mercredi 2 novembre 2016

Qu'est-ce qu'Obama planifie pour Israël au cours de ses derniers mois à la présidence ?





Avec moins de trois mois à la Maison Blanche, les rumeurs abondent que le président sortant Barack Obama pourrait utiliser son temps restant au pouvoir pour faire pression pour un accord sur le statut final entre Israël et l'autorité palestinienne....







Le président Obama, qui a longtemps défendu la cause d'un éventuel état palestinien, a encore une fois soulevé la question lors de son discours aux Nations Unies le 20 septembre, appelant Israël à mettre fin à "l'occupation".
"Israël doit comprendre qu'il ne peut pas continuer à construire en permanence sur la terre palestinienne," avait dit Obama.
Avec un taux d'approbation relativement élevé (52,5%) pour un président boiteux, en partie à cause de l'élection présidentielle rancunière de cette année, certains suggèrent qu'Obama est prêt à dépenser un peu de ce capital politique dans une poussée de dernière minute vers une solution à deux états.
En aout, des hauts responsables américains ont déclaré au Wall Street Journal qu'ils considéraient un certain nombre d'options pour redémarrer les négociations sur le statut final entre Israël et l'autorité palestinienne, y compris des mesures sans précédent telles qu'une résolution du conseil de sécurité des Nations Unies forçant un cadre de traité aux deux parties.
Lundi, les rumeurs sur une "surprise de novembre" ont continué, avec le Wall Street Journal écrivant que des sources à l'intérieur de l'administration Obama avaient confirmé que la Maison Blanche avait demandé un menu d'options au département d'état pour pousser pour un accord sur le statut final.
Parmi les options envisagées, écrit le Wall Street Journal, sont une résolution du conseil de sécurité de l'ONU, qui contrairement aux résolutions de l'assemblée générale lient les états membres, contre Israël et la construction juive en Judée Samarie et à Jérusalem.
Le président Obama peut aussi choisir de reconnaître unilatéralement un état palestinien, ou ne pas mettre le veto américain sur d'autres résolutions anti-Israël au conseil de sécurité.
Parmi les autres mesures envisageables, on peut citer l'utilisation de l'IRS pour étrangler le financement d'organisations exemptées d'impôts ayant des liens avec les communautés juives au-delà de la ligne verte.


Source Juif.Org


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