Le chiffre impressionne. Plus de 250 avocats Français seront en visite en Israël en mai 2015. Ils vont rencontrer des cabinets d’avocats israéliens de renom et participeront à des rencontres avec de nombreuses personnalités politiques. C’était en 2012 : "A l’initiative du Département juridique du Ministère israélien des Affaires étrangères, le colloque « Israël face aux défis du droit » s’est tenu à Paris, organisée en partenariat avec la section française de l’Association Internationale des Juristes Juifs, le Rassemblement des Avocats Juifs de France, l’Alliance France-Israël, et l’Ambassade d’Israël à Paris...Details...
Des experts juridiques israéliens, français et européens de haut niveau, majoritairement francophones mais également anglophones, se sont réunis afin de mettre en place de nouveaux projets de coopérations et d’échanges. Après New-York et Londres, l’objectif de la conférence de Paris, inédite, était de mettre en lumière les divers aspects et les nombreux défis juridiques auxquels Israël est confronté actuellement, ainsi que de fournir des ressources opérationnelles et professionnelles de premier plan pour répondre à ces enjeux.
Cette initiative du Département juridique du Ministère israélien des Affaires étrangères a permis aux professionnels du Droit (universitaires, juristes, avocats) de renforcer leurs liens et leur coopération, mettant ainsi en place des passerelles et des mécanismes de mutualisation sur le long terme".
Selon un article de l’Ambassade France : "Le barreau israélien recense plus de 33 000 avocats dont 80% en activité, soit un avocat pour 260 habitants, un des ratios les plus élevés au monde. La profession a connu une série de fusions et d’acquisitions permettant aux cabinets d’être mieux positionnés pour répondre aux multiples demandes des entreprises dont l’activité s’internationalise de plus en plus.
En Israël, la profession d’avocat ouvre l’accès à l’ensemble des professions juridiques et légalesrnLes fonctions d’huissier de justice et de liquidateur judiciaire sont remplies par des avocats, ainsi que celle de notaire après douze ans d’expérience en Israël. De plus, comme dans les pays de droit anglo-saxon, il n’existe pas dernmagistrature en Israël. Les avocats peuvent devenir juges après avoir passé cinq ans à exercer leur profession.
Seuls les avocats membres du Barreau ont le droit de donner un conseil ou une expertise juridique. La loi protégeant les intérêts de la professionrnd’avocat et leur réservant l’exercice et l’usage de la loi prévoit toutefois des exceptions (par exemple un professeur de droit non membre du barreau pourra donner un avis juridique sur un sujet dont il est spécialiste, mais uniquement à la demande d’un avocat et à condition qu’il ne soit pas rémunéré).
Enfin il est important de noter que contrairement à la France où il existe plusieurs barreaux en fonction des régions, il n’y a qu’un Barreau national en Israël".
Tous les ans un classement fait beaucoup parler de lui dans les milieux de la justice israélienne. C’est celui du Ranking du Dun’s en Israël qui classe la taille des cabinets. En 2015, c’est le Cabinet Herzog, Fox et Neeman qui est en tête de gondole avec 265 avocats. Au rang numéro 2 avec 250 avocats : “Meitar, Liquornik, Geva, Leshem,Tal”. “Goldfarb Seligman” se retrouve en troisième position. En N°4 : “Fischer, Behar, Chen, Well, Orion, & Co”.
Le barreau israélien recense environ 33 000 avocats dont 80% en activité, soit un avocat pour 260 habitants, un des ratios les plus élevés au monde. Les conditions d’examen pour accéder à la profession d’avocat diffèrent peu du cursus français. La profession est organisée en ordre depuis 1961 et orchestrée par the Israel Bar Association. En Israël, la profession d’avocat ouvre l’accès à l’ensemble des professions juridiques et légales.
Les fonctions d’huissier de justice et de liquidateur judiciaire sont remplies par des avocats, ainsi que celle de notaire après douze ans d’expérience en Israël. De plus, comme dans les pays de droit anglo-saxon, il n’existe pas de magistrature en Israël. Les avocats ne peuvent devenir juges qu’après avoir passé cinq ans à exercer leur profession. Ce système aboutit à une magistrature israélienne mûre et expérimentée. Seuls les avocats membres du Barreau ont le droit de donner un conseil ou une expertise juridique.
La loi protégeant les intérêts de la profession d’avocat et leur réservant l’exercice et l’usage de la loi prévoit toutefois des exceptions (par exemple un professeur de droit non membre du barreau pourra donner un avis juridique sur un sujet dont il est spécialiste, mais uniquement à la demande d’un avocat et à condition qu’il ne soit pas rémunéré). Enfin il est important de noter qu’ il n’y a qu’un Barreau national en Israël.
Source Israel Valley