Le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a promis mardi à Israël d'être «perspicace» et de veiller toujours à ce que l'Iran ne développe pas l'arme nucléaire. «Le secrétaire Hagel a souligné, alors que les États-Unis ont l'intention de tester la perspective d'une solution diplomatique avec l'Iran, que nous serions perspicaces quant aux défis qui s'annoncent», a indiqué le porte-parole du Pentagone, George Little.
Les États-Unis «ne faibliront pas dans leur ferme politique d'empêcher l'Iran de se doter d'armes nucléaires», a-t-il ajouté.
Le nouveau président iranien Hassan Rohani, plus modéré que son prédécesseur, a cherché à calmer les tensions avec l'Occident lors de sa visite aux États-Unis lors de l'Assemblée générale des Nations unies, qui a culminé avec un contact direct --par téléphone-- avec le président américain Barack Obama le 27 septembre.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, formé aux États-Unis, Mohammad Javad Zarif, a affirmé qu'il espérait conclure un accord sur le programme nucléaire de l'Iran d'ici un an, et présentera des propositions lors des négociations prévues les 15 et 16 octobre à Genève avec les États-Unis et les cinq autres puissances -- le Royaume-uni, la Chine, la France, l'Allemagne et la Russie.
Les pays occidentaux soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que l'Iran dément.
Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a réaffirmé mardi la nécessité de maintenir et même «renforcer» les sanctions contre l'Iran.
Source La Presse
Le nouveau président iranien Hassan Rohani, plus modéré que son prédécesseur, a cherché à calmer les tensions avec l'Occident lors de sa visite aux États-Unis lors de l'Assemblée générale des Nations unies, qui a culminé avec un contact direct --par téléphone-- avec le président américain Barack Obama le 27 septembre.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, formé aux États-Unis, Mohammad Javad Zarif, a affirmé qu'il espérait conclure un accord sur le programme nucléaire de l'Iran d'ici un an, et présentera des propositions lors des négociations prévues les 15 et 16 octobre à Genève avec les États-Unis et les cinq autres puissances -- le Royaume-uni, la Chine, la France, l'Allemagne et la Russie.
Les pays occidentaux soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que l'Iran dément.
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