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mercredi 2 février 2022

Amnesty qualifie "d'apartheid" la politique envers les 'Palestiniens', Israël s'insurge.....et moi aussi (Dossier spécial)


Amnesty a publié ce mardi un rapport pour expliquer son choix d'utiliser le terme "apartheid" pour qualifier la politique envers les Palestiniens. L'Etat hébreu dénonce un rapport biaisé.......Décryptage sur cette nouvelle mascarade.......

De quoi on parle ?

Malgré les critiques anticipées du gouvernement israélien qui lui a demandé de ne pas le publier, Amnesty International a rendu public mardi 1er février un rapport choc de 211 pages. 
Selon l'ONG de défense des droits de l'Homme, l'Etat d'Israël mène une politique "d'apartheid" à destination des Palestiniens dans les Territoires de Judée Samarie 
(Ceux dirigés par Abbas et ses complices sans doute) (....ben voyons), Gaza (il y a des israéliens dans la bande de Gaza ? Peut-etre parle t-on des 4 otages dont 2 cadavres?) et Jérusalem-Est (Alors Jérusalem n'est plus Juive ? Faut-il changer la Bible et le Coran ?). 
Mais pour la première fois, elle parle aussi d'un "apartheid" au sein même de l'Etat d'Israël fondé en 1948, à l'encontre des Arabes israéliens, ces 'Palestiniens' devenus citoyens israéliens, qui sont environ 20% de la population (Et qui sont pleins de priviléges en plus de ne pas faire l'armée 3 ans et de ne pas payer leurs études ?).
Le rapport se fonde sur une étude de lois en vigueur en Israël, et la loi "Etat-Nation" votée en 2018 où l'arabe n'est plus langue officielle ( et bien heureusement, le Breton ou le Corse sont elles les langues officielles en France ?) ; l'impossibilité de fait pour les Arabes israéliens de louer sur 80% des terrains car ils appartiennent à l'Etat qui privilégie des programmes de logements pour les Juifs (chiffre sorti d'on ne sait ou, chiffre qui dépend probablement des régions en questions.....bref, gros flou). 
Ou bien encore la loi du retour réservée aux Juifs, précise Solomon Frank Sacco, juriste en chef d'Amnesty International (C'est donc cela le fond du problème, nous y voilà.....le retour des Juifs sur leur terre !).
"Israël encourage des Juifs du monde entier à émigrer vers Israël, c'est parfaitement son droit. Cependant, Israël refuse absolument d'autoriser les Palestiniens forcés de fuir en 1948 de revenir en Israël (L'argument bidon.....L'énorme majorité a fui par peur parce que les arabes pensaient lui juifs aussi barbares qu'eux. Qui peut prouver qu'il a fui par force et non par peur ? Et les juifs qui ont été expulsé d'Egypte, d'Algérie, d'Irak, de Tunisie.....Peuvent-ils y retourner s'installer avec leur enfants, petits enfants et arriere petit enfant ??? Encore une justice dans un sens unique ? Le but est-il vraiment de faire disparaitre le peuple Juif, lui qui a résité depuis la sortie d'Egypte). 
Cela pour maintenir une majorité israélienne juive à l'intérieur d'Israël (Amnesty n'a apparamment pas visité le nord du pays ni le Néguev) et une hégémonie à travers tout le territoire." (Alors la il y a une sorte de comparaison scandaleuse dissimulée avec les nazis....surtout en utilisant le terme d'hégémonie)
Tout en dénonçant le choix du mot "apartheid"  (encore heureux qu'il réagisse !) le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères en emploie un tout aussi fort. 
Sans répondre sur le fond, il déclare: "L'antisémitisme n'est pas une question du passé mais bien du présent, dit Lior Haiat. 
En réalité, ce rapport dit que la création d'Israël comme foyer de l'Etat juif, où les Juifs sont majoritaires, est un crime."(Bravo, au moins pas de langue de bois, comme moi, il pense que c'est le souci d'un Etat Juif qui gratte Amnesty International, pas tant la situation des 'palestiniens' ni de lla corruption qui les grangréne ni le terrorisme islamiste aveugle ni l'éducation négationniste et raciste qui leur est enseignée.....)
Le ministre lui-même, Yair Lapid, ajoute qu'Amnesty "n'est pas une organisation des droits de l'Homme mais juste une organisation radicale supplémentaire (dommage qu'il n'est pas dit antisémite !), qui fait écho à de la propagande sans examen sérieux." 
Il développe : "Au lieu de rechercher des faits, Amnesty cite les mensonges propagés par des organisations terroristes. Amnesty ne qualifie pas la Syrie d'État 'd'apartheid' ni l'Iran ou tout autre régime corrompu et meurtrier en Afrique ou en Amérique latine. Je déteste utiliser l'argument selon lequel, si Israël n'était pas un État juif, personne à Amnesty n'oserait s'y confronter. Mais dans ce cas, il n'y a pas d'autre possibilité."
La secrétaire générale d'Amnesty, Agnès Callamard, se défend de ces accusations : "Chaque fois qu’il y a des critiques d’Israël, les autorités attaquent les personnes plutôt que le message (De quelles personnes parle t-elle ? ). 
Je veux rappeler qu’Amnesty reconnaît le droit du peuple juif à l’autodétermination, nous reconnaissons l’existence d’un Etat juif, nous demandons seulement que cet Etat juif reconnaisse les droits des populations en son sein, y compris les populations palestiniennes."(Dommage qu'ils ne déployent pas autant d'énergie pour que les Juifs du Gush Katif puissent regagner leur terres dans la Bande de Gaza.....)
Amnesty appelle l'ONU, les alliés proches d'Israël comme les Etats-Unis ou encore la France à dénoncer le système légal en place en Israël (ils peuvent toujours rêver....).

