Désormais, en Occident, seules les manifestations pro-palestiniennes, anti-israéliennes, pro-califat islamique, pro-génocide des minorités non musulmanes, sont autorisées par la nouvelle gestapo musulmane, pro-califat islamique. De même, seuls les drapeaux noirs du jihad et les drapeaux « palestiniens » peuvent être accrochés aux fenêtres ou flotter au vent au cours des diverses manifestations. Quiconque ose exprimer une opinion contraire et arborer le drapeau israélien à sa fenêtre ou au cours d’une manifestation se fait insulter, menacer, lyncher...
C’est le cas de Madame Leah Rabinovitch à Amsterdam. Après avoir accroché un drapeau israélien à son balcon, Madame Rabinovitch a reçu des menaces de mort ; des pierres et un cocktail Molotov furent lancés contre sa fenêtre. Son propriétaire lui a ordonné d’enlever le drapeau, ce dernier étant considéré comme « provocateur ». Les drapeaux palestiniens, par contre, fleurissent dans le quartier.
La bonne nouvelle: le drapeau israélien, après avoir été retiré, profite à nouveau de la lumière du soleil.
Il y a des gens qui continuent à voir dans l’immigration musulmane une source d’enrichissement culturel et de prospérité. C’est la vision idyllique des élites libérales, mais la réalité est tout autre.
En Allemagne, la presse de Rhénanie du Nord-Westphalie s’éloigne du politiquement correct et parle de la « folie salafiste » qui frappe la région.
Les partisans du « Califat Islamique » (Islamic State – IS) armés de couteaux et de machettes, se sont violemment heurtés aux manifestants Yézidis dans les rues de Herford mercredi dernier. La région de la Rhénanie du Nord–Westphalie abrite la plu grande communauté musulmane du pays.
Environ 2.500 Yézidis ont protesté contre le génocide de leurs frères en Irak et en Syrie par les islamistes de l’IS à Herford la semaine dernière.
A cette violence, s’ajoute la menace du 7 août dernier d’un djihadiste allemand d’Essen, supposé se battre en Syrie, de faire exploser un entrepôt américain d’armes nucléaires, situé près de Coblence. Ce converti de 27 ans, connu sous le nom de Silvio K., a également menacé d’attaquer les églises, les agences gouvernementales, et les réseaux de transport à travers l’Allemagne.
Selon les responsables du contre-terrorisme, les musulmans radicaux exploitent délibérément les tensions religieuses et ethniques au Moyen Orient afin de semer des troubles dans les rues européennes.
D’après la police, l’affrontement fut déclenché après l’attaque d’un restaurant par six islamistes dans la ville d’Herford dans l’après-midi du 7 août. Les musulmans essayèrent d’enlever par la force une affiche invitant les gens à rejoindre la manifestation de soutien aux Yézidis en Irak.
Des milliers de Yézidis, une minorité Kurde non musulmane, furent obligés de fuir leurs villages, leurs villes, leurs maisons, début août, pour échapper à l’avancée des terroristes islamistes de l’IS. Ces derniers forcent les Yézidis à se convertir à l’islam ou à être tués, enlèvent leurs femmes et les vendent au marché de Mossoul comme du bétail, à 150 dollars pour les plus jolies, et ceci au XXIè siècle pendant que les élites européennes parlent de l’apport de l’islam à la culture.
Mais, comme c’est la volonté d’Allah le Miséricordieux de punir les ennemis de l’islam, les salafistes d’Herford estimaient que les Yézidis n’avaient pas le droit de soutenir leurs frères, menacés de génocide par les « pieux » soldats d’Allah. Les seules manifestations autorisées par ces djihadistes salafistes « allemands » sont les marches pro-Hamas, autre organisation terroriste islamiste favorable d’un génocide, celui du peuple Juif.
Le propriétaire du restaurant d’Herford et deux autres Yézidis furent blessés au cours de la bagarre, les islamistes étant armés de couteaux et de bouteilles.
Quelques heures après l’attaque du restaurant, 300 à 500 Yézidis se rassemblèrent dans le centre de la ville d’Herford, mais furent agressés par un important groupe de salafistes cagoulés.
Plus de 100 policiers furent appelés en renfort pour restaurer l’ordre. La police fit usage de gaz poivré pour disperser les groupes, confisqua des armes de fortune, (couteaux et machettes) plus une arme à feu et interrogea 86 manifestants.
Au final, la police arrêta 6 individus impliqués dans l’attaque du restaurant : 5 salafistes tchétchènes et un Allemand converti à l’islam.
D’après un média allemand, deux des individus sont des activistes salafistes, déjà surveillés par le Service de Renseignement allemand.
