La presse israélienne a indiqué lundi matin que les terroristes libérés dernièrement des prisons israéliennes, dans le cadre de la relance des pourparlers israélo-palestiniens, ont reçu une subvention de 50 000 dollars, octroyée généreusement par l’Autorité palestinienne.
Mais ce n’est pas tout. Les « détenus » qui bénéficieront prochainement d’une libération « anticipée », lors de l’application de la troisième phase de cet accord, auront droit à la même somme.
Une autre décision donne la mesure de l’attitude adoptée par l’AP à l’égard de ces meurtriers : s’ils ont purgé une peine dépassant 25 ans de réclusion dans une prison israélienne, ils seront gratifiés d’un statut équivalent à celui d’un vice-ministre ou d’un général et toucheront un salaire mensuel de … 14 000 shekels.
Un terroriste resté en prison entre 15 et 25 ans recevra quant à lui le traitement versé aux PDG ou aux généraux de brigade, à savoir 10 000 shekels par mois.
Pour les services de sécurité israéliens, qui n’ont pas caché leur colère, de tels avantages ne feront qu’encourager des « éléments extrémistes » à commettre des crimes contre des Israéliens afin d’être arrêtés et de permettre ainsi à leurs familles de recevoir ces primes.
Une information qui intéressera certainement ceux qui se demandent encore où va l’argent des donateurs étrangers qui défendent la cause palestinienne …
Source Chiourim