Israël et les Etats-Unis sont divisés sur les considérations sécuritaires d'un futur accord de paix avec les Palestiniens. Les États-Unis accepte la position palestinienne qui considere que leur état doit être souverain sur son territoire, ce qui signifie qu'Israël ne serait pas autorisé à mener des opérations anti-terroristes dans les villes palestiniennes comme il le fait maintenant. Israël s'oppose à cela et cherche à préserver le droit de contrecarrer la terreur en éliminant les terroristes dans le futur Etat palestinien. Israël exige également le droit de procéder à des poursuites ou a des arrestations ciblées dans le
futur Etat palestinien.
futur Etat palestinien.
En d'autres termes, les Forces de défense israéliennes seraient en mesure d'entrer dans le territoire palestinien et poursuivre les terroristes qui sont soit sur le point de commettre un attentat en Israël soit qui sont en fuites après avoir effectué une attaque contre Israël. Les Palestiniens s'opposent à cela affirmant que ce serait une violation de leur souveraineté.
Le ministre de la Défense Moshe Yaalon s'oppose également à un retrait israélien de la vallée du Jourdain tout comme les responsables de Tsahal.
Le plan sécuritaire que le secrétaire d'Etat américain John Kerry a présenté à Israël a été préparé par une équipe dirigée par le général américain John Allen. L'équipe américaine a eu des entretiens avec des responsables de la défense israélienne, y compris des généraux de réserve. Le plan comprend la construction d'une clôture dans la vallée du Jourdain du meme type que celles qu' Israël a construit le long de sa frontière avec l'Egypte et la Syrie. Le plan prévoit également des patrouilles militaires israéliennes dans la vallée du Jourdain mais avec de drones.
Israël recevrait en plus des renseignements de la part des satellites américains et aurait aussi le soutien des forces jordaniennes.
Amos Gilad, le chef de la sécurité du ministère de la Défense, a déclaré: " La technologie n'est pas une solution sauf si elle est accompagnée par des renseignements recueillis sur le terrain. Si nous quittons la région et que personne ne nous remplace, alors la capacité à contrecarrer le terrorisme seraient affectés dramatiquement ".
Source Koide9enisrael