mercredi 11 décembre 2013

A cause des nouvelles directives européennes, le géant néerlandais de l'eau " Vitens " arrête sa cooperation avec Mekorot d'Israël !


Le géant néerlandais de l'eau " Vitens " a annoncé mardi son intention de cesser toutes cooperation avec la compagnie Mekorot Israël en signe de protestation contre les opérations de la société israélienne en Judée-Samarie. L' annonce a été faite moins d'un mois et demi après que les deux sociétés aient signé un accord de coopération pour le développement futur de plusieurs projets ( voir photo ). Selon la radio israélienne, un porte-parole de Vitens, une société qui fournit de l'eau à 5,4 millions de personnes aux Pays-Bas, a déclaré que la direction a pris cette décision après avoir consulté le ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas.




" La société a conclu qu'il serait très difficile de développer des projets ensemble compte tenu du fait que ses projets ne pourraient pas respecter le droit international ".
La société Mekorot, qui supervise l'approvisionnement en eau de l'Autorité palestinienne, n'a pas souhaité commenter cette information.
Les nouvelles lignes directrices de l'UE publié en Juillet interdisent les financements européens et la coopération avec des institutions israéliennes établies ou opérant au dela de la ligne verte. Tous les futurs accords entre Israël et l'UE doivent désormais incluent une clause dans laquelle Israël reconnait qu'aucun territoire au dela de la Ligne verte n'appartient à Israël.
La semaine dernière, l'agence pour le commerce et l'investissement au Royaume-Uni a encouragé les entreprises britanniques a refuser les transactions commerciales avec des sociétés situées en Judée-Samarie.
L'agence a mis en garde les entreprises des " risques évidents liés aux activités économiques et financières dans les colonies qui sont illégales au regard du droit international et constituent un obstacle à la paix en menacant de rendre une solution de " deux Etats pour deux peuples " impossible ".
Le rapport exhorte les entreprises qui envisagent une participation économique ou financière avec une compagnie israélienne a consulter un conseiller juridique  afin de voir les " implications potentielles qui pourraient résulter ainsi que des " possibles violations des droits de individus ".


Source Koide9enisrael