Alors qu’une tempête médiatique et économique attaque le « décret Trump » interdisant aux ressortissants de sept pays musulmans d’entrer aux États-Unis (pendant 90 jours uniquement), un petit décryptage s’impose sur un décret qui est déjà mis en application, par ces mêmes pays, vis à vis d’un autre état, Israël en l’occurence.....Details.......
En effet, sur les 7 pays ( la Libye, le Soudan, la Syrie, l’Irak, l’Iran, le Yémen et la Somalie.) concernés par ce décret – sorte d’état d’urgence de l’immigration ne durant que 90 jours – 6 pratiquent la même discrimination, et depuis des années.
Ainsi la Libye, le Soudan, la Syrie, l’Irak, L’Iran, le Yémen, le Soudan font partie de ces pays qui interdisent l’accès à leur territoire à toute personne munie d’un passeport en provenance d’Israël.
Difficile donc pour les autorités de ces pays, ainsi que pour les citoyens qui les ont portés au pouvoir, de s’indigner d’un traitement ponctuel qu’ils infligent eux mêmes toute l’année à un autre état.
Et que dire de la réaction de l’Indonésie, premier pays musulman du monde, « regrettant » la mesure de Donald Trump tout en pratiquant là encore, la même politique vis à vis d’Israël, toute l’année cette fois.
Etonnement, pas un média de la presse subventionnée n’a relevé cela, préférant se focaliser sur les réactions indignées de dirigeants « du monde entier » (en réalité de quelques puissances occidentales et/ou musulmanes) , eux aussi parfois mal placés pour évoquer la sécurité de leurs administrés.
L’administration Trump a d’ailleurs défendu son décret, dimanche, en le justifiant par le souhait de ne pas connaitre aux Etats-Unis une situation comme « dans certaines parties de la France, dans certaines parties de l’Allemagne et en Belgique », en référence aux attentats terroristes qui ont été perpétrés en Europe ces derniers mois.
D’autre part, l’administration américaine étudie l’intégralité des demandes d’exemptions au cas par cas et qu’une partie des gens qui en ont fait la demande, après enquête, a été exemptée. Prévenir, plutôt que guérir en quelque sorte ..
François Hollande – l’homme sous la présidence de qui des centaines de français sont morts sous les coups du terrorisme islamiste – a appelé ce week-end Donal Trump pour hausser le ton, ce qui peut prêter à sourire. Il a manifestement été renvoyé dans les cordes.
Bien que la presse française se fasse écho exclusif de ce qu’aurait dit le président Français, on peut toutefois lire entre les lignes : « Des deux côtés, le ton est resté très courtois, mais très ferme sur le fond. Exemple : le décret anti-réfugiés. François Hollande a bien fait comprendre à Donald Trump qu’il ne l’approuvait pas, mais le président américain est resté intraitable, invitant même la France à suivre son exemple ».
Dans la foulée, Donald Trump a appelé Vladimir Poutine pour un long entretien sur les grandes affaires du monde ; tout un symbole.
François Hollande apparait dans cette affaire comme le nourrisson pleurant dans son bac à sable avec son hochet, pendant que « les grands » sont partis jouer ailleurs …
Seule voix dissonante parmi les leaders politiques européens qui se sont tous répandues en pleurnicheries, celle de Milos Zeman, président de la République Tchèque : « Le président américain Trump protège son pays, il est soucieux de la sécurité de ses citoyens. Exactement ce que les élites européennes ne font pas », a tweeté ainsi le porte-parole du président tchèque, Jiri Ovcacek.
« La sécurité des citoyens tchèques est une priorité. Maintenant nous avons des alliés aux Etats-Unis » a-t-il ajouté.
Source Breizh Info
Suivez-nous sur FaceBook ici: