La presse française mainstream prend ses rêves pour une réalité. Ainsi, suite à la tuerie de Pittsburgh, est apparue une Fake news généralisée, avec des titres et des articles malhonnêtes : « Tuerie antisémite à Pittsburgh: Trump, venu se recueillir, conspué par des manifestants » titre 20 minutes. « Donald Trump chahuté à Pittsburgh » titre pour sa part BFM TV dans une vidéo digne d’un film de propagande du 20ème siècle........Décryptage.........
La presse canadienne, québécoise, belge, a bien entendu colporté les mêmes errements que la presse française.
Que s’est-il passé à Pittsburgh ?
En réalité, pas grand chose. Donald Trump, président des États-Unis, est venu se recueillir comme l’aurait fait n’importe quel chef d’État sur les lieux de la tuerie, à Pittsburgh.
En marge de sa venue, 1500 personnes ont manifesté leur opposition à la venue de Donald Trump.
1500 personnes (selon les médias mainstream), pour une ville de Pittsburgh qui compte 300.000 habitants (2 millions sur l’aire urbaine).
Une manifestation ultra minoritaire au sein de la population locale donc, mais fortement médiatisée, comme à chaque fois qu’une opposition à Trump, y compris marginale, se mobilise.
« Il n’était pas forcément le bienvenu » ose même Huffington Post, en roue libre avec l’AFP.
Un tir groupé, bien orchestré par l’Agence France Presse et repris par des médias qui ne se fatiguent même plus à effectuer un travail de journalisme : on copie l’AFP, on appelle un correspondant « qui pense pareil » de l’autre côté de l’Atlantique, et on offre aux lecteurs une vision erronée, tronquée, de ce qu’il se passe aux Etats-Unis.
On vous laisse apprécié cet extrait trouvé sur le site du Parisien : « Je voulais juste tuer des Juifs », a-t-il expliqué (NDLR : l’auteur de la tuerie) après son arrestation, en accusant les Juifs d’être responsables d’un « génocide » des Blancs selon une rhétorique chère à l’extrême droite.
Pour les détracteurs de Donald Trump, ce type de discours s’est banalisé depuis son accession à la présidence.
S’il mène une politique clairement pro-israélienne, le magnat de l’immobilier a parfois semblé ménager les suprémacistes blancs. Et il s’en prend souvent à des personnalités juives comme George Soros en utilisant les termes de l’extrême droite.
Une presse aux ordres donc, qui n’était pas aussi vociférante lorsque l’idole des bobos européens, Barack Obama, quasi érigé en homme supérieur de par son statut de « président métis noir », possédait le pire bilan en matière de tueries de masse, comparé aux 4 précédents présidents américains.
Et il en est encore pour se demander pourquoi les ventes de la presse mainstream chutent en France….
Source Breizh Info
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