Pour la deuxième année consécutive, la Banque Hapoalim se retrouve sur le podium du Global Finance Magazine. En termes de croissance, profitabilité, relations stratégiques, développement de nouvelles activités, et innovation de produits, cette banque semble s’en sortir très bien dans un environnement international difficile.
La Banque Hapoalim est la meilleure banque israélienne en 2012 selon “Global Finance Magazine”, référence internationale en matière d’actualité financière.
Global Finance Magazine, mensuel en langue anglaise basé à New York et distribué dans plus de 150 pays, sélectionne chaque année les meilleures institutions financières.
Ses récompenses sont devenues un standard d’excellence reconnu. Le prix 2012 des “Meilleures banques des marchés développés” distingue 27 établissements financiers sélectionnés dans autant de pays en Amérique du Nord, Europe, en Asie-Pacifique et au Moyen-Orient. Les banques distinguées par le palmarès 2012 sont “celles qui ont répondu aux besoins de leurs clients dans une conjoncture incertaine tout en réalisant les meilleurs résultats et consolidé leurs fondamentaux”.
Global Finance Magazine a retenu des critères aussi bien objectifs, tels que la croissance des fonds propres, la rentabilité, le rayonnement géographique, les nouveaux développements commerciaux et l’innovation que subjectifs, fondés sur le jugement des analystes. Ainsi les banques récompensées ne sont “pas forcément les plus grandes par la taille ni les plus anciennes mais bien les meilleures”, celles avec lesquelles les acteurs économiques peuvent s’engager.
Les banques israéliennes restent peu exposées à la dette européenne, ce qui confirme la solidité du secteur bancaire en Israël et rassure les investisseurs.
Les bilans financiers des banques israéliennes révèlent qu’à la fin du mois de juin 2011, l’exposition des cinq banques israéliennes vis-à-vis de la France et de l’Italie atteignait 4,5 milliards de shekels, soit 900 millions d’euros; en revanche, l’exposition vis-à-vis des quatre pays du groupe des PIGS (Portugal, Irlande, Grèce et Espagne), dont l’endettement fait craindre un défaut de paiement, est plus faible: elle se montait à 1,65 milliard de shekels, soit 330 millions d’euros.
Source Israel Valley