mercredi 14 novembre 2012

Le top 10 des raisons pour lesquelles les médias sont anti-Israel





En Israël, il y a beaucoup plus de journalistes, étrangers et nationaux, que dans de nombreux pays pourtant plus grands et il y a plus de journalistes étrangers en Israël que dans n’importe quel autre pays de la région.
Peu importe qui est le président ou ce qui se passe dans le monde, il semble qu’Israël est toujours à la une des journaux. Bien qu’il existe de nombreuses raisons différentes pour lesquelles les médias sont anti-Israël, voici ma liste des 10 principales raisons pour lesquelles le média est orienté contre Israël:
  1. Il y a la liberté de la presse en Israël, et les journalistes peuvent couvrir l’actualité comme ils le souhaitent. Nulle part ailleurs dans le Moyen-Orient, il y a une vraie liberté de la presse. En Israël, les journalistes ne sont pas suivis par la police, ni torturés, intimidés, etc. Israël existe dans une région difficile et les médias dénigrent Israël. Partout ailleurs dans le monde les gens qui jettent des pierres sur la police seraient à juste titre pris à partie – En Israël, les autorités sont dépeintes comme les méchants de l’application de la loi contre les lanceurs de pierres
  2. Les reporters profitent de la douceur de vivre en Israël. Les journalistes étrangers font souvent état de la « zone de guerre » avec des grands visuels de «conflit», mais ils sont en mesure de retourner à la vie métropolitaine pour un dîner sushi, ou pour une soirée dans la belle ville de Tel-Aviv. En conséquence, ce qu’ils rapportent et comment ils vivent sont incompatibles. En Israël, les journalistes mènent une qualité de vie élevée et ils ne se trouvent pas en danger, comme ceux qui vivent dans de nombreux pays voisins (vous ne verrez pas trop de journalistes en Libye, en Iran ou dans la plupart des pays voisins d’Israël). Ils peuvent faire une histoire de «guerre» et être de retour pour profiter de la vie une heure plus tard. C’est beaucoup plus facile de faire un reportage à partir d’Israël plutôt que sur un lieu de danger réel.
  3. Israël ne pourra tout simplement pas fabriquer de l’information et mentir comme les Arabes palestiniens le font constamment. Une vidéo récente d’une manifestation en Judée Samarie a fourni des visuels étonnants – d’attrayants enfants arabes apparemment capturés lors d’affrontements avec des soldats de Tsahal. C’est certainement une vidéo captivante – des enfants, des fusils, et le désert du Moyen-Orient. Cette vidéo particulière n’était pas une production hollywoodienne mais était une pure fabrication. On peut voir que les enfants sont des accessoires qui essaient de provoquer les soldats. Comme une source supérieure de l’armée israélienne l’a déclaré, les enfants palestiniens sont payés pour affronter les soldats : « Les soldats sont informés sur le fait que ces manifestations sont organisées pour le plaisir de la provocation, afin qu’ils puissent être filmés en train d’agir violemment et parce que ces vidéos pourraient être distribués dans le monde entier dans le but de nuire à l’image de l’armée israélienne ». A chaque fois, comme l’incident de Muhammad Al-Dura, la crédibilité fait défaut, mais les images sont saisissantes et puissantes.
  4. Les grands médias à travers le monde montre un parti pris libéralet les libéraux sont opposés à Israël, qu’ils voient comme la puissance dans la région.
  5. Le système politique israélien n’est pas propice à de bonnes relations publiques. Il y a un tas d’agences au sein du gouvernement qui sont supposées s’occuper des relations publiques, mais aucune d’entre elles n’est efficace. Pour n’en nommer que quelques-unes, il y a une direction des relations publiques au sein du Conseil national de sécurité, et des services de relations publiques dans le bureau du Premier ministre, du ministère de la Défense, du ministère des Affaires étrangères et de Tsahal. Peu sont coordonnés les uns aux autres, et tous ont très peu de contacts avec l’étranger. C’est une honte et cela blesse Israël dans le monde entier.