Pour les lecteurs dew Koide9enisrael, voici un petit portrait rapide de Mme Callamard (c'est pas une blague...), qui pense pouvoir cracher inpunément sur le seul pays démocratique du Moyen-Orient:

Sur le dossier israélien, Agnès Callamard s’est distinguée depuis des années par des déclarations et prises de positions donnant systématiquement tort à l’Etat juif. 

En avril 2018, la rapporteure spéciale de l’ONU avait rendu un rapport accusant l’armée israélienne de tirer de manière indiscriminée sur les civils gazaouites et qualifiant de « manifestations pacifiques » les violentes émeutes suscitées par le Hamas le long de la frontière entre Israël et Gaza.
Peut-être certains considèreront-ils qu’il s’agit là de dossiers complexes et sensibles et que le Conseil des droits de l’homme de l’ONU ne faisait en l’espèce que rappeler en toute neutralité les règles de droit international ? 
Ce serait là faire preuve d’une grande naïveté et d’une belle ignorance sur le parti pris anti-israélien de cette instance des Nations unies au sein de laquelle siègent les pires dictatures de la planète et qui passe le plus clair de ses sessions à accabler Israël. 
Force est de constater que la rapporteure spéciale Agnès Callamard a tout au long de son mandat su parfaitement s’adapter à la ligne anti-israélienne de la commission qui l’avait nommée.

Des tweets qui dérapent

Lorsqu’elle ne travaillait pas à l’ONU, Agnès Callamard s’exprimait sur son compte personnel Twitter.
Elle y fait preuve d’une évidente hostilité à l’égard d’Israël. 
Sur les dizaines de tweets que nous avons retrouvés et qui font référence à l’Etat juif, tous portent un regard négatif. 
Pas un seul n’apporte la moindre touche positive. 
A titre d’exemple, ce tweet du 10 mai 2013 dans lequel la rapporteure spéciale de l’ONU relaie un appel à boycotter les universitaires israéliens.
 

Aujourd’hui, Agnès Callamard est à la tête d’une organisation internationale qui prétend défendre la liberté d’expression partout à travers le monde. 
En mai 2013, elle diffusait complaisamment un appel illégal à ostraciser tout chercheur, enseignant, intellectuel… du seul fait de son appartenance au peuple israélien. 
Un peu contradictoire, non ? 

Le fake news de l’assassinat d’Arafat

Et puis, nous avons gardé le meilleur pour la fin. 
Dans ce tweet de janvier 2013, l’experte impartiale de la commission des droits de l’homme de l’ONU croit pouvoir révéler un scoop :
S’appuyant sur un article du New York Times, elle affirme que « Shimon Peres a admis l’assassinat de Yasser Arafat ».


