Au printemps dernier, le jazzman de Tel Aviv publiait « Big Vicious ». Premier (et impressionnant) disque de son quinquet du même nom.
Une bande de musiciens hors-pair (dont deux batteurs) qui brasse large, notamment de Beethoven à Massive Attack au rayon des reprises.
Mais distillant surtout des compositions finement ciselées. Pour un résulat dont la maîtrise force le respect.
Le temps introspectif est révolu. Place à l’émancipation, à l’instar de ce « Teardrop » totalement accaparé. Respect…
Source MusikPlease
Vous nous aimez, prouvez-le....