  6. Culturellement, les Israéliens ne voient pas les relations commerciales et publiques comme quelque chose de nécessaire. Prenez les entreprises technologiques israéliennes – les Israéliens ont d’excellents produits, mais un marketing insuffisant. Les Israéliens sont durs, et croient qu’à partir du moment où leur cause est juste et qu’ils peuvent vaincre l’ennemi, ils n’ont pas besoin de passer du temps à convaincre le public. Alors qu’Israël a dû lutter depuis le premier jour de son existence, et continue de compter sur son armée, ils ne voient pas la nécessité de se concentrer sur quelque chose d’aussi abstrait que les médias.
  7. Les Israéliens ne sont pas flexibles avec les «opérations de relations publiques». Peu passent du temps et dépensent de l’argent pour divertir les journalistes. Contrairement aux représentants de relations publiques arabes qui passent des nuits à l’Hôtel American Colony, et ne sont pas accablés par les rapports de dépenses, les responsables gouvernementaux israéliens ne sont pas autorisés à ce genre de dépenses et dans presque tous les cas ils payent leur propre facture de téléphone cellulaire pour les appels depuis et en direction des journalistes.
  8. Israël n’a pas de professionnels. Une nation qui (à juste titre) emploie Stanley Fischer pour gérer l’économie devrait embaucher des professionnels de relations publiques pour aider à ces nombreux défis – comme les nations arabes qui ont toutes de très puissants cabinets de relations publiques.
  9. Israël fait trop partie du vocabulaire quotidien dans le monde entier et peu de gens réalisent que la nation est la taille du New Jersey. Dans le dernier débat présidentiel américain, nous avons entendu de Mitt Romney que le président Obama s’est rendu au Moyen-Orient et ne s’est pas rendu en Israël. Obama a noté en tant que candidat qu’il s’est rendu en Israël et dans la ville frontalière de Sderot, où il a « vu des familles là-bas qui lui ont montré où les missiles étaient tombés à proximité des chambres de leurs enfants ». Il a dit que cela lui faisait penser à ce qu’il ferait si c’était ses enfants, c’est pourquoi il dit avoir financé le programme du dôme de fer « pour arrêter ces missiles ». Israël, et la petite ville de Sderot, était mis en avant lors du débat présidentiel américain et il s’agissait moins d’un débat sur la politique étrangère des Etats Unis qur d’une discussion sur les différentes façons dont l’Amérique aide la pauvre Israël. À long terme, Israël ne peut pas bénéficier de cette attention.
  10. Il ne faut pas non plus se voiler la face: Beaucoup de gens détestent les Juifs – et cela ne pourra jamais changer. Il s’agit d’une norme dégoûtante qui « explique » le double parti pris contre Israël par les journalistes qui ne cessent de blâmer et d’attaquer Israël par la haine.
Ze’ev Jabotinsky, le prophète sioniste a parlé de l’importance des relations publiques: «Qui étaient les premiers à nous apprendre à toujours intervenir dans les affaires qui ne sont pas les nôtres, à juger les gens et les nations, même si nous n’avons jamais été choisi pour le poste de juge? Le travail du journaliste est un héritage des Prophètes d’Israël … Notre passion est de parler, de proclamer. Une chose que le public oublie, c’est que la parole est aussi une action – Peut-être la plus authentique de toutes les actions. Les villes ont été détruites, et davantage vont tomber, mais ce qui a été crié il y a des milliers d’années est vivant et toujours d’actualité. Le monde a été créé par la Parole. Le monde va être réparé par l’article ».

La partialité des médias blesse Israël – et toute personne ayant la capacité d’influencer les médias pour dire la vérité devraient faire tout leur possible pour aider à améliorer l’image d’Israël. Nous devrions tous prier, espérer, et œuvrer à l’amélioration de la réputation d’Israël, et mettre fin au parti pris des médias.

Source : Meteor