Selon des médias arabes et soudanais, Khartoum avait 24h pour répondre à l'ultimatum lancé par Washington, selon lequel le Soudan serait retiré de la liste noire américaine sur laquelle figurent les pays soutenant le terrorisme, en échange d'une normalisation des relations avec Israël.
Par ailleurs, toujours selon les médias soudanais, le pouvoir politique reste divisé sur la question.
Alors que le chef du Conseil souverain, le général Abdel Fattah al-Burhane, et certains membres du gouvernement soutiennent cette normalisation, d'autres personnalités politiques, comme le Premier ministre Abdallah Hamdok, s'y opposent.
Ce rapport intervient alors que des sources soudanaises avaient déjà indiqué le mois dernier que le Premier ministre israélien s'apprêtait à rencontrer en Ouganda le général Abdel Fattah al-Burhane.
Début octobre, le vice-président du Conseil souverain, le général Mohamed Hamdan Dogol, avait affirmé que son pays établirait probablement des liens avec Jérusalem prochainement, affirmant que Khartoum avait besoin d'Israël et pourrait tirer bénéfice de telles relations.
Source I24News
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