25 femmes chefs d’entreprises et présidentes de réseaux de femmes entrepreneuses, originaires de dix pays de l’espace Cedeao, ont bénéficié d’une formation de renforcement de capacités pour l’autonomisation et la professionnalisation des femmes entrepreneuses à Saly. La formation a été organisée par l’ambassade d’Israël au Sénégal et l’Onu Femmes, en partenariat avec le ministère de la Femme, de l’Enfance et de l’Entreprenariat féminin.
Les formateurs israéliens leur ont appris que la gestion d’une entreprise consiste à exploiter avec succès divers facteurs. Il s’agit des idées, des méthodes, des matériaux et des installations de l’entreprise, afin de produire et de commercialiser des biens et services de qualité. L’ambassadeur d’Israël au Sénégal, Dr Eli Ben Tura qui a présidé la cérémonie de clôture de cet atelier, s’est félicité de sa parfaite organisation.
Il a invité les bénéficiaires, une fois rentrées chez elles, de démultiplier le savoir acquis au cours de ce séminaire tenu au Sénégal. «Votre succès dans votre travail ne sera pas seulement personnel. Il sera une modeste contribution au développement de votre pays», a dit le diplomate. Il a promis d’organiser des stages pareils de manière tournante, c’est-à-dire une année pour les francophones et une autre pour les anglophones.
La directrice régionale d’Onu Femmes en Afrique de l’Ouest et du Centre, Mme Joséphine Odera, a indiqué que cette formation est importante pour sa structure, parce qu’elle est une des priorités de son mandat en ce qui concerne l’autonomisation des femmes. «Ceci est encore plus important, car vous êtes confrontées à des défis semblables, notamment la difficulté de concilier la vie familiale et professionnelle, le faible accès au financement, l’isolement des femmes dans les réseaux mixtes, les difficultés de produire des biens de qualité et de faire face à la compétition féroce», a-t-elle dit aux femmes entrepreneuses. Le secrétaire général du ministère de la Femme, de l’Enfance et de l’Entreprenariat féminin, Abdou Faye, a fait savoir que malgré le contexte précaire, les femmes africaines s’imposent progressivement dans l’économie de leurs pays.
«Par l’efficacité de leurs entreprises devenues incontournables, elles démontrent que l’entreprenariat n’est pas l’apanage des hommes», a-t-il soutenu, avant d’ajouter que la formation des femmes qui, du reste, est une question de survie de l’entreprenariat en Afrique devient un gage d’affirmation de leur leadership pour exceller et s’épanouir dans le domaine de l’entreprenariat.
Le gouvernement du Sénégal œuvre pour assurer aux femmes entrepreneuses des conditions de viabilité et de pérennité de leurs entreprises. Il a révélé que le ministère de la Femme a mis en place des mécanismes institutionnels et financiers pour accompagner les femmes entrepreneuses. Les 25 femmes qui ont reçu leurs attestations de participation ont promis de faire profiter cette formation à leurs consœurs restées au pays.
«Par l’efficacité de leurs entreprises devenues incontournables, elles démontrent que l’entreprenariat n’est pas l’apanage des hommes», a-t-il soutenu, avant d’ajouter que la formation des femmes qui, du reste, est une question de survie de l’entreprenariat en Afrique devient un gage d’affirmation de leur leadership pour exceller et s’épanouir dans le domaine de l’entreprenariat.
Le gouvernement du Sénégal œuvre pour assurer aux femmes entrepreneuses des conditions de viabilité et de pérennité de leurs entreprises. Il a révélé que le ministère de la Femme a mis en place des mécanismes institutionnels et financiers pour accompagner les femmes entrepreneuses. Les 25 femmes qui ont reçu leurs attestations de participation ont promis de faire profiter cette formation à leurs consœurs restées au pays.
Source Le Soleil