 
Le mauvais feuilleton de l’empoisonnement du leader architerroriste palestinien Yasser Arafat par les services secrets israéliens est une fake news éculée auquel aucun observateur sérieux n’a jamais accordé le moindre crédit. 
Mais à en croire « l’experte » internationale, l’aveu du meurtre d’Arafat aurait été confirmé par Shimon Peres, à l’époque président de l’Etat d’Israël, dans une interview au New York Times.
N’ayant jamais eu vent d’une telle révélation officielle, nous nous sommes précipités sur cet entretien qu’Agnès Callamard a eu l’obligeance de nous signaler. 
Après avoir lu et relu l’article, une constatation s’impose : Shimon Peres n’a jamais déclaré que Yasser Arafat avait été assassiné !
La lecture qu’a faite Agnès Callamard de cette interview repose sur une interprétation plus qu’abusive, pour ne pas dire sur un grave contresens.   

Que dit Shimon Peres ? 

Tout d’abord, le président israélien indique qu’il s’est opposé dans le passé à divers projets d’attenter à la vie du chef terroriste. 
« He also protected Arafat from plots to kill or deport him »  (Il a aussi protégé Arafat de complots visant à le tuer ou à l’expulser), écrit le journaliste Ronen Bergman qui a rédigé ce portrait-interview de Shimon Peres.
Puis le journaliste pose la question suivante à Shimon Peres : 
« You didn’t think that Arafat should be assassinated ? »  (Vous ne pensiez pas qu’Arafat devait être assassiné ?)
Shimon Peres répond longuement, voici sa réponse intégrale au journaliste du New York Times :
(Non, je pensais qu’il était possible de faire affaire avec lui. Sans lui, c’était beaucoup plus compliqué. Avec qui d’autre aurions-nous pu conclure l’accord d’Oslo? Avec qui d’autre aurions-nous pu conclure l’accord d’Hébron? Par contre, j’ai essayé de lui expliquer, pendant des heures, un parcours pédagogique complet: comment être un vrai leader. Nous nous sommes assis ensemble, avec moi mangeant de sa main. Il a fallu du courage. Je lui ai dit qu’il devait être comme Lincoln, comme Ben Gourion: une nation, une arme, pas d’innombrables forces armées, chacune tirant dans une direction différente. Au début, Arafat a refusé, il a dit: «Lah, lah, lah» [Peres fait une imitation assez convaincante d’Arafat en disant «non» en arabe], mais plus tard, il a dit: «OK». Il m’a menti droit dans les yeux, sans aucun problème [concernant les promesses de combattre les milices palestiniennes et les insurrections].)


On le constate, Shimon Peres évoque bien des projets de liquidation du chef terroriste qui avaient été envisagés à différentes époques par des responsables israéliens (ce qui est parfaitement connu) mais auxquels Shimon Peres dit s’être opposé et qui n’ont jamais été mis en œuvre.
L’assassinat de Yasser Arafat, rapporté par Agnès Callamard sur son tweet, est un grossier mensonge ! 
Manifestement, « la rapporteure spéciale de l’ONU chargée des exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires » a mal lu l’article, ne l’a pas compris mais a estimé après l’avoir parcouru en diagonale qu’il constituait un élément à charge pour accabler Israël. 
Ce passage de l’interview était pourtant consacré à une thématique sur laquelle Mme Agnès Callamard avait été nommée « experte » auprès du Conseil des droits de l’homme des Nations unies.
Un tel niveau de militantisme allié à autant de mauvaise foi et d’incompétence est tout de même préoccupant pour le fonctionnement des instances internationales.
L’arrivée de Mme Callamard à la tête d’Amnesty International s’inscrit dans la même logique et n’en est pas moins inquiétante. 
L’ONG relaie depuis des années des campagnes anti-israéliennes et reprend sans vergogne les calomnies de la propagande islamiste présentant Israël comme un Etat voyou et hors la loi. 
Ces campagnes médiatiques ont un objectif bien précis : fragiliser Israël, légitimer auprès des décideurs et des opinions publiques les procédures comme celles lancées par les Palestiniens devant la Cour pénale internationale (CPI). 
Au vu des écrits d’Agnès Callamard, nous avons toutes les raisons de redouter que ces quatre années de mandat à la direction d’Amnesty International soient l’occasion pour elle d’alimenter et d’exacerber ses options anti-israéliennes, la preuve avec ce dernier rapport.


Source Koide9enisrael & France TV Info & Infoequitable

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