lundi 3 février 2020

Manifestation au Liban pour dénoncer le plan Trump


Quelques dizaines de Libanais et de réfugiés palestiniens ont manifesté, dimanche, près de l’ambassade américaine au Liban pour dénoncer «l’accord de la honte», en référence au plan Trump sur le conflit israélo-palestinien, a constaté un photographe de l’AFP.......Détails........


Brandissant des drapeaux palestiniens ou du parti communiste, les manifestants se sont rassemblés sur une avenue menant à l’ambassade, bouclée par des fils barbelés et un barrage de la police antiémeute, dans la localité d’Awkar au nord de Beyrouth. 
Les manifestants ont tenté d’enlever les barbelés, sans provoquer d’accrochages majeurs, a rapporté le photographe. 
«Pas de légitimité pour l’occupant», «ni négociation ni dialogue», «l’accord du siècle ne passera pas», ont scandé les protestataires, fustigeant les États-Unis et Israël. 
Le président américain, Donald Trump, a dévoilé mardi un plan de paix fondé sur une solution à «deux États», mais accordant à Israël nombre de concessions, parmi lesquelles la reconnaissance de Jérusalem comme «capitale indivisible». 
L’initiative a été rejetée par les Palestiniens et la Ligue arabe. 
L’appel à manifester qui a circulé sur les réseaux sociaux au Liban dénonçait «l’accord de la honte annoncé par l’administration américaine». 
«Nous n’allons pas accepter de céder notre terre», a martelé Itab, une réfugiée palestinienne venue de la région de la Bekaa (est). 
«Je suis venue ici pour défendre mes droits et ceux de mes enfants en tant que Palestiniens», a-t-elle ajouté. 
Abdallah Mahmoud, manifestant de 18 ans, a estimé que le plan était voué à l’«échec» et qu’il «ne passera pas tant que le peuple palestinien restera déterminé». 
«Le droit au retour en Palestine est un droit individuel et collectif», pouvait-on lire sur une pancarte, en allusion à la revendication de Palestiniens, chassés de leurs terres par le conflit (faux, une grande majorité a fui par peur que les Juifs soient aussi barbare qu'eux, ce qui n'a biensur pas été le cas. Ils n'ont pas dans leur grande majorité été chassé mais ils sont partis !), d’y revenir après plusieurs décennies (biensur, sauf qu'ils étaient moins de 130.000 et qu'aujourd'hui, ils sont des millions à vouloir "revenir").
Lors de la conférence de presse au cours de laquelle le plan Trump a été dévoilé à Washington, le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait indiqué que les réfugiés palestiniens n’auraient pas le droit au retour en Israël. 
Au total, plus de 174 000 Palestiniens vivent au Liban, selon un recensement des autorités dévoilé fin 2017. 
Un chiffre bien plus faible que les estimations circulant dans le pays, qui vont parfois jusqu’à 500.000. 
Les premières vagues de réfugiés remontent à 1948, année de la création de l’État d’Israël. 
La plupart d’entre eux vivent dans le dénuement (merci au libanais et aux dirigeants palestiniens qui se sont enrichi sur leur dos grace aux aides internationales !), dans des camps devenus au fil des décennies des quartiers populaires aux infrastructures en déliquescence.

Cependant, il ne faut pas perdre de vue que cette situation n'est due qu'au mepris des libanais pour les palestiniens.
Pendant 72 ans, les libanais ont appliqué une ségregation scandaleuse contre les refugiés, leur interdisant d'exercer certains métiers, refusant de leur donner des papiers d'identité (ni a leur enfants !), idem pour les réfugiés en Syrie ou en Jordanie (Jordanie qui est l'authentique pays des palestiniens - Traité de Vienne en 1927 ! ) - Koide9enisrael

Source Journal du Quebec & Koide9enisrael
Vous nous aimez, prouvez-le....


Suivez-nous sur FaceBook ici:
Suivez nous sur Facebook... 
Sommaire
 Vous avez un business ?