et 2000. 
Mohamed Rachid, présenté comme l'agent financier personnel de Yasser Arafat, aurait ainsi géré sur plusieurs années une fortune considérable à travers de nombreux investissements aux rendements avérés.
Arafat est également accusé de financer le terrorisme palestinien et d’utiliser les aides internationales pour acheter des armes. 
Certains groupes auteurs d’attentats-suicides en Israël sont liés directement au Raïs palestinien. Maslama Thabet, l’un des leaders du groupe, s’exprimant dans le quotidien USA Today, affirme : « nous recevons nos instructions du Fatah. Notre chef est Yasser Arafat lui-même ».
Israël publie des documents trouvés dans les dossiers d’Arafat, prouvant que celui-ci avait tacitement approuvé les attentats perpétrés par les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa. 
De son côté, l’Union européenne enquête sur les allégations de détournement de ses aides par l’Autorité palestinienne.

Source France TV Info & Wikipedia & Koide9enisrael
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