Le chef d'Etat Níkos Anastasiádis a cependant insisté qu'une telle action ne comprenait pas une option militaire, mais plutôt un effort concerté au niveau diplomatique visant à faire résilier l'accord "illégal".
Le président chypriote a par ailleurs indiqué que cette entente a également été condamnée par les nations arabes, les États membres de l'Union européenne et d'autres pays qu'il n'a pas spécifiés, ajoutant que des annonces sur des actions spécifiques sont attendues.
Lors d'une conversation téléphonique avec le président, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a appelé Chypre et la Grèce à signer immédiatement avec Israël un engagement pour démarrer les travaux d'exploitation des gisements de gaz.
En janvier dernier, la création d'un forum de coopération régionale sur le gaz a été lancée lors d'une réunion au Caire de représentants de Chypre, de la Grèce, d'Israël, de l'Egypte, de l'Italie, de la Jordanie et des territoires palestiniens.
Ankara a été exclu, et l'accord maritime turco-libyen, vu comme la riposte turque au forum créé par ses voisins, a été condamné par plusieurs pays car il permet à la Turquie de revendiquer des droits sur de vastes zones en Méditerranée orientale.
Source I24News
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