C'est par une note dans le Journal Officiel palestinien (Al Hayat Al Jadida) que nous apprenons qu'il est de pratique courante dans les institutions de santé mentale et dans les prisons palestiniennes de pratiquer des hystérectomies ( opération consistant à enlever l’utérus) sans justification médicale ni consentement des femmes qui sont ainsi mutilées et privées de la possibilité de procréer.
La note est une instruction à toutes les institutions concernées, du ministre des affaires sociales Kamal Sharafi qui prohibe la pratique des hystérectomies injustifiées, en rappelant le principe du respect de la dignité et de l'intégrité humaines.
Où sont les ONG des droits de l'homme et de la condition féminine lorsqu'on en a besoin?
Source L'Observatoire du moyen-orient