Selon un responsable des renseignements, l’un des tchétchènes arrêté est un combattant entrainé, considéré comme extrêmement dangereux : il avait participé à la guérilla contre les troupes russes. (Rosaly : que faisait-il en liberté ? Pourquoi n’a-t-il pas été expulsé ?)
Les responsables du Service de Renseignement allemand ont depuis longtemps mis en garde contre la menace posée par le salafisme, une idéologie radicale anti-occidentale, qui cherche à imposer la loi islamique de la charia à l’Allemagne et à d’autres pays européens.
Le nombre d’adhérents aux groupes extrémistes islamiques en Allemagne est passé de 42.550 en 2012 à 43.185 en 2013, selon les estimations du service de renseignement allemand. Le nombre de salafistes en Allemagne a également progressé : de 3.800 en 2011, à 4.500 en 2012 pour atteindre le nombre de 4.500 en 2013.
Même si les salafistes ne représentent qu’une fraction de la population musulmane d’Allemagne, estimée à 4.3 millions, les autorités sont de plus en plus inquiètes, car la plupart des gens, attirés par l’idéologie salafiste, sont de jeunes musulmans facilement impressionnables et susceptibles de commettre des actes terroristes au nom de l’islam.
La région de la Rhénanie du Nord-Westphalie abrite non seulement la plus grande concentration de salafistes (1.500), mais également la plupart des Yézidis réfugiés en Allemagne, communauté estimée à 60.000 personnes.
Herford et ses environs ont longtemps attiré les salafistes comme un aimant, et les mosquées de la ville sont connues pour convertir les jeunes au salafisme. Le responsable d’un centre de remise en forme est, par ailleurs, suspecté par le service de renseignement d’attirer de jeunes allemands au salafisme sous le prétexte d’activités sportives.
Plus d’une douzaine de Musulmans d’Herford ont rejoint l’IS en Syrie et en Irak et au moins l’un d’eux, un jeune allemand de 22 ans, converti à l’islam, a été tué lors d’un combat.
Un porte parole du ministère de l’intérieur a déclaré : “même si la menace est pour l’instant abstraite, elle peut devenir réelle à n’importe quel moment ».
« Cela prouve que l’Allemagne demeure toujours l’objectif du terrorisme djihadiste, notamment de la part des combattants revenant de Syrie, aguerris à la lutte, et ayant des contacts avec d’autres groupes de terroristes djihadistes.»
Des commentateurs allemands ont réagi aux évènements qui se sont déroulés à Herford avec une certaine appréhension, d’autres ont déclaré que la guerre en Syrie et en Irak est désormais arrivée aux portes de l’Allemagne.
Dans un editorial, intitulé “La folie frappe l’Est de la Westphalie”, le journal Westfalen-Blatt a déclaré :
“Les Yézidis méritent notre sympathie et notre soutien, tout comme d’autres peuples opprimés dans le monde. L’appel à participer à une manifestation contre le génocide d’une population – qui a malheureusement généré des émeutes à Herford – est parfaitement légitime dans une démocratie. Il est à souhaiter que de nombreux drapeaux allemands flotteront au cours de la manifestation de protestation contre l’utilisation de la religion à des fins politiques. Espérons que les évènements d’Herford ne marquent pas le début d’une escalade, qui pourrait atteindre d’autres niveaux de violence au cours des prochains jours… »
Le Temple sacré des Yézédis à Lalesh, situé dans une vallée à 430 km au nord-ouest de Baghdad.
Enfants d’une école religieuse Yézidis chantant des hymnes et des prières au Temple de Lalesh.
Un monde de beauté, de calme et de sérénité a été transformé en enfer par les monstres islamistes du Califat, qui ne se complaisent que dans la laideur, la violence et l’odeur du sang.
Ce monde est en voie de disparition par la seule volonté des fous d’Allah.
