Le marché de l’immobilier israélien a été caractérisée en 2012 par une nouvelle hausse des prix de l’immobilier, à un taux moyen de 4,5%.
Alors qu’en 2008 les Israéliens avaient besoin de moins de 100 fois le salaire en moyenne pour acheter un appartement, en 2012 ils avaient besoin jusqu’à 128 salaires.
A Jérusalem, il n’y a eu presque aucun changement dans les prix, avec un appartement de quatre pièces dans la capitale coutant 2.5 millions de NIS (500.000 euros) en moyenne. Mais les chiffres stables de Jérusalem ne reflètent pas les variations importantes dans d’autres villes: Dans certaines villes, les prix ont monté, dans d’autres – ils ont plongé.
Des lacunes importantes ont été enregistrées en 2012 entre les nouveaux appartements et appartements de seconde main. Les prix des appartements neufs ont chuté de 10% en raison de la baisse des mises en chantier par les entrepreneurs, tandis que les appartements existants sont devenu beaucoup plus cher, dans certains cas, même de 50%.
Le gouvernement a déclaré que de temps en temps les prix des logements étaient en baisse. Parce que les entrepreneurs sont contraints de vendre leurs appartements, ils doivent faire preuve de souplesse lors de la négociation avec les clients. Dans la pratique, les appartements d’occasion sont plus chers que les nouveaux appartements, et les victimes en 2012 étaient des entrepreneurs et sous-traitants, qui ont été forcés de réduire les prix tout au long de l’année.
L’année écoulée a également été marquée par beaucoup de discussions et peu d’action. Le ministère du Logement et de la Construction a présenté son plan de construction sur 15 ans sur les terres agricoles qui devraient être constructible, mais le nombre de mises en chantier a chuté.
Par ailleurs, près de la moitié de ceux qui voulaient faire construire leur bien ont été contraint d’annuler les opérations: refus de prêts de banques ou pénurie de main d’oeuvre sont les principales raisons.
Source Jss News