Zouheir El Graoui a le droit de faire une grasse matinée aujourd’hui. Un luxe alors que les matchs de championnat et de Challenge Cup s’enchaînent. Mais le réceptionneur-attaquant aurait sûrement préféré se lever beaucoup plus tôt et partir avec ses coéquipiers en direction de Paris, ce matin à 6h30, pour ensuite s’envoler vers Tel-Aviv afin d’affronter l’Hapoël Yoav Kfar Saba en quart de finale aller de Challenge Cup mercredi.......Détails........
Contrairement à Konstantin Abaev et Andrii Kutmus, autres joueurs extra-communautaires, le joueur marocain devait obtenir un visa pour pouvoir pénétrer sur le territoire israélien.
45 jours pour un visa
Une démarche administrative qui nécessite, au minimum, 45 jours d’attente… quand le Stade Poitevin a seulement appris qu’il devait se rendre en Israël il y a douze jours, à l’issue du huitième de finale retour entre l’Hapoël Yoav Kfar Sab et Louvain.
Compliqué donc. Voire impossible si l’on tient compte du passage d’El Graoui en Libye, à l’Asswehly Sports Club, entre 2016 et 2018.
Mais on ne pourra pas dire que le Stade Poitevin n’a pas tout fait pour que le réceptionneur-attaquant puisse mettre un pied sur le sol israélien.
Jeudi dernier, Claude Berrard avait entrepris des démarches afin de débloquer la situation. Le président du Stade Poitevin avait d’abord contacté l’ambassade d’Israël en France. Sans réussite.
Le dirigeant s’est ensuite tourné vers la fédération israélienne de volley-ball en envoyant un mail dans lequel il a indiqué que « pour l’équité sportive, ce n’était pas normal qu’un joueur ne puisse pas se déplacer. »
L’institution lui a immédiatement répondu et a demandé au club poitevin de lui transmettre la photocopie du passeport de l’international marocain. Sans pour autant faire évoluer la situation.
En dernier recours, la voie diplomatique a été empruntée et le dossier “ El Graoui ” est arrivé, hier, sur un bureau du ministère français des affaires étrangères.
Sans vraiment plus de succès. Le Stade Poitevin essaiera, lui, d’en ramener un d’Israël. Même sans son Marocain.
Mercredi, 18 h 45 (heure française).
45 jours pour un visa
Une démarche administrative qui nécessite, au minimum, 45 jours d’attente… quand le Stade Poitevin a seulement appris qu’il devait se rendre en Israël il y a douze jours, à l’issue du huitième de finale retour entre l’Hapoël Yoav Kfar Sab et Louvain.
Compliqué donc. Voire impossible si l’on tient compte du passage d’El Graoui en Libye, à l’Asswehly Sports Club, entre 2016 et 2018.
Mais on ne pourra pas dire que le Stade Poitevin n’a pas tout fait pour que le réceptionneur-attaquant puisse mettre un pied sur le sol israélien.
Jeudi dernier, Claude Berrard avait entrepris des démarches afin de débloquer la situation. Le président du Stade Poitevin avait d’abord contacté l’ambassade d’Israël en France. Sans réussite.
Le dirigeant s’est ensuite tourné vers la fédération israélienne de volley-ball en envoyant un mail dans lequel il a indiqué que « pour l’équité sportive, ce n’était pas normal qu’un joueur ne puisse pas se déplacer. »
L’institution lui a immédiatement répondu et a demandé au club poitevin de lui transmettre la photocopie du passeport de l’international marocain. Sans pour autant faire évoluer la situation.
En dernier recours, la voie diplomatique a été empruntée et le dossier “ El Graoui ” est arrivé, hier, sur un bureau du ministère français des affaires étrangères.
Sans vraiment plus de succès. Le Stade Poitevin essaiera, lui, d’en ramener un d’Israël. Même sans son Marocain.
Mercredi, 18 h 45 (heure française).
Vous nous aimez, prouvez-le....