C’est un épisode peu connu de l’histoire de la persécution des juifs pendant la seconde guerre mondiale.
Il n’en est pas moins terrifiant.
C’est grâce à l’historienne Sylvie Altar et sa thèse Etre juif à Lyon de l’avant-guerre à la libération, que ces événements ont été mis en lumière.
A partir de février 1944, les enfants juifs raflés par la Gestapo, sont transférés à l’hôpital de l’Antiquaille transformé en prison pour les résistants malades et soignés sous surveillance.
Ce sont 75 enfants, âgés de 4 mois à 14 ans, qui ont été séquestrés avant d’être, pour 48 d’entre eux, déportés.
Un seul reviendra vivant des camps de l’enfer. A la libération de Lyon, il restait un enfant à l’Antiquaille.
Durant la cérémonie, 75 élèves de CM2 de l’école Albert Camus viendront déposer une rose pour chaque enfant séquestré, dont les noms seront appelés par des lycéens de Saint-Just.
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