dimanche 13 octobre 2013

Des infirmiers filmés entrain de battre une patiente impuissante !


Pendant quatre ans, une jeune femme de 23 ans, dans un état de conscience partielle, a été hospitalisée dans un hôpital privé dans le Nord. Ces derniers mois, sa famille a soupçonné qu'elle souffrait de mauvais traitements. Elle a donc placé une caméra cachée placée au-dessus du lit pour confirmer les suspicions.

Le résultat est effrayant : par exemple, lors du remplacement d'une perfusion, elle se fait violemment tirer ses cheveux, dans un autre cas, après s'être assuré que personne ne regarde, un infirmier la gifle sans raison, dans un autre cas encore, un infirmier lui attache les poignées puis la frappe sur la tete...
La famille a depuis déménagé leur enfant de l'établissement mais elle a pris soin de transmettre les images à la police d'Haïfa qui a rapidement arrêté quatre suspects.
" Il est difficile d'attraper quelqu'un qui fait de telles choses car le malade ne peut pas se plaindre vu son état " a déclaré le commandant en chef de la police d'Haïfa, Ilan Kohav. " Cette femme est impuissante face à de tels actes et ne peut pas se défendre ".
Un des suspects a déclaré au tribunal, en audience préliminaire, " je ne suis pas coupable, ce sont des histoires inventées ".
Il a affirmé que la famille de la jeune femme tente d'obtenir une indemnisation depuis longtemps. " Depuis plusieurs mois, ils sont à la recherche d'un moyen d'obtenir une indemnisation. Elle est tombée du lit alors que j'étais présent et ils m'ont accusé de négligences. Ils m'ont menacé alors je leur aient dit que j'allais appeler la police. Je vois que maintenant, c'est moi qui suis la commune suspecte. Je n'ai fait que mon travail ".
L'avocate des suspects, Regina Kosenitz a déclaré que " les suspects affirment qu'ils sont innocents. Ils ont agi consciencieusement, selon les procédures. Je suis sûr qu'a la fin de la journée, de la montagne sortira une souris et que les soupçons se révèleront inexacts ".
L'hôpital n'a pas souhaité répondre aux journalistes mais une chose est sure, c'est que les images parlent d'elles-mêmes et que la police d'Haïfa les a visionnées avant d'interpeler les quatre individus...
 
Source Koide9enisrael