En visioconférence en raison de la pandémie de Covid-19, le président américain Donald Trump a pris la parole ce 22 septembre devant l'Assemblée générale de l'ONU.
Dès le début de son discours, le président américain s'en est pris à la Chine, qu'il a appelé à tenir «pour responsable de ses actes» dans la pandémie du Covid-19.
«Au début de la propagation du virus, la Chine a interdit les vols intérieurs tout en autorisant les avions à quitter la Chine et infecter le monde», a déclaré le locataire de la Maison Blanche dans un message préenregistré diffusé à l'occasion de l'Assemblée générale de l'ONU.
«Le gouvernement chinois et l'Organisation mondiale de la santé, qui est quasiment contrôlée par la Chine, ont déclaré à tort qu'il n'existait pas de preuve de transmission humaine» du virus, a-t-il ajouté.
«Les Nations unies doivent tenir la Chine pour responsable de ses actes», a-t-il martelé, au moment où les Etats-Unis étaient sur le point de franchir le cap des 200 000 morts.
Le président américain, qui visera le 3 novembre un deuxième mandat de quatre ans à la tête de la première puissance mondiale, a aussi prédit une sortie de crise chargée de promesses.
«Nous distribuerons un vaccin, nous vaincrons le virus, nous mettrons fin à la pandémie et nous en entrerons dans une nouvelle ère inédite de prospérité, de coopération et de paix», a-t-il ajouté.
Donald Trump a entre autre vanté l'action des Etats-Unis au Moyen-Orient et notamment sa contribution au processus de paix, notamment la signature des accords entre les Emirats arabes unis, Bahreïn et Israël.
Il a qualifié cet accord «d'historique», assurant que de «nombreux autres pays du Moyen-Orient vont les rejoindre».
«Ils savent que c'est formidable pour le monde entier», a-t-il ajouté, en appuyant le fait qu'il s'agissait d'un accord de paix «révolutionnaire», qui constitue «l'aube d'un nouveau Moyen-Orient».
Source Liberté Politique
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