lundi 27 mai 2013

Jérusalem subit une vague d'incendies criminels



Depuis le début de mai, les pompiers de la base de Ofrit ont été appelés pas moins de 15 fois pour éteindre des incendies criminels. Les pompiers qui arrivent sur les lieux sont souvent accueillis avec des pluies de pierres et de projectiles en tout genre.

Les pompiers du district de Jerusalem sont actuellement confrontés a une vague d'incendies criminels à motivation politique semblable à ce qu'ils ont connu l'été dernier. Les deux points récurrents de ces incendies sont la forêt Hashalom au Sud-Est de Jérusalem et la base militaire d'Ofrit sur le mont des Oliviers, à proximité du village de Issawiya.
Depuis le début de mai, les pompiers ont été appelés par la base d'Ofrit pas moins de 15 fois. Chacun des incendies, selon un enquêteur, a été intentionnellement allumé. Le dernier appel aux pompiers est venu le week-end dernier. La police croit que les feux sont allumés par des jeunes de Issawiya et sont politiquement motivées. Les pompiers qui sont intervenus sur ces feux ont souvent été inondés de pierres des leur arrivée.
Lors d'un incident la semaine dernière, un pompier a été légèrement blessé. Lorsque les pompiers sont arrivés sur les lieux d'un incendie qui s'était propagé entre Issawiya à la Base Ofrit, ils ont été accueillis par les résidents de Issawiya lançant des pierres sur eux. Le pompier a été touché à la poitrine.
Le service d'incendie de Jérusalem a également reçu 13 appels de ce mois pour éteindre des incendies dans la forêt Hashalom, près du village de Jabel Mukaber et le quartier d'Abou Tor. Trois feux ont du être éteints en l'espace d'une seule journée.
D'autres domaines de Jérusalem semblent être également touchés par des pyromanes politiquement motivés. Au cours du week-end, les pompiers ont été appelés au nord de Jérusalem pour éteindre les incendies qui avaient éclaté entre Pisgat Ze'ev et le village palestinien d'Anata. L'équipe d'intervention a été une nouvelle fois accueilli avec des pierres alors qu'ils travaillaient à éteindre le feu.
La police israélienne prend cette vague d'incendies criminels trés au sérieux car le phénomene se repend un peu plus tous les jours. La police travaillent en coordination avec les pompiers et le Fonds national juif pour lutter contre le phénomène et l'empêcher si possible. Dans les zones connues pour être des points chauds, le FNJ et les véhicules de la police des frontières patrouillent dans la région et mettent en place des embuscades. La police israélienne augmente aussi ces opérations de collecte de renseignements dans les villages arabes de Jérusalem-Est afin d'identifier ceux qui planifient ces incendies criminels.

Source Koide9enIsrael