Et le « Westphalen Blatt » de poursuivre :
“Et cela est effrayant; jamais auparavant les sympathisants de la terreur islamique se sont dévoilés aussi ouvertement en Allemagne. Ce sont des cercles de recrutement de djihadistes européens. Ce sont également les milieux dans lesquels évoluent les salafistes ultra-radicaux dès leur retour en Europe. Dès lors, la police et les services secrets doivent surveiller ces lieux très étroitement. »
“Et non, nous ne savions pas que les musulmans tchétchènes étaient des supporters aussi véhéments des terroristes de l’IS. Les Tchétchènes dans le sud du Caucase sont eux-mêmes victimes de répressions et de violations des droits humains. »
“IS, al-Qaïda, Hamas et Boko Haram : ces quatre groupes sont les pivots de la tentative diabolique d’arrêter la modernité pour un retour vers l’obscurantisme et la barbarie du 7ème siècle. Les moyens d’y parvenir sont la charia, la haine, la glorification d’une prétendue « guerre sainte. Quelle folie . »
Le journal « Neue Westfälische » déclara :
“Si, comme c’est le cas aujourd’hui à Herford, la communauté religieuse kurde des Yézidis et l’idéologie islamiste radicalisée des salafistes devait s’opposer, alors une autre ville à l’est de la Westphalie risquerait de finir dans les flammes. »
« Le conflit entre les Yézidis et les salafistes a franchi notre porte, car il fait partie d’un conflit global. Les religions du monde sont utilisées de plus en plus de façon abusive pour des luttes idéologiques et des violences entre les gens de confessions différentes. Les religions ne sont jamais violentes per se, mais les agents de la violence les utilisent pour promouvoir leurs propres intérêts. »
(Faux : une « religion » est violente per se, l’islam, car la violence est inhérente à l’islam, et surtout dans sa loi islamique, la charia. La violence est endémique dans l’islam, car ses textes fondamentaux et sa loi exigent que les musulmans soient violents afin de protéger l’islam et d’imposer la charia au monde entier.)
“Nous ne devrions pas être surpris par les tensions de mercredi dernier, car le service de renseignement avait averti depuis longtemps qu’Herford était le centre du salafisme. Les islamistes, parmi lesquels les Tchéchènes, n’ont rien à perdre : ils sont principalement motivés par la pauvreté et le désespoir, et ils sont dans notre monde, parmi nous. Et les citoyens réagissent dans l’incrédulité et la résignation… une horreur silencieuse »
Dans un éditorial, intitulé “Pas de champ de bataille pour les radicaux” le journal « Westdeutsche Allgemeine Zeitung » écrivit :
L’Allemagne ne doit pas devenir une arène pour les conflits qui éclatent en dehors de nos frontières, mais qui, néanmoins, sont proches de chez nous pour la seule raison que des gens appartenant à différents groupes ethniques vivent de façon permanente parmi nous. »
“Les affrontements à Herford résonnent comme un avertissement, à savoir que les tendances radicales sont dirigées non seulement contre les infidèles, mais également contre l’ordre libéral démocratique occidental. Il y a des indications prouvant que l’attaque contre le restaurant Yézidi à Herford par des supporters de l’Etat islamique avait été spécifiquement planifié. Peut être devait-il servir d’essai avant de lancer dans un avenir proche une vague d’attaques de haine ailleurs ? Les djihadistes islamiques sont prêts à tout. Ils l’ont prouvé lors de l’attaque meurtrière du musée juif de Bruxelles, qui fit quatre victimes innocentes. »
Dans un autre éditorial intitulé : « Détourner le regard de la réalité ne fonctionnera plus. » le « Frankfurter Allgemeine Zeitung “ conclut, comme suit :
“Quiconque pensait que la guerre civile en Syrie ou le barbarisme de l’Etat islamique en Irak ne nous affecterait pas, aujourd’hui a tort. Peu importe à quelles distances se trouvent Qaraqosh (la plus grande ville chrétienne d’Irak) et Sinjar, (ville des Yézidis), ce qui se passe là-bas peut aussi nous toucher ici en Allemagne. Les sympathisants de l’Etat islamique ont attaqué les Yézidis à Herford, ce qui signifie que Qaraqosh, Sinjar et Herford sont maintenant inséparables. »
“Depuis trop longtemps, les leaders politiques allemands et notamment les chefs des organisations musulmanes allemandes n’ont pas réagi à la prolifération de la culture de haine salafiste-djihadiste sous le prétexte qu’elle ne présentait aucun danger. Il est absolument scandaleux que les politiciens locaux aient minimisé le risque de l’islamisme alors que les services de sécurité sont de plus en plus sur les dents pour lutter contre cette menace.”
“Les organisations musulmanes devraient rougir de honte. Ils déclarent carrément que les barbares du nord de l’Irak ne sont pas de vrais musulmans et continuent à affirmer que l’islam, c’est la paix, uniquement la paix .. A l’avenir, ce genre de dérobade ne suffira plus, surtout si les Musulmans allemands, soumis au système juridique du pays, souhaitent éviter d’être tenus pour responsables des massacres commis au nom de l’islam. »
“Le Califat islamique d’Abu Bakr al Baghdadi pourrait ne pas durer longtemps, mais la propagande de son jihad lui survivra certainement, car les semences de haine que le calife a semé sont de loin plus toxiques que celles d’Osama Bin Laden.
Pour les jeunes désabusés, le califat islamique exerce un attrait certain et pas seulement à Herford. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly
Source : » http://www.gatestoneinstitute.org/4590/germany-jihad
Source JerusalemPlus